lundi 7 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 181-191

El nombre de la dueña de casa era Dominga Serrano y de acuerdo a la versión de Martínez era médica, con varios años de servicio en el médico legal, hasta su temprano retiro a mediados de los noventa. Era miembro además del ejército de Chile, con el grado de capitán. Si me permite, dijo Antonieta, anotando el nombre de la mujer en una libreta.
—Claro, accedió ella, escriba lo que quiera y si le parece grábeme, no creo que ello marque mucha diferencia.
Antonieta prefirió no insistir en la última frase de la dama de cabellos blancos, quien se ausentó a la cocina por un instante, tras ofrecer café a sus invitados.
Contra lo que la fiscal esperaba, fue Martínez quien comenzó.
—¿Cómo va en historia de Chile? le preguntó.
—Bien, supongo, contestó ella, siguiéndole el juego.
La doctora Serrano repartió el café a sus invitados y en una bandeja puso un azucarero junto a un frasco de sacarina. La fiscal no endulzó el suyo.
—¿Qué sabe de la Batalla de la Concepción?

Traduction temporaire :
La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et, conformément à la version de Martínez, elle était médecin, avait eu plusieurs années dans la médecine légale à son actif, avant une retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; avec le grade de capitaine.
— Si vous permettez, demanda Antonieta en marquant son nom dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand-chose.
Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir proposé du café à ses invités.
La procureure ne s'y attendait pas, Martínez prit la parole le premier : 
— Comment connaissez-vous l'histoire du Chili ?
— Bien, je dirais.
Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café et posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine sur un plateau. La procureure ne sucra pas le sien.

— Que savez-vous de la Bataille de Concepción ?

7 commentaires:

Justine a dit…

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et conformément à la version de Martínez, elle était médecin, avec plusieurs années de service en médecine légale, jusqu'à sa retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; elle avait le grade de capitaine.
— Si vous me permettez, sollicita Antonieta en marquant le nom de cette femme dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand chose. Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir offert du café à ses invités. Contrairement aux attentes de la procureure, c'est Martínez qui prit la parole le premier :
— Comment vous défendez-vous sur l'histoire du Chili ?
— Bien, je suppose. Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café à ses invités et sur un plateau posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez vous de la Bataille de Concepción ?

Justine a dit…

Il y cette section, avant l'autre :

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et conformément à la version de Martínez, elle était médecin, ayant exercé plusieurs années la médecine légale, jusqu'à sa retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; elle avait le grade de capitaine.
— Si vous me permettez, sollicita Antonieta en marquant le nom de cette femme dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand chose. Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir offert du café à ses invités. Contrairement aux attentes de la procureure, c'est Martínez qui prit la parole le premier :
— Comment vous défendez-vous sur l'histoire du Chili ?
— Bien, je suppose. Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café à ses invités et, sur un plateau, posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez vous de la Bataille de Concepción ?

Tradabordo a dit…

Et je ne l'ai pas publiée ? Sûre ? Ou est-ce juste un pb de numérotation ?

Justine a dit…

Non, rien de tout cela. Tu ne l'as juste pas commentée, alors que tu as déjà commentée la suivante.

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et conformément à la version de Martínez, elle était médecin, ayant exercé plusieurs années la médecine légale, jusqu'à sa retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; elle avait le grade de capitaine.
— Si vous me permettez, sollicita Antonieta en marquant le nom de cette femme dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand chose. Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir offert du café à ses invités. Contrairement aux attentes de la procureure, c'est Martínez qui prit la parole le premier :
— Comment vous défendez-vous sur l'histoire du Chili ?
— Bien, je suppose. Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café à ses invités et, sur un plateau, posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez vous de la Bataille de Concepción ?

Tradabordo a dit…

Aaaah ! Pas grave… L'important, c'est que toi, tu les fasses dans l'ordre ; moi, ça n'a pas d'importance.

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et [virgule] conformément à la version de Martínez, elle était médecin, ayant exercé [« avait eu »] plusieurs années la médecine légale [« à son actif »], jusqu'à sa [« avant une »] retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; elle avait [un simple « avec » ; on a déjà multiplié les « avait »] le grade de capitaine.
— Si vous me [nécessaire ?] permettez, sollicita [écoute, laisse « dit » – sinon, c'est artificiel… Et tu verras ce que tu fais quand tu auras l'ensemble du texte, à la fin] Antonieta en marquant le nom de cette femme [juste « le / son nom » ?] dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand chose [tiret]. Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir offert du café à ses invités.
Contrairement aux attentes [ambigu ; ça peut suggérer que c'est ce qu'elle voulait] de la procureure, c'est [NON ; pas besoin ici… Martínez qui prit la parole le premier :
— Comment vous défendez[bof ici]-vous sur l'histoire du Chili ?
— Bien, je suppose [naturel ?].
Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café à ses invités [besoin de répéter ; cf un peu plus haut] et, sur un plateau [mets-le à la fin], posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez vous [TIRET] de la Bataille de Concepción ?

Justine a dit…

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et, conformément à la version de Martínez, elle était médecin, avait eu plusieurs années dans la médecine légale à son actif, avant une retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; avec le grade de capitaine.
— Si vous permettez demanda Antonieta en marquant son nom dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand-chose. Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir offert du café à ses invités.
La procureure ne s'y attendait pas ; Martínez prit la parole le premier :
— Comment connaissez-vous l'histoire du Chili ?
— Bien, je dirais.
Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café et posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine sur un plateau. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez-vous de la Bataille de Concepción ?

Tradabordo a dit…

La maîtresse de maison s'appelait Dominga Serrano et, conformément à la version de Martínez, elle était médecin, avait eu plusieurs années dans la médecine légale à son actif, avant une retraite anticipée au milieu des années 90. Par ailleurs, elle était membre de l'armée chilienne ; avec le grade de capitaine.
— Si vous permettez, demanda Antonieta en marquant son nom dans un petit carnet.
— Bien sûr, notez ce que voulez et si nécessaire enregistrez-moi. Je ne pense pas que cela changera grand-chose.
Antonieta préféra ne pas relever la dernière phrase de la dame aux cheveux blancs, qui s'absenta un instant dans sa cuisine après avoir proposé du café à ses invités.
La procureure ne s'y attendait pas, Martínez prit la parole le premier :
— Comment connaissez-vous l'histoire du Chili ?
— Bien, je dirais.
Elle rentrait dans son jeu.
La doctoresse Serrano servit le café et posa un sucrier et un saupoudreur de saccharine sur un plateau. La procureure ne sucra pas le sien.
— Que savez-vous de la Bataille de Concepción ?

J'ai fait quelques modifs et c'est OK.