dimanche 6 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 160-172

Antonieta Baculic regresó el último día hábil del mes al despacho del comisario Martínez. No saludó a nadie, no pidió autorización, simplemente entró al privado del policía y cerró la puerta de golpe tras ella. La vena de su frente se marcaba como la pata de un gallo sobre los anteojos. Tiró un par de carpetas y lo enfrentó, quería respuestas, no más rodeos. ¿Qué era eso de los setenta y siete? Bastó mencionarlos para que llegara una orden desde arriba pidiéndole que dejara el caso, que el asunto entraba en terrenos de la fiscalía militar.
—Supongo que también les dijo que se los comían, reaccionó Martínez.
—Supone mal, no soy tan estúpida.
—Debió decirlo, tal vez la habrían tratado con más respeto. La pasaron a llevar, de ser la estrella de la fiscalía ahora es una más. ¿Se siente pésimo, cierto?
—No me joda, ¿quiero respuestas, Martínez?
El exinspector sonrió, buscó un papel y escribió algo con un lápiz de tinta negra.

Traduction temporaire :

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, se passa d'autorisation, entra directement et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait, formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta quelques dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyants. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber l'affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, riposta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du Ministère Public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier, où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

6 commentaires:

Justine a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, ne demanda aucune autorisation, entra purement et simplement dans la pièce et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta deux dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyant [pour éviter de répéter « détours »]. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber cette affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, s'emporta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du ministère public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

Tradabordo a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, ne demanda aucune autorisation, entra purement et [bof] simplement dans la pièce [nécessaire ?] et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait [virgule] formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta deux [ou « quelques » ?] dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyant [tu as bien vérifié, pour l'ortho ?]. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber cette [« l' »] affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, s'emporta [j'hésite sur l'interprétation] Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du ministère [maj. ?] public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier [virgule ?] où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

Justine a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, s'affranchit de toute autorisation, y entra directement et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait, formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta quelques dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyants. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber l'affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, riposta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du Ministère Public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier, où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

Tradabordo a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, s'affranchit [« se passa » ; pas plus simple ?] de toute autorisation, y [supprime] entra directement et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait, formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta quelques dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyants. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber l'affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, riposta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du Ministère Public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier, où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

Justine a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, se passa d'autorisation, entra directement et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait, formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta quelques dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyants. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber l'affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, riposta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du Ministère Public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier, où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

Tradabordo a dit…

Le dernier jour ouvré du mois, Antonieta Baculic revint au bureau du commissaire Martínez. Elle ne salua personne, se passa d'autorisation, entra directement et claqua la porte derrière elle. La veine de son front se creusait, formant une patte d'oie au-dessus de ses lunettes. Elle jeta quelques dossiers et se planta devant lui. Elle voulait des réponses, plus de faux-fuyants. C'était quoi cette histoire de soixante-dix-sept ? Il lui avait suffi d'y faire allusion pour qu'un ordre venant d'en-haut la somme de laisser tomber l'affaire, précisant que la juridiction militaire prenait le relais.
— Je suppose que vous leur avez aussi révélé qu'on les mangeait, riposta Martínez.
— Vous supposez mal, je ne suis pas aussi stupide.
— Vous auriez dû, ils vous auraient peut-être traitée avec plus de respect. Vous étiez en passe de devenir une star du Ministère Public, et,finalement, vous n'êtes qu'un pion de plus. Vous l'avez mauvaise, pas vrai ?
— Faites pas chier, Martínez ! Je veux des réponses !
L'ex-inspecteur sourit, prit un papier, où il inscrivit quelque chose au stylo noir.

OK.