lundi 8 février 2016

Projet Camille / Angélique – phrases 70-75

Quedó otra vez solo, más solo aún, puesto que ya no pudo ver a su mujer. Se consoló con el presentimiento de que el alma de ella estaba a su lado, contemplando también a las hijas comunes. ¿Se daría cuenta su mujer de que él estaba allí? Sí... ¡claro!... qué duda había. ¡Era tan natural! Hasta que un día tuvo, por primera vez desde que estaba muerto, esa sensación de más allá, de misterio, que tantas veces lo había sobrecogido cuando vivo; ¿y si toda la casa estuviera poblada de sombras de lejanos parientes, de amigos olvidados, de fisgones, que divertían su eternidad espiando las huérfanas?

Traduction temporaire :
Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles, le consola. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !… Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

8 commentaires:

Unknown a dit…

Il resta une autre fois seul, encore plus seul, puisque il ne put plus voir sa femme. Il se consola avec le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles communes. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr ! Quel doute y avait-il ? C'était si naturel !
Jusqu'au jour où il eut, pour la première fois depuis qu'il était mort, cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisit d'effroi lorsqu'il vivait. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui divertiraient leur éternité en épiant ses orphelines ?

Tradabordo a dit…

Il resta une autre fois seul [mal dit + pas tout à fait ça…], encore plus seul, puisque il [« dès lors qu'il »] ne put plus voir sa femme. Il se consola avec le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles communes [vu que vous avez mis le possessif, vous pouvez supprimer l'adjectif]. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr ! [les points de suspension] Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Jusqu'au jour où il eut [mettez ça après], pour la première fois depuis qu'il était mort, cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisit [grammaire] d'effroi lorsqu'il vivait [pas certaine de la syntaxe pour la fin]. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui divertiraient [« égayaient »] leur éternité en épiant ses [pour le coup : « les » ?] orphelines ?

Unknown a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Il se consola avec le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !... Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

Tradabordo a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Il se consola avec le pressentiment [pas plus naturel avec : « le pressentiment que…………… le consola » ? Essayez et voyez ce qui est mieux…] que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !... [raccourci clavier des points de suspension ! Franchement trois petits points à côté, c'est indigne de vous… mais ça n'est pas non plus affreux. Conclusion : je ne le mets pas dans la colonne des infamies (vous savez laquelle)] Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

Unknown a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Le pressentiment que son âme était à ses côtés le consola, contemplant elle aussi leurs filles. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !… [ "Je ne vois pas du tout ce que vous voulez" tels sont ses mots ] Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

Tradabordo a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Le pressentiment que son âme était à ses côtés le consola, contemplant elle aussi leurs filles [mais du coup, il faut avancer ça aussi… sinon, ça ne fonctionne pas]. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !… Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

Comme je vais fermer la boutique, corrigez ce petit truc… et je vous mets la suite dans un nouveau post.

Unknown a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles, le consola. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !… Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

Tradabordo a dit…

Il se retrouva de nouveau seul, encore plus seul, dès lors qu'il ne ne put plus voir sa femme. Le pressentiment que son âme était à ses côtés, contemplant elle aussi leurs filles, le consola. Sa femme se rendrait-elle compte qu'il était là ? Oui… Bien sûr !… Quel doute y avait-il ? C'était si naturel ! Pour la première fois depuis qu'il était mort, jusqu'au jour où il eut cette sensation d'au-delà, de mystère, qui tant de fois l'avait saisi d'effroi lorsqu'il était vivant. Et si toute la maison était peuplée d'ombres de lointains parents, d'amis oubliés, de fouineurs, qui égayaient leur éternité en épiant les orphelines ?

OK.