mercredi 3 février 2016

Projet Marion – phrases 7-11

«Mamá» dijo. «Mariela me invitó a la pileta. ¿Puedo ir?»
Mariela era nueva en el barrio –se había mudado con su familia a la casa de la esquina, una de las más grandes de la cuadra, hacía apenas tres meses–. Solían verse en la parada del colectivo cuando lo esperaban juntas para ir al colegio, y a veces se cruzaban en el minimercado o en el kiosco: Verónica estaba a cargo de las compras desde hacía semanas porque su madre ni siquiera se levantaba de la cama, y su padre, cuando volvía del trabajo, se sentaba a llorar frente al televisor.

Traduction temporaire :
« Maman », dit-elle. « Mariela m'a invitée à venir à sa piscine. Je peux y aller ? » Mariela était nouvelle dans le quartier - il y avait à peine trois mois, elle avait déménagé avec sa famille dans la maison de l'angle de la rue, une des plus grandes des environs. Elles avaient l'habitude de se voir à l'arrêt de bus quand elles l'attendaient ensemble pour aller à l'école, et parfois elles se croisaient à la superette ou au kiosque. Verónica était chargée de s'occuper des courses depuis des semaines, parce que sa mère ne se levait même plus de son lit, et que son père, quand il rentrait du travail, s'asseyait pour pleurer devant le téléviseur. 

4 commentaires:

Unknown a dit…

« Maman », dit-elle. « Mariela m'a invitée à sa piscine. Je peux y aller ? »

Mariela était nouvelle dans le quartier -elle avait déménagé avec sa famille dans la maison de l'angle de la rue, une des plus grandes du pâté, il y avait à peine trois mois-. Elles avaient l'habitude de se voir à l'arrêt de bus quand elles l'attendaient ensemble pour aller à l'école, et parfois elles se rencontraient à la superette ou au kiosque : Verónica était chargée des courses depuis des semaines parce que sa mère ne se levait même plus de son lit, et son père, quand il rentrait du travail, s'asseillait pour pleurer face au téléviseur.

Tradabordo a dit…

« Maman », dit-elle. « Mariela m'a invitée à sa [bizarre ; je pense qu'il faut ajouter une cheville ou deux] piscine. Je peux y aller ? »
Mariela était nouvelle dans le quartier -[espace]elle avait déménagé avec sa famille dans la maison de l'angle de la rue, une des plus grandes du pâté [« des environs »], il y avait à peine trois mois[est-ce que ce ne serait pas mieux de le mettre avant… Faites des tests et voyez ce qui est mieux]-[en français, pas besoin de refermer le tiret]. Elles avaient l'habitude de se voir à l'arrêt de bus quand elles l'attendaient ensemble pour aller à l'école, et parfois elles se rencontraient [« croisaient » ?] à la superette ou au kiosque : [bof, je mettrais un point] Verónica était chargée [« de s'occuper des » ; sinon, c'est ambigu] des courses depuis des semaines parce que sa mère ne se levait même plus de son lit, et [« que » ?] son père, quand il rentrait du travail, s'asseillait [?] pour pleurer face au [« devant » ?] téléviseur [« la télé » ?].

Unknown a dit…

« Maman », dit-elle. « Mariela m'a invitée à venir à sa piscine. Je peux y aller ? »
Mariela était nouvelle dans le quartier - il y avait à peine trois mois, elle avait déménagé avec sa famille dans la maison de l'angle de la rue, une des plus grandes des environs. Elles avaient l'habitude de se voir à l'arrêt de bus quand elles l'attendaient ensemble pour aller à l'école, et parfois elles se croisaient à la superette ou au kiosque. Verónica était chargée de s'occuper des courses depuis des semaines parce que sa mère ne se levait même plus de son lit, et que son père, quand il rentrait du travail, s'asseyait pour pleurer devant le téléviseur.

Tradabordo a dit…

« Maman », dit-elle. « Mariela m'a invitée à venir à sa piscine. Je peux y aller ? »
Mariela était nouvelle dans le quartier - il y avait à peine trois mois, elle avait déménagé avec sa famille dans la maison de l'angle de la rue, une des plus grandes des environs. Elles avaient l'habitude de se voir à l'arrêt de bus quand elles l'attendaient ensemble pour aller à l'école, et parfois elles se croisaient à la superette ou au kiosque. Verónica était chargée de s'occuper des courses depuis des semaines, parce que sa mère ne se levait même plus de son lit, et que son père, quand il rentrait du travail, s'asseyait pour pleurer devant le téléviseur.

OK.