vendredi 12 février 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 257-260

Aquellos periplos, reales o fantasiosos, que les atribuían, abonaron el terreno para que Aníbal Madueño, años más tarde, iniciara una larga y acuciosa pesquisa sobre los Marovich, interrogando a cuanto yugoslavo o descendiente de yugoslavo iba conociendo. (Habían transcurrido casi veinticinco años y el único de nuestro grupo de amigos que seguía pasando las vacaciones en La Punta era el propio Madueño, ahora conocido abogado tributarista. A mi primo Mario no lo veía, y con los Mendieta Solana, dedicados al negocio textil, me había cruzado apenas un par de veces. Ambos tenían dos o tres divorcios a cuestas, y vivían todo el año en Punta Hermosa.

Traduction temporaire :
Ces périples, réels ou fantaisistes, qu'on leur attribuaient avaient préparé le terrain pour que, des années plus tard, Anibal Madueño ouvre une longue et minutieuse enquête sur les Marovich, interrogeant le moindre Yougoslave ou descendant de Yougoslave qu'il rencontrait. (Presque vingt-cinq ans s'étaient écoulés, et le seul de notre groupe d'amis qui continuait à passer ses vacances à La Punta, c'était justement lui, désormais avocat fiscaliste reconnu. Je ne voyais plus mon cousin Mario, et n'avais croisé que de rares fois les Mendieta Solana, qui travaillaient dans le commerce du textile. Ils avaient chacun deux ou trois divorces sur le dos, et vivaient toute l'année à Punta Hermosa.  

4 commentaires:

Justine a dit…

Ces périples réels ou fantaisistes qu'on leur attribuaient avaient préparé le terrain pour que des années plus tard, Anibal Madueño ouvre une longue et minutieuse enquête sur les Marovich, interrogeant chaque Yougoslave ou descendant de Yougoslave qu'il rencontrait. (Presque vingt-cinq ans s'étaient écoulés, et le seul de notre groupe d'ami qui continuait à passer ses vacances à La Punta, c'était lui, désormais avocat fiscaliste reconnu. Je ne voyais plus mon cousin Mario, et n'avais croisé que de rares fois les Mendieta Solana, qui travaillaient dans le commerce du textile. Ils avaient chacun deux ou trois divorces sur le dos, et vivaient toute l'année à Punta Hermosa.

Tradabordo a dit…

Ces périples [virgule] réels ou fantaisistes [virgule] qu'on leur attribuaient avaient préparé le terrain pour que [virgule ?] des années plus tard, Anibal Madueño ouvre une longue et minutieuse enquête sur les Marovich, interrogeant chaque [« le moindre »] Yougoslave ou descendant de Yougoslave qu'il rencontrait. (Presque vingt-cinq ans s'étaient écoulés, et le seul de notre groupe d'ami [grammaire] qui continuait à passer ses vacances à La Punta, c'était [« justement » ?] lui, désormais avocat fiscaliste reconnu. Je ne voyais plus mon cousin Mario, et n'avais croisé que de rares fois les Mendieta Solana, qui travaillaient dans le commerce du textile. Ils avaient chacun deux ou trois divorces sur le dos, et vivaient toute l'année à Punta Hermosa.

Justine a dit…

Ces périples, réels ou fantaisistes, qu'on leur attribuaient avaient préparé le terrain pour que, des années plus tard, Anibal Madueño ouvre une longue et minutieuse enquête sur les Marovich, interrogeant le moindre Yougoslave ou descendant de Yougoslave qu'il rencontrait. (Presque vingt-cinq ans s'étaient écoulés, et le seul de notre groupe d'amis qui continuait à passer ses vacances à La Punta, c'était justement lui, désormais avocat fiscaliste reconnu. Je ne voyais plus mon cousin Mario, et n'avais croisé que de rares fois les Mendieta Solana, qui travaillaient dans le commerce du textile. Ils avaient chacun deux ou trois divorces sur le dos, et vivaient toute l'année à Punta Hermosa.

Tradabordo a dit…

Ces périples, réels ou fantaisistes, qu'on leur attribuaient avaient préparé le terrain pour que, des années plus tard, Anibal Madueño ouvre une longue et minutieuse enquête sur les Marovich, interrogeant le moindre Yougoslave ou descendant de Yougoslave qu'il rencontrait. (Presque vingt-cinq ans s'étaient écoulés, et le seul de notre groupe d'amis qui continuait à passer ses vacances à La Punta, c'était justement lui, désormais avocat fiscaliste reconnu. Je ne voyais plus mon cousin Mario, et n'avais croisé que de rares fois les Mendieta Solana, qui travaillaient dans le commerce du textile. Ils avaient chacun deux ou trois divorces sur le dos, et vivaient toute l'année à Punta Hermosa.

OK.