jeudi 24 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 160-163

Y por la cadena inmensa, a través de las manos entrelazadas, pasó un estremecimiento, una cálida vibración que abrasó todos los pechos, anegando las almas en un océano de luz. Disipáronse en los espíritus las sombras, y el más allá, el arcano indescifrable salió del caos de su negra noche. Y cada cual se penetró de que el incendio que ardía en sus corazones irradiaba sus lenguas fulguradoras hacia lo alto, donde se condensaban en un núcleo que fue creciendo y agitándose hasta estallar allá arriba, encima de sus cabezas, en un torbellino deslumbrador. Y aquel foco ardiente era el sol, pero un sol nuevo, sin manchas, de incomparable magnificencia que, forjado y encendido por la comunión de las almas, saludaba con la áurea pompa de sus resplandores a una nueva Humanidad.

Traduction temporaire :
Et à travers la chaîne immense des mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui embrasait leur cœur irradiait leur langue fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser au-dessus de leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans taches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

6 commentaires:

Medea a dit…

Et par la chaîne immense, au travers des mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits, et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui brûlait dans leurs cœurs irradiait leurs langues fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser là-haut, sur leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans tâches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

Tradabordo a dit…

Et par [je ne me souviens plus de ce qui précède ; vous êtes sûre que ça s'enchaîne bien, hein ? Juste pour confirmation ;-)] la chaîne immense, au [bof] travers des mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui brûlait [un moyen de ne pas répéter ?] dans leurs cœurs [grammaire] irradiait leurs langues [grammaire] fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser là-haut [un moyen de ne pas répéter], sur leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans tâches [ortho], d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

Medea a dit…

Et par [je ne me souviens plus de ce qui précède ; vous êtes sûre que ça s'enchaîne bien, hein ? Juste pour confirmation ;-) // On n'en parle pas juste avant, mais dans le paragraphe précédant] la chaîne immense, à travers les mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui embrasait leur cœur irradiait leur langue fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser au-dessus de leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans taches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

Tradabordo a dit…

Et par la chaîne immense, à travers les mains entrelacées [pas mieux : « Et à travers la chaîne immense des mains entrelacées » ?], un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui embrasait leur cœur irradiait leur langue fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser au-dessus de leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans taches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

Eh ben pas mal joué, petite !

Medea a dit…

Et à travers la chaîne immense des mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui embrasait leur cœur irradiait leur langue fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser au-dessus de leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans taches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

Tradabordo a dit…

Et à travers la chaîne immense des mains entrelacées, un frisson circula, une chaude vibration qui brûla toutes les poitrines, noyant les âmes dans un océan de lumière. Les ombres se dissipèrent dans les esprits et l'au-delà, l'arcane indéchiffrable, sortit du chaos de sa nuit noire. Et chacun comprit que l'incendie qui embrasait leur cœur irradiait leur langue fulgurante vers le haut, où elles se condensaient en un noyau qui grandissait et s'agitait, jusqu'à exploser au-dessus de leurs têtes, dans un tourbillon éblouissant. Et ce foyer ardent était le soleil, mais un nouveau soleil, sans taches, d'une magnificence incomparable, qui, forgé et allumé grâce à la communion des âmes, saluait une nouvelle Humanité avec les fastes dorées de ses resplendissements.

OK.

Bon, on va finir la section d'avant… et la trad sera achevée. Puisque manifestement, Iris a abandonné, je vais coller toutes les sections dans « Travaux en cours » – vous irez prendre l'ensemble, depuis le début et vous relirez, pour être sûre qu'il n'y a pas de coquilles + qu'il ne manque pas des phrases. Il arrive que l'enregistrement dans « Travaux en cours » se fasse mal… Quand c'est prêt, vous m'envoyez ça par mail.