mercredi 16 mars 2016

Projet Sarah S – phrases 38-46

El guardia de seguridad que estaba al otro lado del vidrio acudió a su rescate y le abrió la puerta de emergencia, que era de las comunes. Luego la guió hasta el mostrador, donde una recepcionista anotó su nombre y el número de libreta cívica. Por último, el guardia apoyó una tarjeta sobre el lector del molinete que permitía el acceso a los ascensores. Lidia no oyó el click pero observó la lucecita verde.
Las oficinas de la compañía ocupaban un piso entero. El hall estaba atestado, apenas cabía una persona más. Lidia sacó número y una mujer con delantal de empleada doméstica la llamó “abuela” y le cedió el asiento. Nuevamente, apoyó el paquete sobre su regazo. Le dio cuerda a su reloj de pulsera, que no usaba desde hacía añares, y sincronizó las agujas según la hora que dijeron por la radio.

Traduction temporaire :
Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, qui était des plus ordinaires. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert. Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. De nouveau, elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et la régla en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à sa rescousse et lui ouvrit la porte de secours, ce qui était courant [je n'ai pas du tout compris le sens de "de las comunes"]. Il l'amena ensuite au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, l'agent passa une carte sur le lecteur du tourniquet qui permettait l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic mais aperçut le voyant vert.

Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine de la place pour une personne de plus. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois, elle porta le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre bracelet qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et ajusta les aiguilles en fonction de l'heure qu'ils annoncèrent à la radio.

Tradabordo a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à sa [je ne crois pas qu'on mettrait le possessif] rescousse et lui ouvrit la porte de secours, ce qui était courant [je n'ai pas du tout compris le sens de "de las comunes" / Première étape : tapez «que era de las comunes» (avec les guillemets) dans Google et voyez ce qu'on vous donne… Par recoupement, déduction, etc., vous devriez trouver]. Il l'amena [« conduisit » ?] ensuite au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité [vous avez bien vérifié, quand même ? Juste pour être sûre]. Enfin, l'agent [il faut répéter, pour qu'on sache bien qu'il s'agit de la même personne] passa une carte sur le lecteur du tourniquet qui permettait [« permettant » ? Comme vous préférez] l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic [virgule avant « mais »] mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine de [nécessaire ? ou « à peine assez » ?] la place pour une personne de plus [« supplémentaire » ?]. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois [bof], elle porta [il y a mieux] le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre bracelet [nécessaire ?] qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et ajusta les aiguilles en fonction de l'heure qu'ils [qui « ils » ?] annoncèrent à la radio.

Unknown a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, ce qui était ordinaire. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité [vous avez bien vérifié, quand même ? Juste pour être sûre /// oui j'ai bien vérifié, c'était un papier donné aux femmes dès leur majorité en Argentine, et qui a été remplacé par le Documento Nacional de Identidad, donc je pense que c'est la traduction adéquate]. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus supplémentaire. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois [bof], elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et ajusta les aiguilles en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

Tradabordo a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, ce qui était ordinaire [attention : « que era de LAS comunes »]. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus [supprimez] supplémentaire. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois [bof], elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et ajusta [au fait, vous dites comme ça quand vous réglez votre montre ? ;-)] les aiguilles en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

Unknown a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, ce qui faisait partie des choses ordinaires. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus [supprimez] supplémentaire. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois [bof], elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et la régla en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

Tradabordo a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, ce qui faisait partie des choses ordinaires [pour vous, ce féminin de la V.O. se rapporte à quoi ?]. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus [supprimez] supplémentaire. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. Une nouvelle fois [bof / commentaire non vu], elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et la régla en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

Unknown a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, qui était des plus ordinaires [pour vous, ce féminin de la V.O. se rapporte à quoi ? /// ah, il se rapporte à la "puerta" ?]. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. De nouveau, elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et la régla en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

Tradabordo a dit…

Le vigile qui se trouvait de l'autre côté de la vitre vint à la rescousse de la vieille dame et lui ouvrit la porte de secours, qui était des plus ordinaires. Il la conduisit ensuite jusqu'au comptoir, où une réceptionniste nota son nom et son numéro d'identité. Enfin, le vigile passa une carte sur le lecteur du tourniquet permettant l'accès aux ascenseurs. Lidia n'entendit pas le clic, mais aperçut le voyant vert.
Les bureaux de la société occupaient un étage entier. Le hall était bondé, il restait à peine assez de place pour une personne de plus. Lidia tira un numéro et une dame avec un tablier de femme de ménage l'appela "grand-mère" et lui céda son siège. De nouveau, elle posa le paquet sur son giron. Elle remonta sa montre qu'elle n'utilisait plus depuis des années, et la régla en fonction de l'heure qu'on annonça à la radio.

OK.