mercredi 2 mars 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 323-330

Estudiamos su expresión, atentos al menor signo de rechazo, y entonces, muy lentamente, nos acercamos. Estamos seguros de que temblábamos de miedo y de ansiedad. Ella no se movió. Aguardó hasta que sólo unos centímetros separaban nuestros labios para tomar mi mano entre las suyas y cerrar sus ojos. El primer beso. Nada existía excepto ella y el latido de nuestro corazón, que parecía desbocado, inundado de una alegría como nunca antes habíamos sentido. Nos atrevimos a acariciar sus cabellos y ella respondió recorriendo nuestra espalda con sus manos. El sabor de su boca, la suavidad de su piel, el calor de su cuerpo son sensaciones que quedarían grabadas con fuego en nuestros recuerdos y en nuestra alma.

Traduction temporaire :

Nous scrutâmes son expression, attentifs au moindre signe de refus, et alors, très lentement, nous nous approchâmes. Nous sommes certains que nous tremblions de peur et d'anxiété. Elle, elle ne bougea pas. Elle attendit que nos lèvres ne soient plus séparées que par quelques centimètres à peine pour prendre ma main dans les siennes et fermer les yeux. Le premier baiser. Plus rien n'existait à part elle et les battements de notre cœur, qui semblait s'emballer, inondé par une joie comme nous n'en avions jamais ressentie auparavant. Nous nous aventurâmes à lui caresser les cheveux, et elle répondit en parcourant notre dos avec ses mains. Le goût de sa bouche, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps sont des sensations qui resteraient gravées au fer rouge dans nos souvenirs ainsi qu'au plus profond de notre âme.

4 commentaires:

Justine a dit…

Nous scrutâmes son expression, attentifs au moindre signe de refus, et alors, très lentement, nous nous approchâmes. Nous sommes certains que nous tremblions de peur et d'anxiété. Elle ne bougea pas. Elle attendit que nos lèvres ne soient plus séparées que par quelques centimètres à peine pour prendre ma main dans les siennes et fermer les yeux. Le premier baiser. Plus rien n'existait à part elle et les battements de notre cœur, qui semblait s'emballer, inondé par une joie comme nous n'en avions jamais ressentie auparavant. Nous nous aventurâmes à lui caresser les cheveux, et elle répondit en parcourant notre dos avec ses mains. Le goût de sa bouche, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps sont des sensations qui resteraient gravées au fer rouge dans nos souvenirs ainsi qu'au plus profond de notre âme.

Tradabordo a dit…

Nous scrutâmes son expression, attentifs au moindre signe de refus, et alors, très lentement, nous nous approchâmes. Nous sommes certains que nous tremblions de peur et d'anxiété. Elle [« , elle » ?] ne bougea pas. Elle attendit que nos lèvres ne soient plus séparées que par quelques centimètres à peine pour prendre ma main dans les siennes et fermer les yeux. Le premier baiser. Plus rien n'existait à part elle et les battements de notre cœur, qui semblait s'emballer, inondé par une joie comme nous n'en avions jamais ressentie auparavant. Nous nous aventurâmes à lui caresser les cheveux, et elle répondit en parcourant notre dos avec ses mains. Le goût de sa bouche, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps sont des sensations qui resteraient gravées au fer rouge dans nos souvenirs ainsi qu'au plus profond de notre âme.

Justine a dit…

Nous scrutâmes son expression, attentifs au moindre signe de refus, et alors, très lentement, nous nous approchâmes. Nous sommes certains que nous tremblions de peur et d'anxiété. Elle, elle ne bougea pas. Elle attendit que nos lèvres ne soient plus séparées que par quelques centimètres à peine pour prendre ma main dans les siennes et fermer les yeux. Le premier baiser. Plus rien n'existait à part elle et les battements de notre cœur, qui semblait s'emballer, inondé par une joie comme nous n'en avions jamais ressentie auparavant. Nous nous aventurâmes à lui caresser les cheveux, et elle répondit en parcourant notre dos avec ses mains. Le goût de sa bouche, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps sont des sensations qui resteraient gravées au fer rouge dans nos souvenirs ainsi qu'au plus profond de notre âme.

Tradabordo a dit…

Nous scrutâmes son expression, attentifs au moindre signe de refus, et alors, très lentement, nous nous approchâmes. Nous sommes certains que nous tremblions de peur et d'anxiété. Elle, elle ne bougea pas. Elle attendit que nos lèvres ne soient plus séparées que par quelques centimètres à peine pour prendre ma main dans les siennes et fermer les yeux. Le premier baiser. Plus rien n'existait à part elle et les battements de notre cœur, qui semblait s'emballer, inondé par une joie comme nous n'en avions jamais ressentie auparavant. Nous nous aventurâmes à lui caresser les cheveux, et elle répondit en parcourant notre dos avec ses mains. Le goût de sa bouche, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps sont des sensations qui resteraient gravées au fer rouge dans nos souvenirs ainsi qu'au plus profond de notre âme.

OK.