vendredi 4 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 131-137

Dejó la tarjeta sobre el escritorio, acomodó unas carpetas para disimular y continuó leyendo en la pantalla del computador. Hacía tiempo que no lo hacía, meterse a los expedientes de la Brigada de Homicidios, pero ahora las cosas eran distintas, los “devorados” habían regresado, Antonieta y sus muchachos no tenían idea en lo que estaban metidos. Crímenes sin resolver, igual que sus “veinte”, los de 1995, los que pasaron y supuestamente a nadie le importaron. Ahora al menos los jefes fingían estar apoyando al nuevo equipo. Antonieta se veía lista, sus antecedentes además revelaban sus capacidades, pero aún era ingenua, lo suficiente como para no llamarle la atención que nadie la presionara por solucionar rápido el caso, tampoco que asesinatos de similares características apenas fueran mencionados en la prensa, pero bueno, hace quince años él tampoco se percató de esas señales, vino a percibirlas cuando ya era demasiado tarde. Levantó el teléfono y marcó el celular de la fiscal.
Tono muerto, nadie respondió.
Una semana después retomaron contacto.

Traduction temporaire :
Il abandonna la carte sur son bureau, l'ensevelit sous des dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se mêlait plus des affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes : les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, qui n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve, suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

8 commentaires:

Justine a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, la planqua sous des dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Ça faisait longtemps qu'il ne mettait plus son nez dans les affaires de la Brigade des Homicides, mais là, les choses étaient différentes, les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée du bourbier dans lequel ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, ceux qui avaient eu lieu, mais n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente, en plus ses antécédents révélaient ses capacités, mais elle était encore ingénue ; suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Mais bon, il y a quinze ans, lui n'ont plus n'avait pas su déceler ces signes, quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Tradabordo a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, la planqua [registre] sous des dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Ça [« Cela »] faisait [en fait, débrouille-toi pour construire la phrase sans « faire » ; avec un « depuis » ? Essaie…] longtemps qu'il ne mettait plus son nez [bof ici] dans les affaires de la Brigade des Homicides, [point ?] mais là, les choses étaient différentes, les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée du bourbier [ajout = interprétation ou surtraduction] dans lequel ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, ceux qui avaient eu lieu, mais [tu viens d'en mettre un] n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente, [point ou point-virgule] en plus ses antécédents révélaient ses [bof… là, pour le coup, tu te laisses porter par la V.O.] capacités, mais [X3] elle était encore ingénue [mal dit ici] ; suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Mais [X4] bon, il y a [ce sera mieux avec « plus tôt »] quinze ans, lui n'ont plus n'avait pas su déceler ces signes, [point] quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Justine a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, la recouvrit de dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se plongeait plus dans les affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes, les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, ceux qui avaient eu lieu et n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve ; suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Tradabordo a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, la recouvrit de [« l'ensevelit sous » ?] dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se plongeait [pas vraiment le sens] plus dans les affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes, [deux points ? Comme tu veux] les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, ceux qui avaient eu lieu et [je supprimerais ce petit bout de phrase ; bof, non ?] n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve ; [virgule] suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Justine a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, l'ensevelit sous dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se mêlait plus des affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes : les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, qui n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve, suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Tradabordo a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, l'ensevelit sous [manque quelque chose] dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se mêlait plus des affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes : les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, qui n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve, suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Justine a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, l'ensevelit sous des dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se mêlait plus des affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes : les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, qui n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve, suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

Tradabordo a dit…

Il abandonna la carte sur son bureau, l'ensevelit sous des dossiers et reprit sa lecture sur l'écran de son ordinateur. Il ne se mêlait plus des affaires de la Brigade des Homicides depuis longtemps. Désormais, les choses étaient différentes : les « dévorés » étaient revenus. Antonieta et ses hommes n'avaient pas la moindre idée de là où ils avaient mis les pieds. Des crimes non résolus, semblables à ses « vingt », ceux de 1995, qui n'avaient apparemment intéressés personne. Maintenant, au moins, les chefs feignaient de soutenir la nouvelle équipe. Antonieta avait l'air intelligente. De plus, ses antécédents prouvaient de quoi elle était capable ; ce qui ne l'empêchait pas d'être encore naïve, suffisamment pour ne pas remarquer que personne ne lui mettait la pression pour qu'elle résolve cette affaire au plus vite, ou que des assassinats présentant des caractéristiques similaires avaient été à peine évoqués dans la presse. Après tout, quinze ans plus tôt, lui non plus n'avait pas su déceler ces signes. Quand il s'en était aperçu, il était déjà trop tard ! Il décrocha son téléphone et composa le numéro de la procureure. Juste la tonalité, personne au bout du fil. Une semaine plus tard, ils reprirent contact.

OK.