mercredi 16 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 125-132

Dentro de la alta torre el tiempo transcurre para el monarca insensiblemente. Una deliciosa languidez lo invade. En el interior de la regia cámara, suspendido, como una maravillosa lámpara, está el celeste prisionero. Por una rendija imperceptible de su cárcel brota un intensísimo rayo de luz. Afuera una oscuridad profunda envuelve los valles, las llanuras, las colinas y las montañas. El cielo está negro como la tinta y cual enlutado túmulo lucen en él como lágrimas los astros. Apoyado en la ventana ha asistido mudo e impasible a la lenta agonía de todos los seres. Poco a poco han ido extinguiéndose los clamores y los incendios, hasta que ni el más leve destello rasgó ya la lobreguez de la noche eterna.

Traduction temporaire :
Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, ressemblant à une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle.

11 commentaires:

Medea a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule sensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, tel une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et dont le tombeau en deuil brille en lui comme des larmes pour les astres [je n'ai pas bien compris cette partie de la phrase]. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira plus l'opacité de la nuit éternelle.

Tradabordo a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule sensiblement [attention, vous avez lu trop vite] pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, tel [grammaire ; ça s'accorde avec ce qui suit] une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de [le « de » est-il nécessaire ?] l'encre et dont [il est là, le CS] le tombeau en deuil brille [grammaire] en lui comme des larmes pour les astres [ça va avec « lucen »]. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira [grammaire] plus l'opacité de la nuit éternelle.

Medea a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, telle une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de [le « de » est-il nécessaire ? // moi je mettrais avec le "de" mais on peut mettre sans aussi] l'encre et dans le tombeau en deuil brillent en lui comme des larmes pour les astres. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira [grammaire // j'arrive pas à voir où est ma faute, elle est au niveau du verbe ?] plus l'opacité de la nuit éternelle.

Tradabordo a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, telle une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et dans

cual enlutado túmulo = c'est une comparaison

le tombeau en deuil brillent en lui comme des larmes pour les astres. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira [grammaire // j'arrive pas à voir où est ma faute, elle est au niveau du verbe ?] plus l'opacité de la nuit éternelle.

Medea a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, telle une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et que [?] le tombeau en deuil brillent en lui comme des larmes pour les astres. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira [grammaire // j'arrive pas à voir où est ma faute, elle est au niveau du verbe ?] plus l'opacité de la nuit éternelle.

Tradabordo a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, telle une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et que [?] [« tel » / mais du coup, il faudra changer celui d'avant] le [« un »] tombeau en deuil brillent en lui comme des larmes pour les astres [non, ce sont les astres qui brillent dans le ciel et ça ressemble à un………]. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchira [grammaire // j'arrive pas à voir où est ma faute, elle est au niveau du verbe ? déchire] plus l'opacité de la nuit éternelle.

Medea a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, telle une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle

Medea a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, à l'instar d'une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle.

Tradabordo a dit…

Je vois que « à l'instar » n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde :-))))

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, à l'instar d'[« ressemblant à » ?]une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle.

Medea a dit…

Oui, je me suis souvenue du cours :-))

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, ressemblant à une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle.

Tradabordo a dit…

Dans la haute tour, le temps s'écoule insensiblement pour le monarque. Une délicieuse langueur l'envahit. À l'intérieur de la chambre royale, se trouve le prisonnier céleste, suspendu, ressemblant à une lampe merveilleuse. Par une fente imperceptible de sa prison, un très intense rayon de lumière jaillit. Dehors, une profonde obscurité enveloppe les vallées, les plaines, les collines et les montagnes. Le ciel est noir comme de l'encre et tel un tombeau en deuil, les astres brillent en lui comme des larmes. Appuyé à la fenêtre, il a assisté, muet et impassible, à la lente agonie de tous les êtres. Peu à peu, les clameurs et les incendies se sont éteints, jusqu'à ce que même la plus légère étincelle ne déchire plus l'opacité de la nuit éternelle.

OK.

Iris ?