vendredi 25 mars 2016

Projet Sonita / Élise 3 – phrases 691-701

Ya te lo dije: te buscaba y casi te encontró.
El remolino de sillas había acorralado al hombre y a la mujer, por lo que el zumbido de las avispas se intensificó. Sólo faltaban unos segundos para que los guardias irrumpieran en la sala. Zebrel buscó al enfermero y no lo vio, por lo que no le costó nada imaginarlo corriendo por los pasillos en busca de ayuda.
No entiendo —dijo Zebrel—. No entiendo cómo llegan tus palabras a mi mente, por qué le hicieron algo tan atroz, por qué nos han dejado solos; tampoco entiendo la rebelión de esta gente. —Zebrel movió el brazo en abanico y la visión del muñón, refulgiendo en la purpúrea oscuridad, puso en evidencia su impotencia.
Demasiadas preguntas —dijo la voz—. Nada sobrenatural. También le hablamos a ella. Sabe que estás aquí, que por fin te ha encontrado.

Traduction temporaire :

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour obtenir de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d'extraordinaire. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

10 commentaires:

Sonita a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué : elle te cherchait et t’a presque trouvé.
Le tourbillon de fauteuils avait coincé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il en restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption [cheville : « dans la salle » ?]. Zebrel chercha l’infirmier des yeux mais ne le vit pas. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs à la recherche d’aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils abandonnés ? Je ne comprends pas la rébellion de ces personnes, non plus. Zebrel bougea son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourprée, mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d’un autre monde. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin trouvé.

Tradabordo a dit…

Pas de : et de ; dans les dialogues.

Sonita a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et t’a presque trouvé.
Le tourbillon de fauteuils avait coincé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption [cheville : « dans la salle » ?]. Zebrel chercha l’infirmier des yeux mais ne le vit pas. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs à la recherche d’aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils abandonnés ? Je ne comprends pas la rébellion de ces personnes, non plus. Zebrel bougea son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourprée, mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d’un autre monde. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin trouvé.

Tradabordo a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et t’a presque [ou « a bien failli » ? Comme tu préfères] trouvé.
Le tourbillon de fauteuils avait coincé [« acculé » ?] l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption [cheville : « dans la salle » ? OK, mais pas obligée]. Zebrel chercha l’infirmier des yeux [virgule avant mais] mais ne le vit pas [ou tu résumes tout ça avec « en vain »]. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs à la recherche [« pour aller chercher de »] d’aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils abandonnés [texte ?] ? Je ne comprends pas la rébellion de ces personnes, non plus [avance-le]. Zebrel bougea [« agita » ?] son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourprée [?], [sans la virgule] mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d’un autre monde [très mal dit]. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin [« re »]trouvé.

Sonita a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour aller chercher de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien de bizarre. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

Tradabordo a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour aller chercher [tu l'as dans la phrase d'avant] de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien de bizarre [ou « d'extraordinaire » ?]. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

Sonita a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour aller obtenir de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d'extraordinaire. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

Tradabordo a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour aller [supprime] obtenir de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d'extraordinaire. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

Sonita a dit…


— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour obtenir de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d'extraordinaire. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

Tradabordo a dit…

— Je te l’ai déjà expliqué, elle te cherchait et a bien failli te trouver.
Le tourbillon de fauteuils avait acculé l’homme et la femme, de sorte que le bourdonnement des guêpes s’intensifia. Il ne restait que quelques secondes avant que les gardes ne fassent irruption dans la salle. Zebrel chercha l’infirmier des yeux, en vain. Il n’eut aucun mal à l’imaginer courir dans les couloirs pour obtenir de l'aide.
— Je ne comprends pas, dit Zebrel. Je ne comprends pas comment tes mots arrivent dans ma tête. Pourquoi lui ont-ils fait une chose aussi atroce ? Pourquoi nous ont-ils laissés seuls ? Je ne comprends pas non plus la rébellion de ces personnes. Zebrel agita son bras en éventail et la vue du moignon qui resplendissait dans l’obscurité pourpre mit son impuissance en évidence.
— Trop de questions, répondit la voix. Rien d'extraordinaire. On lui parle à elle aussi. Elle sait que tu es là, qu’elle t’a enfin retrouvé.

OK.