jeudi 31 mars 2016

Projet Justine / Marie G. 2 – phrases 334-351

—Los animales no se suicidan –afirmé, con la esperanza de que ella dijera más cosas.
—¿Cómo sabes eso? –se limitó a preguntar.
—Nos lo dijo la maestra.
La tía se quedó callada nuevamente, un tiempo larguísimo. Yo supuse que ya no quería hablar más así que decidí dejar todas mis otras preguntas para después. Pero debía asegurarme de tenerla de nuevo para mí sola, para que pudiéramos hablar:
—Yo una vez recogí un pajarito muerto que se había caído de un nido. Si se queda hasta el lunes, la llevo mañana al Pozo y le muestro dónde.
—Está bien, Ángeles. Está bien. 
–Esta vez sí estuve segura de que lloraba.

………

Al día siguiente, cuando me levanté, descubrí que la tía Alfreda se había marchado. En vano busqué una nota que —pensaba yo— tendría que haberme dejado escondida entre las páginas del Larousse. Lo que sí dejó, en cambio, fue su maleta roja y dentro de ella, el vestido a rayas. Mamá intentó localizarla algunas veces… ella nunca contestó nuestras llamadas. Al principio sentí rabia y decepción, pensé que era una egoísta, como mi papá. Y que a ella, al igual que a él, le habíamos importado muy poco. Muchas veces la perdoné pensando en que debía considerarnos vulgares y simples. También consideré la posibilidad de que fuera estúpida, tan estúpida que no podía reconocer el amor ni siquiera teniéndolo en frente.

Traduction temporaire :
— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. J'imaginai qu'elle m'avait laissé un mot, entre les pages de mon Larousse, par exemple, mais, rien. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien elle que lui s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

8 commentaires:

Justine a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
De nouveau, ma tante resta un très long moment silencieuse. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai donc de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi toute seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— Très bien, Ángeles, très bien.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda s'en était allée. Je cherchai vainement un mot – que j'imaginais – qu'elle m'aurait glissé entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre quelques fois… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la rage et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien pour elle que pour lui, nous avions compté bien peu. De nombreuses fois, je la pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens vulgaires et simples. Je considérai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, même pas quand elle l'avait sous les yeux.

Tradabordo a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
De nouveau, ma tante resta un très long moment silencieuse [ou en inversant ? Essaie et vois ce qui est mieux…]. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai donc [nécessaire ?] de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi toute [nécessaire ?] seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— Très bien [j'hésite], Ángeles, très bien.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.

Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda s'en était allée [pas très naturel]. Je cherchai vainement un mot – [les tirets moyens ?] que [dans l'entre-tirets ?] j'imaginais – qu'elle m'aurait glissé entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre quelques fois [j'hésite]… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la rage [bof] et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien pour elle que pour lui, nous avions compté bien peu [cette phrase manque de naturel]. De nombreuses fois [synthétise], je la pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens vulgaires [« ordinaires »] et simples. Je considérai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, même pas [« pas même »] quand elle l'avait sous les yeux.

Justine a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.

Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. Je cherchai vainement un mot – j'imaginais – qu'elle l'aurait glissé entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'elle comme lui, s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

Tradabordo a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. Je cherchai vainement un mot – j'imaginais – qu'elle l'aurait [ça n'est pas assez clair…] glissé entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'elle comme lui, [?] s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

Justine a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. Je cherchai vainement un mot – j'imaginais – qu'elle aurait pu me le glisser entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien elle que lui s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

Tradabordo a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. Je cherchai vainement un mot – j'imaginais – qu'elle [décidément, dégage-toi de l'esp. pour remettre ça clairement…] aurait pu me le glisser entre les pages du Larousse. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien elle que lui s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

Justine a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. J'imaginai qu'elle m'avait laissé un mot, entre les pages de mon Larousse, par exemple, mais, rien. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien elle que lui s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

Tradabordo a dit…

— Les animaux ne se suicident pas, affirmai-je avec l'espoir qu'elle en dise davantage.
— Comment tu le sais ? se contenta-t-elle de demander.
— La maîtresse nous l'a appris.
Ma tante resta de nouveau silencieuse un très long moment. Je supposai qu'elle ne voulait plus parler et décidai de garder mes questions pour plus tard. Mais je devais m'assurer de l'avoir encore pour moi seule, afin qu'on puisse discuter.
— Moi, une fois, j'ai ramassé un petit oiseau mort tombé d'un nid. Si vous restez jusqu'à lundi, demain, je vous emmène au Puits et vous montre où.
— OK, Ángeles, OK.
Cette fois, oui, j'étais certaine qu'elle pleurait.
Le lendemain matin, en me levant, je découvris que tante Alfreda était partie. J'imaginai qu'elle m'avait laissé un mot, entre les pages de mon Larousse, par exemple, mais, rien. En revanche, elle avait laissé sa valise rouge et à l'intérieur sa robe à rayures. Maman tenta de la joindre à plusieurs reprises… Elle ne répondit jamais à nos appels. Au début, je ressentis de la colère et de la déception, je crus qu'elle était égoïste, comme mon père. Et qu'aussi bien elle que lui s'étaient fichus de nous. Souvent, je lui pardonnai en pensant qu'elle nous prenait pour des gens ordinaires et simples. J'envisageai également la possibilité qu'elle soit stupide, stupide au point d'être incapable de reconnaître l'amour, pas même quand elle l'avait sous les yeux.

OK.