vendredi 4 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 121-130

El exdetective le respondió con una mirada.
— ¿Me va a ayudar o no?
— Lo siento.
— Entonces, creo que he perdido el tiempo, con su permiso.
La fiscal se levantó, dejó el vaso con agua a medio tomar sobre la mesa de centro y caminó hasta la puerta del departamento. Amador la despidió con amabilidad.
El comisario Martínez esperó a oír cómo el ascensor se abría y cerraba al fondo del corredor, luego cruzó la cadena de la puerta de su departamento y regresó a la cocina. Tuvo que volver a calentar el arroz.
Días después Amador Martínez jugaba con la tarjeta de presentación de Antonieta Baculic. El logo del gobierno, de la fiscalía, el nombre de la muchacha, un teléfono y una dirección de correo electrónico; al reverso, garabateado, el número de un celular. 

Traduction temporaire :
L'ex-enquêteur lui répondit d'un regard.
— Vous allez m'aider ou pas ?
— Je regrette.
— Dans ce cas, j'ai assez perdu de temps, excusez-moi.
La procureure se leva, posa son verre d'eau à moitié bu sur la table basse et se dirigea vers la porte de l'appartement. Amador prit congé aimablement. Il attendit d'entendre l'ascenseur s'ouvrir et se refermer au fond du couloir, puis il mit la chaîne sur sa porte et regagna sa cuisine. Il dut réchauffer son riz.

Plusieurs jours plus tard, le commissaire Martínez jouait avec la carte de visite d'Antonieta Baculic. Le logo du gouvernement, celui du ministère public, le nom de la jeune femme, un téléphone et un mail ; griffonné au dos, un numéro de portable.

4 commentaires:

Justine a dit…

L'ex-enquêteur lui répondit d'un regard.
— Vous allez m'aider ou pas ?
— Je regrette.
— Dans ce cas, j'ai assez perdu de temps. Je m'en vais.
La procureure se leva, posa son verre d'eau à moitié plein sur la table basse et avança jusqu'à la porte de l'appartement. Amador prit congé aimablement. Le commissaire Martínez attendit d'entendre l'ascenseur s'ouvrir et se refermer au fond du couloir, puis il mit la chaîne sur sa porte et retourna dans sa cuisine. Il dut réchauffer son riz.
Plusieurs jours plus tard, Amador Martínez jouait avec la carte de visite d'Antonieta Baculic. Le logo du gouvernement, celui du ministère public, le nom de la jeune femme, un numéro de téléphone et un mail ; griffonné au dos, un numéro de portable.

Tradabordo a dit…

L'ex-enquêteur lui répondit d'un regard.
— Vous allez m'aider ou pas ?
— Je regrette.
— Dans ce cas, j'ai assez perdu de temps. Je m'en vais [texte].
La procureure se leva, posa son verre d'eau à moitié plein [texte] sur la table basse et avança jusqu'à [« se dirigea vers »] la porte de l'appartement. Amador prit congé aimablement. Le commissaire Martínez attendit [Ou simplement « Il » ?] d'entendre l'ascenseur s'ouvrir et se refermer au fond du couloir, puis il mit la chaîne sur sa porte et retourna [avec « regagner » ? Comme tu veux…] dans sa cuisine. Il dut réchauffer son riz.
Plusieurs jours plus tard, Amador [mets « commissaire », ici] Martínez jouait avec la carte de visite d'Antonieta Baculic. Le logo du gouvernement, celui du ministère public, le nom de la jeune femme, un numéro [nécessaire ici ?] de téléphone et un mail ; griffonné au dos, un numéro de portable.

Justine a dit…

L'ex-enquêteur lui répondit d'un regard.
— Vous allez m'aider ou pas ?
— Je regrette.
— Dans ce cas, j'ai assez perdu de temps, excusez-moi.
La procureure se leva, posa son verre d'eau à moitié bu sur la table basse et se dirigea vers la porte de l'appartement. Amador prit congé aimablement. Il attendit d'entendre l'ascenseur s'ouvrir et se refermer au fond du couloir, puis il mit la chaîne sur sa porte et regagna sa cuisine. Il dut réchauffer son riz.
Plusieurs jours plus tard, le commisaire Martínez jouait avec la carte de visite d'Antonieta Baculic. Le logo du gouvernement, celui du ministère public, le nom de la jeune femme, un téléphone et un mail ; griffonné au dos, un numéro de portable.

Tradabordo a dit…

L'ex-enquêteur lui répondit d'un regard.
— Vous allez m'aider ou pas ?
— Je regrette.
— Dans ce cas, j'ai assez perdu de temps, excusez-moi.
La procureure se leva, posa son verre d'eau à moitié bu sur la table basse et se dirigea vers la porte de l'appartement. Amador prit congé aimablement. Il attendit d'entendre l'ascenseur s'ouvrir et se refermer au fond du couloir, puis il mit la chaîne sur sa porte et regagna sa cuisine. Il dut réchauffer son riz.
Plusieurs jours plus tard, le commissaire Martínez jouait avec la carte de visite d'Antonieta Baculic. Le logo du gouvernement, celui du ministère public, le nom de la jeune femme, un téléphone et un mail ; griffonné au dos, un numéro de portable.

OK.