lundi 1 février 2016

Projet Marion – phrases 5-6

Ella también estaba triste, ella también extrañaba a Martín, pero no quería seguir encerrada en la casa, con todo el verano afuera, los gritos de los chicos en las piscinas de las casas vecinas, las colas de gente en la heladería de la esquina y el cielo de un celeste completo, sin manchas blancas, tan cercano que parecía al alcance de la mano si uno se ponía en puntas de pie, extendía el brazo y cerraba los ojos. Verónica no aguantaba más esa casa que, por cerrada, conservaba la frescura de una primavera fría y no quería seguir pensando en los últimos días de Martín, que había ido lleno de miedo a la cirugía, que nunca, nunca, se había creído las palabras optimistas de sus padres, de sus médicos, de nadie.

Traduction temporaire :
Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer de rester cloîtrée dans la maison, quand l'été était partout à l'extérieur, les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu absolu, sans taches blanches, si proche qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie plein de peur et qui n'avait jamais, jamais cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín lui manquait, mais elle ne voulait pas continuer à être enfermée dans la maison, avec tout l'été dehors, les cris des garçons dans les piscines des maisons voisines, les queues de gens chez le glacier du coin de la rue et le ciel d'un bleu pur, sans tâche blanche, si près qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, étendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle ne voulait plus continuer à penser aux derniers jours de Martín, qui était allé en chirurgie empli de peur et qui jamais, jamais, n'avait cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Tradabordo a dit…

Elle aussi [cheville : « , elle » ? Je vous laisse décider] était triste, à elle aussi Martín lui [nécessaire ?] manquait, mais elle ne voulait pas continuer à [« de »] être enfermée [comme vous avez « fermée » après, on pourrait mettre « cloîtrée » ici. OK ?] dans la maison, avec tout l'été dehors [peut-être vraiment traduire littéralement ?], les cris des garçons [« enfants » ?] dans les piscines des maisons voisines, les queues de gens [nécessaire ?] chez le glacier du coin de la rue [ajout nécessaire ?] et le ciel d'un bleu pur [pas ce que dit la V.O.], sans tâche [orthographe] blanche [je le mettrais au pluriel, comme en V.O.], si près qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait [« hissait » ? Comme vous préférez] sur la pointe des pieds, étendait [attention : « tendait »] le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle ne voulait plus continuer [vous l'avez déjà plus haut ; débrouillez-vous pour ne pas répéter] à penser aux derniers jours de Martín, qui était allé en [bof] chirurgie empli de peur et qui jamais, jamais, n'avait cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Unknown a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer d'être cloîtrée dans la maison, avec tout l'été dehors [j'ai traduit littéralement, non ?], les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu complet, sans taches blanches, si près qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie empli de peur et qui jamais, jamais, n'avait cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Tradabordo a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer d'être [du coup, autant mettre « rester », non ?] cloîtrée dans la maison, avec tout l'été dehors [j'ai traduit littéralement, non ? Oui, mais là, ça ne fonctionne pas…], les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu complet [« absolu » ? J'hésite…], sans taches blanches, si près [« proche » ? Comme vous voulez…] qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie empli [bof ; « plein » ?] de peur et qui jamais, jamais [après « n'avait » ?], n'avait cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Unknown a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer de rester cloîtrée dans la maison, quand l'été l'appelait dehors [?], les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu absolu, sans taches blanches, si proche qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie plein de peur et qui n'avait jamais, jamais cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Tradabordo a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer de rester cloîtrée dans la maison, quand l'été l'appelait dehors [? « quand l'été était partout à l'extérieur » ?], les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu absolu, sans taches blanches, si proche qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie plein de peur et qui n'avait jamais, jamais cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Unknown a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer de rester cloîtrée dans la maison, quand l'été était partout à l'extérieur, les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu absolu, sans taches blanches, si proche qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie plein de peur et qui n'avait jamais, jamais cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

Tradabordo a dit…

Elle aussi était triste, à elle aussi Martín manquait, mais elle ne voulait pas continuer de rester cloîtrée dans la maison, quand l'été était partout à l'extérieur, les cris des enfants dans les piscines des maisons voisines, les queues chez le glacier du coin et le ciel d'un bleu absolu, sans taches blanches, si proche qu'il paraissait à portée de main si l'on se mettait sur la pointe des pieds, tendait le bras et fermait les yeux. Verónica ne supportait plus cette maison qui, parce qu'elle était fermée, conservait la fraîcheur d'un printemps froid. Elle voulait cesser de penser aux derniers jours de Martín, qui s'était rendu en chirurgie plein de peur et qui n'avait jamais, jamais cru les mots optimistes de ses parents, de ses médecins, de personne.

OK.