jeudi 3 mars 2016

Projet Chloé T 3 – phrases 123-142

Ja, ja, ja… No, nada que ver. En realidad nos sentíamos el rey y la reina. No te imaginas lo que yo sentía y sé que ella también sentía lo mismo, éramos libres a pesar de la gente que pasaba por nuestro lado. Las calles eran nuestras, nadie podía decir que no. Cerca al local del partido aprista, se soltó de mi mano y trotó hacia las rejas.
El partido que gobierna este país cantó Aleh, sacudiendo las rejas con las manos– ¡Y toda su oposición parlamentaria, las patronales, los sindicatos todos contribuyen a nuestro fracaso!
¿Qué era eso? –pregunta Iosú.
Otra canción de Eskorbuto –responde Jualma–. Yo me acerqué y en vez de sacarla me reía de la cara de los apristas. Cantamos juntos: Desde sus poltronas, prometieron solución para todos los problemas de esta nación, ¡Paro! ¡Miseria! ¡Humillación! Fue lo que obtuvimos, sólo una casualidad podrá desatar una reacción.
¡Es un crimen! –gritó el coro, Aleh, con mucho odio– ¡Es un crimen, es un crimen...!
Pero la tuve que sacar.
¿Por?

Traduction temporaire :

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et a cavalé en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

7 commentaires:

Mme B. a dit…

— Ha ha ha, non, rien à voir. En fait on se comportait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose ; on était seuls, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle me lâcha la main et cavala en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précisa Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté, ensemble, Installés dans leurs fauteuils, ils nous ont promis de trouver une solution pour tous les problèmes de cette nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est tout ce qu’on a gagné, et il suffira juste d’une occasion pour déchaîner les réactions.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, et Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

Tradabordo a dit…

— Ha ha ha [les points de suspension de la V.O.], non, rien à voir. En fait [virgule] on se comportait [texte] comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose ; [PAS DE ; ET DE : DANS LES DIALOGUES] on était seuls [texte ?], malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle me lâcha [on était bien au passé simple ? Juste pour être sûre… Dans la suite, tu as mis du passé composé. Ça, c'est la règle de base : être au point avec ses temps… Tu ne dois pas mélanger. Tu fais un choix au début et tu t'e tiens.] la main et cavala en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précisa [temps] Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté, [la virgule est-elle nécessaire ?] ensemble, Installés dans leurs fauteuils, [point] ils nous ont promis de trouver une solution pour [« à »] tous les problèmes de cette [« la » ?] nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est tout [?] ce qu’on a gagné [texte], et il suffira juste [sûre de l'interprétation ?] d’une occasion pour déchaîner les réactions [bof].
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, et [?] Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

Mme B. a dit…

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et cavala en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, [point//ah bon ? c’est la chanson] ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

Mme B. a dit…

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et cavala en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, [point//ah bon ? c’est la chanson] ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

Tradabordo a dit…

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et cavala [tu mélanges encore passé simple et passé composé !] en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, [point//ah bon ? c’est la chanson] ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

Mme B. a dit…

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et a cavalé en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?


Tradabordo a dit…

— Ha ha ha..., non, rien à voir. En fait, on se sentait comme le roi et la reine. Tu peux pas t’imaginer ce que je ressentais, et je sais qu’elle éprouvait la même chose. On était libres, malgré les gens qui passaient à côté de nous. Les rues étaient à nous, et personne ne pouvait dire le contraire. Près du local du parti apriste, elle m’a lâché la main et a cavalé en direction des grilles.
— Le parti qui gouverne ce pays, s’est mise à chanter Aleh en secouant les barrières, et l’opposition parlementaire entière, les patrons, les syndicats, tous contribuent à notre ruine !
— Et ça venait d’où ?
— D’une autre chanson de Eskorbuto, précise Jualma. Je me suis approché et, au lieu de l’éloigner de là, je me foutais de la tête des apristes. Nous avons alors chanté ensemble, Installés dans leurs fauteuils, ils nous ont promis de trouver une solution à tous les problèmes de la nation. Chômage ! Misère ! Humiliation ! C’est ce qu’on a obtenu, seul un imprévu pourra déchaîner une révolte.
— C’est un crime ! avons-nous crié en chœur, Aleh, remplie de haine. C’est un crime, c’est un crime… !
— Mais j’ai dû l’écarter.
— À cause de ?

OK.