mercredi 10 février 2016

Projet Sonita / Élise – phrases 489-494

Zebrel asintió. Aquellos hombres no eran coherentes, y estaban lejos de ser el ejército ideal, aunque la emergencia hubiera hecho retroceder un poco las intoxicaciones. Se sentó sobre la mesa y pasó los brazos sobre los hombros de los dos más fornidos; otro se ubicó entre sus piernas y las sujetó; se pusieron en marcha.
Estaban, tal como Zebrel había supuesto, en un sótano. Subieron la escalera con dificultad, haciendo crujir los escalones de metal delgado. La madrugada se estaba replegando y dejaba espacio a las primeras claridades cuando salieron del bodegón. Ya en la calle vieron que un vehículo desvencijado se arrimaba al borde de la vereda; metieron a Zebrel en el asiento trasero y arrancaron por la avenida con dirección oeste.

Traduction temporaire :
Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les fines marches métalliques. L’aube se repliait, cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule déglingué qui s’approchait du bord du trottoir ; ils déposèrent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

22 commentaires:

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents, et ils étaient loin d’être l’armée idéale, bien que l’urgence de la situation ait fait reculer un peu leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et mit ses bras sur les épaules des deux gars plus fournis. Un autre se plaça entre ses jambes et il les prit. Ils se mirent en marche.
Ils se trouvaient, ainsi que Zebrel l’avait imaginé, dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin. L’aube se repliait et laissait le pas aux premières clartés lorsqu’ils sortirent de la taverne. Déjà dans la rue, ils virent un véhicule délabré qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent Zebrel dans le siège arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents, et ils étaient [débrouille-toi pour ne pas répéter « étaient » ; solution 1 : tu trouves un synonyme. Solution 2 : tu supprimes un des deux point] loin d’être l’armée idéale, bien que l’urgence de la situation ait fait reculer un peu [avance-le] leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et mit [« posa »] ses [pas besoin du possessif] bras sur les épaules des deux gars plus fournis [?????????]. Un autre se plaça entre ses jambes et il les prit [????????].


Ils se mirent en marche.
Ils se trouvaient, ainsi que Zebrel l’avait imaginé, dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin. L’aube se repliait et laissait le pas aux premières clartés lorsqu’ils sortirent de la taverne. Déjà dans la rue, ils virent un véhicule délabré qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent Zebrel dans le siège arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents et s'avérèrent être loin d'une armée idéale, bien que l’urgence de la situation ait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes qu'il prit.

Sonita a dit…


Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents et s'avérèrent être loin d'une armée idéale, bien que l’urgence de la situation ait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes qu'il prit.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents et s'avérèrent [temps] être loin [mal dit] d'une armée idéale, bien que l’urgence de la situation ait [aunque + subj = même si + indicatif] un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars [manque quelque chose ; tu ne te relis pas assez] plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes qu'il prit [?????].

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents et s'avéraient loin d'être une armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes qu'il prit [????? // Je ne comprends pas tes points d'intérrogation, désolée].

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Ces types n’étaient pas cohérents [« outre leur incohérence, ces types n'étaient pas l'armée idéale » ou quelque chose comme ça…] et s'avéraient loin d'être une armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes qu'il prit [????? // Je ne comprends pas tes points d'intérrogation, désolée ; on ne comprend pas… Ça veut dire quoi ?].

Sonita a dit…

Moi, je comprends qu'un des gars qui portent Zebrel, prend les jambes de Zebrel, peut-être qu'il les met autour de son cou ?

***
Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les mit autour du cou.

Tradabordo a dit…

Demande son avis à Elena.

Elena a dit…

Je comprends que Zebrel se fait porter par trois soldats : deux par les bras et un qui a pris ses jambes.

Sonita a dit…

Merci Elena !
Caroline, je vais certainement me faire taper sur les doigts, car je réécris... Mais, la façon dont j'ai essayé de rester au plus près du texte semble ne pas avoir de sens...

***
Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table. Les deux gars les plus robustes prirent ses jambes et un autre ses jambes.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table. Les deux gars les plus robustes prirent ses jambes et un autre ses jambes [relis-toi et de toute façon, ça n'est pas… dans un cas, il agit].

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre gars se plaça entre ses jambes et les saisit.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient [« certes »] pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre gars [supprime] se plaça entre ses jambes et les saisit.

Tu pourras ajouter la suite.

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche.
Ils se trouvaient, ainsi que Zebrel l’avait imaginé, dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin. L’aube se repliait et laissait le pas aux premières clartés lorsqu’ils sortirent de la taverne. Déjà dans la rue, ils virent un véhicule délabré qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent Zebrel dans le siège arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche.

Estaban, tal como Zebrel había supuesto, en un sótano. Subieron la escalera con dificultad, haciendo crujir los escalones de metal delgado. La madrugada se estaba replegando y dejaba espacio a las primeras claridades cuando salieron del bodegón. Ya en la calle vieron que un vehículo desvencijado se arrimaba al borde de la vereda; metieron a Zebrel en el asiento trasero y arrancaron por la avenida con dirección oeste.

Ils se trouvaient, ainsi que Zebrel l’avait imaginé [mets ça au début], dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin [vérifie quand même]. L’aube se repliait et laissait [« cédant »] le pas aux premières clartés lorsqu’ils sortirent de la taverne [« émergèrent » et supprime le reste]. Déjà [NON] dans la rue, ils virent un véhicule délabré [mal dit ici] qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent Zebrel dans [NON] le siège [il y a mieux] arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche.


Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient, dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin [vérifie quand même // En faisant une recherche sur Google, om trouve pas mal d'occurrences]. L’aube se repliait cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule branlant qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient, [pourquoi cette virgule ?] dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les marches en métal fin [vérifie quand même // En faisant une recherche sur Google, om trouve pas mal d'occurrences //// oui, mais est-ce que tu as bien vérifié que ça n'est pas pour les bijoux ?]. L’aube se repliait [virgule] cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule branlant [« déglingué »] qui s’approchait du bord du trottoir ; ils mirent [tu l'as déjà un peu plus haut] Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les fines marches mettaliques. L’aube se repliait, cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule déglingué qui s’approchait du bord du trottoir ; ils déposèrent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les fines marches mettaliques [ortho]. L’aube se repliait, cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule déglingué qui s’approchait du bord du trottoir ; ils déposèrent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Sonita a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les fines marches métalliques. L’aube se repliait, cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule déglingué qui s’approchait du bord du trottoir ; ils déposèrent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

Tradabordo a dit…

Zebrel acquiesça. Outre leur incohérence, ces types n'étaient certes pas l'armée idéale, même si l’urgence de la situation avait un peu fait reculer leur état d’ivresse. Il s’assit sur la table et posa les bras sur les épaules des deux gars les plus robustes. Un autre se plaça entre ses jambes et les saisit. Ils se mirent en marche. Ainsi que Zebrel l’avait imaginé, ils se trouvaient dans une cave. Ils montèrent les escaliers avec difficulté, faisant craquer les fines marches métalliques. L’aube se repliait, cédant le pas aux premières clartés lorsqu’ils émergèrent. Une fois dans la rue, ils virent un véhicule déglingué qui s’approchait du bord du trottoir ; ils déposèrent Zebrel sur la banquette arrière et prirent l’avenue en direction de l’ouest.

OK.