samedi 19 mars 2016

Projet Sonita / Élise 3 – phrases 666-680

¡Cuidado! —dijo la voz en su mente.
¡Son terribles! —pensó Zebrel—. No es lo que dicen, por cierto, sino cómo lo dicen.
Son terribles —dijo la voz—, temibles, despiadados. Al final de la fila, la penúltima silla.
¿Qué hay?
Al final de la fila —repitió la voz—, la penúltima silla.
Zebrel estiró el cuello. La sala estaba en penumbras. Una rojiza opacidad parecía envolver los cuerpos, y el zumbido, antes imperceptible, le hormigueaba en los oídos. Al final de la fila, la penúltima silla.
Logró moverse hacia adelante para quedar en la misma línea de la penúltima silla. Como la imagen era vaga, se esforzó, como si tratara de recordar alguna de sus pesadillas infantiles. El rostro de un monstruo en el espejo se aproximó envuelto en una bruma oscura. El horror emergió del conocimiento y le partió el corazón como una nuez podrida.

Traduction temporaire :

— Attention ! prévint la voix dans sa tête.
— Ils sont terribles ! songea Zebrel. Ce n’est pas tant ce qu’ils disent, d'ailleurs, que la manière dont ils le disent.
— Ils sont terribles, dit la voix, redoutables, impitoyables. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
— Qu’y a-t-il ?
— Au bout de la file, insista la voix, l’avant-dernier fauteuil.
Zebrel tendit le cou. La salle était dans la pénombre. Une opacité rougeâtre semblait envelopper les corps, et le bourdonnement, avant imperceptible, fourmillait dans ses oreilles. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
Il réussit à avancer et se mettre sur la même ligne que l’avant-dernier fauteuil. Étant donné que l’image était vague, il s’efforça, comme s’il s’agissait de se souvenir de l’un des cauchemars de son enfance. Le visage d’un monstre sur le miroir se rapprocha, enveloppé d'une brume obscure. L’horreur émergea de la conscience et lui brisa le cœur comme une noix pourrie.

4 commentaires:

Sonita a dit…

— Attention ! prévint la voix dans sa tête.
— Ils sont terribles ! se dit Zebrel en son for intérieur. Ce n’est pas ce qu’ils disent, au fait, mais la manière dont ils le disent.
— Ils sont terribles, ponctua la voix, redoutables, impitoyables. Au bout de la file, l’avant dernier fauteuil.
— Qu’y a-t-il ?
— Au bout de la file, insista la voix, l’avant dernier fauteuil.
Zebrel tendit le cou. La salle était dans la pénombre. Une opacité rougeâtre semblait envelopper les corps, et le bourdonnement, avant imperceptible, fourmillait dans ses oreilles. Au bout de la file, l’avant dernier fauteuil.
Il réussit à avancer afin d’être sur la même ligne que l’avant dernier fauteuil. Étant donné que l’image était floue, il s’efforça, comme s’il s’agissait de se souvenir de l’un de ses cauchemars de son enfance. Le visage d’un monstre sur le miroir se rapprocha enveloppé dans une brume obscure. L’horreur émergea de la connaissance et lui brisa le cœur telle une noix pourrie.

Tradabordo a dit…

— Attention ! prévint la voix dans sa tête.
— Ils sont terribles ! se dit Zebrel en son for intérieur [« songea » et ça suffira]. Ce n’est pas [« tant »] ce qu’ils disent, au fait [« d'ailleurs »], mais [« que »] la manière dont ils le disent.
— Ils sont terribles, ponctua [littéral] la voix, redoutables, impitoyables. Au bout de la file, l’avant dernier [tiret ? Vérifie] fauteuil.
— Qu’y a-t-il ?
— Au bout de la file, insista la voix, l’avant dernier [idem ?] fauteuil.
Zebrel tendit le cou. La salle était dans la pénombre. Une opacité rougeâtre semblait envelopper les corps, et le bourdonnement, avant imperceptible, fourmillait dans ses oreilles. Au bout de la file, l’avant dernier [idem] fauteuil.
Il réussit à avancer afin d’être sur [« et se mettre »] la même ligne que l’avant dernier [idem ?] fauteuil. Étant donné que l’image était floue [littéral ?], il s’efforça, comme s’il s’agissait de se souvenir de l’un de ses cauchemars de son [les deux possessifs, ça ne va pas] enfance. Le visage d’un monstre sur le miroir se r[?]approcha [virgule] enveloppé dans [« d' »] une brume obscure. L’horreur émergea de la connaissance [?] et lui brisa le cœur telle [bof] une noix pourrie.

Sonita a dit…

— Attention ! prévint la voix dans sa tête.
— Ils sont terribles ! songea Zebrel. Ce n’est pas tant ce qu’ils disent, d'ailleurs, que la manière dont ils le disent.
— Ils sont terribles, dit la voix, redoutables, impitoyables. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
— Qu’y a-t-il ?
— Au bout de la file, insista la voix, l’avant-dernier fauteuil.
Zebrel tendit le cou. La salle était dans la pénombre. Une opacité rougeâtre semblait envelopper les corps, et le bourdonnement, avant imperceptible, fourmillait dans ses oreilles. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
Il réussit à avancer et se mettre sur la même ligne que l’avant-dernier fauteuil. Étant donné que l’image était vague, il s’efforça, comme s’il s’agissait de se souvenir de l’un des cauchemars de son enfance. Le visage d’un monstre sur le miroir se rapprocha, enveloppé d'une brume obscure. L’horreur émergea de la conscience et lui brisa le cœur comme une noix pourrie.

Tradabordo a dit…

— Attention ! prévint la voix dans sa tête.
— Ils sont terribles ! songea Zebrel. Ce n’est pas tant ce qu’ils disent, d'ailleurs, que la manière dont ils le disent.
— Ils sont terribles, dit la voix, redoutables, impitoyables. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
— Qu’y a-t-il ?
— Au bout de la file, insista la voix, l’avant-dernier fauteuil.
Zebrel tendit le cou. La salle était dans la pénombre. Une opacité rougeâtre semblait envelopper les corps, et le bourdonnement, avant imperceptible, fourmillait dans ses oreilles. Au bout de la file, l’avant-dernier fauteuil.
Il réussit à avancer et se mettre sur la même ligne que l’avant-dernier fauteuil. Étant donné que l’image était vague, il s’efforça, comme s’il s’agissait de se souvenir de l’un des cauchemars de son enfance. Le visage d’un monstre sur le miroir se rapprocha, enveloppé d'une brume obscure. L’horreur émergea de la conscience et lui brisa le cœur comme une noix pourrie.

OK.