samedi 19 mars 2016

Projet Justine / Marie G. 2 – phrases 188-195

¿Tienes de casualidad un cenicero? –me preguntó, sentándose en la cama para sacarse los zapatos.
Aquí nadie fuma –le dije, sorprendiéndome porque nunca había pensado en eso, siendo que nos dedicábamos a cultivar tabaco. (Ahora fumo un paquete diario de Piel Roja, que era lo que ella fumaba aquella noche).
Después de pasar dos horas intentando dormirme, decidí que no lo conseguiría, así que me levanté y salí de la habitación cuidando de no despertar a Elisa. La noche estaba despejada y el cielo lleno de estrellas. Deambulé por ahí hasta llegar al caney. Para mi sorpresa y secreta alegría, la tía Alfreda también estaba levantada, fumando. Supe enseguida que la habían picado los zancudos porque se rascaba las piernas, desesperada y lamenté no haber pensado en ello antes para haberle puesto un mosquitero.

Traduction temporaire :

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac (Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait, ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai jusqu'à l'auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques, parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

6 commentaires:

Justine a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle tout en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac.(Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai par là jusqu'au auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

Tradabordo a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle tout [idiot d'en gaspiller un pour si peu] en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac.(Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait [virgule ?] ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai par là [bof] [virgule] jusqu'au [hiatus ?] auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques [virgule] parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

Justine a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac.(Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait, ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai ainsi, jusqu'à l'auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques, parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

Tradabordo a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac (Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait, ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai ainsi [non ; mal dit], jusqu'à l'auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques, parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

Justine a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac (Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait, ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai jusqu'à l'auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques, parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

Tradabordo a dit…

— Est-ce que par hasard, tu aurais un cendrier ? me demanda-t-elle en s'asseyant sur le lit pour enlever ses chaussures.
— Personne ne fume, ici, lui répondis-je, étonnée de ne jamais m'être fait la réflexion avant, alors que nous cultivions du tabac (Maintenant, je fume un paquet par jour de Piel Roja, ce qu'elle fumait, ce soir-là).
Après avoir passé deux heures à essayer de dormir, je décidai que je n'y arriverais pas ; je me levai donc et sortis de la chambre en veillant à ne pas réveiller Elisa. La nuit était dégagée et le ciel plein d'étoiles. Je déambulai jusqu'à l'auvent. À ma grande surprise et pour ma joie secrète, tante Alfreda était levée, elle aussi ; elle fumait. Je sus tout de suite qu'elle avait été piquée par les moustiques, parce qu'elle se grattait les jambes, désespérée. Je regrettai de ne pas y avoir pensé plus tôt, sinon, je lui aurais posé une moustiquaire.

OK.