mercredi 16 mars 2016

Projet Marjorie / Maïté – phrases 2-3

Un día, no muy lejano de éste en que escribo, iba yo por una calle muy concurrida, cuando picó mi natural curiosidad un grupo de personas apiñadas alrededor de una especie de cajón pintado de verde y colocado sobre un trípode de cuatro palmos de elevación, y que tenía en el frente que daba a los espectadores un cristal de forma circular. Cada uno de los que se acercaban a mirar por él entregaba un par de cuartos a un hombre extravagantemente vestido, que tocaba el tamboril; mientras, un muchacho de unos doce años, cubierto de harapos y no tan limpio como cualquier cosa sucia, gritaba sin parar, diciendo:

Traduction temporaire :
Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, avec un miroir circulaire sur le devant qui faisait face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que tout ce que l'on peut trouver de sale, criait sans s'arrêter, disant :

11 commentaires:

Unknown a dit…

Un jour, pas très loin de celui où j'écris, j'allais par une rue très fréquentée, quand ma naturelle curiosité a été piqué par un groupe de personnes entassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et placée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant un cristal de forme circulaire que considéraient les spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour regarder par celui-ci remettait de l'argent à un homme extravagamment vêtu, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas aussi propre que quelque chose de sale, criait sans s'arrêter, en disant :

Maymay a dit…

Un jour pas si éloigné de celui où j’écris, je marchais dans une rue très fréquentée lorsque ma curiosité naturelle fut piquée par un groupe de personnes entassées autour d’une espèce de tiroir peint en vert et posé sur un tripode de quatre empans de hauteur et qui avait sur le devant faisant face aux spectateurs, un miroir circulaire. Chaque personne s’approchant pour s’y regarder remettait quelques pièces à un homme vêtu de façon extravagante qui jouait du tambourin ; pendant qu’un gamin d’une douzaine d’années, couvert de haillons et pas plus propre que toute chose sale, criait sans s’arrêter en disant :

Maïté (désolée, je ne trouvais pas la publication!)

Tradabordo a dit…

Un jour, pas très loin [mal dit] de celui où [naturel ?] j'écris, j'allais par [naturel ?] une rue très fréquentée, quand ma naturelle curiosité a été [on avait validé le passé composé ? Je ne me souviens plus…] piqué par un groupe de personnes entassées [adapté ici ?] autour d'une espèce de caisse peinte en vert et placée [« posée » ?] sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant un cristal de forme circulaire que considéraient les spectateurs [pas ce que dit la V.O.]. Chacun de ceux qui s'approchaient pour regarder par celui-ci [mal dit] remettait de l'argent à un homme extravagamment [on le dit naturellement ?] vêtu, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas aussi propre que quelque chose de sale [naturel ?], criait sans s'arrêter, en [NON] disant :

Maymay a dit…

Un jour plutôt proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma naturelle curiosité a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant faisant face aux spectateurs, un miroir circulaire. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que toute chose de sale, criait sans s'arrêter, disant :

Maïté

Tradabordo a dit…

Un jour [virgule] plutôt [mal dit] proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma naturelle curiosité [inverse] a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant faisant face aux spectateurs, un miroir circulaire [syntaxe]. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que toute chose de [?] sale, criait sans s'arrêter, disant :

Unknown a dit…

Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant un miroir circulaire qui faisait face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que n'importe quelle chose de sale, criait sans s'arrêter, disant :

Tradabordo a dit…

Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant un miroir circulaire qui [pas génial, les deux « qui »] faisait face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que n'importe quelle chose de [bof] sale, criait sans s'arrêter, disant :

Unknown a dit…

Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, avec un miroir circulaire sur le devant qui faisait face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que tout ce que l'on peut trouver de sale, criait sans s'arrêter, disant :

Maymay a dit…

Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, et qui avait sur le devant un miroir circulaire faisant face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que toute autre chose sale, criait sans s'arrêter, disant :

Maïté

Tradabordo a dit…

Un jour, assez proche de celui où j'écris, je marchais dans une rue très fréquentée, quand ma curiosité naturelle a été piqué par un groupe de personnes amassées autour d'une espèce de caisse peinte en vert et posée sur un trépied de quatre empans de hauteur, avec un miroir circulaire sur le devant qui faisait face aux spectateurs. Chacun de ceux qui s'approchaient pour s’y regarder remettait de l'argent à un homme vêtu de façon extravagante, qui jouait du tambourin ; tandis qu'un enfant d'une douzaine d'années, couvert de chiffons et pas plus propre que tout ce que l'on peut trouver de sale, criait sans s'arrêter, disant :

OK.

Maïté ?

Maymay a dit…

Ok pour moi!

Maïté