jeudi 3 mars 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 331-342

El encantamiento se prolongó por algunas horas, en las cuales no sólo nos acariciamos y besamos, sino que también charlamos y reímos. Ella nos aceptaba con tanta naturalidad y alegría que estábamos seguros de haber encontrado la mujer de nuestras vidas y que jamás seríamos felices con ninguna otra. Que ella era la princesa de los cuentos y nosotros su príncipe azul. Y sabemos que ella pensaba igual. Sí, lo sabemos. Siempre lo hemos sabido.
Finalmente nuestra guardiana nos vino a advertir que ya era tarde y era hora de dormir. La escuchamos venir de lejos y no hizo ningún comentario sobre lo que era evidente. Sin embargo no pudimos evitar el sonrojarnos mientras Estela nos hacía guiños a escondidas. ¿Cómo pretendía que durmiéramos? Pasamos la noche en vela recordando cada momento, cada maravillosa sensación vivida en aquel día maravilloso. Sabiendo que la veríamos al otro día, que nuestra historia estaba recién comenzando.

Traduction temporaire :

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes. Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit éveillé, nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

8 commentaires:

Justine a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes également. Elle nous acceptait tellement naturellement et avec une joie si grande, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de nos vies et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était déjà tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, mais elle s'abstint de tout commentaire sur l'évidence. Cependant, impossible [pour ne pas répéter « pouvoir »] de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit en veille, nous souvenant de chaque moment, chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscients que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Tradabordo a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes également [supprime… puisque tu as le système : non seulement… mais… ]. Elle nous acceptait tellement naturellement [règle la question des deux adverbes en « -ment »] et avec une joie si grande [texte ! Tu changes…], que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de nos vies [tu le dis au pluriel, toi ?] et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était déjà [supprime] tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, mais [tu en as un peu plus haut…] elle s'abstint de tout commentaire sur l'évidence [bof]. Cependant, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit en veille [mal dit], nous souvenant de chaque moment, [« de »] chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscients que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Justine a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes . Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit en état de veille, nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Tradabordo a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes [espace en trop]. Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit en état de veille [« éveillé »], nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Justine a dit…

'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes. Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit éveillé, nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Tradabordo a dit…

'enchantement

?

Justine a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes. Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit éveillé, nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

Tradabordo a dit…

L'enchantement se prolongea quelques heures encore, pendant lesquelles non seulement nous nous caressâmes et nous nous embrassâmes, mais nous discutâmes et nous rîmes. Elle nous acceptait avec un tel naturel et une telle joie, que nous étions sûrs d'avoir trouvé la femme de notre vie et que nous ne serions jamais heureux avec aucune autre. Qu'elle était la princesse des contes de fées, et nous, son prince charmant. Et nous savons qu'elle pensait la même chose. Oui, nous le savons. Nous l'avons toujours su.
Finalement, notre gardienne vint nous prévenir qu'il était tard et que c'était l'heure de dormir. Nous l'entendîmes arriver de loin, elle s'abstint cependant de tout commentaire sur ce qui était évident. Toutefois, impossible de ne pas rougir, alors qu'Estela nous faisait des clins d’œil en cachette. Comment voulait-elle que nous dormions ? Nous passâmes la nuit éveillé, nous souvenant de chaque moment, de chaque merveilleuse sensation vécue en ce jour merveilleux. Conscient que nous la reverrions le lendemain, que notre histoire était naissante.

OK.