dimanche 6 mars 2016

Projet Justine / Marie-G 2. – phrases 118-121

Era un vestido blanco con flores en la parte de abajo y Doña Leidi le había hecho una diadema que llevaba las mismas flores, más pequeñas, para adornarle la cabeza. Lo que mamá no sabía era que Elisa no sólo estaba emocionada por el vestido sino también porque Lisandro, el muchacho que había llegado a trabajar en la tienda de don Roque, había insistido en pagarle el peto del domingo y se había venido con nosotros todo el camino de regreso recogiendo piedritas blancas que después le puso en la mano mientras la miraba con una fijeza que yo solamente le había visto a los caballos cuando tenían miedo. Yo, la verdad, no entendía cómo a Elisa le podía gustar Lisandro: tenía la piel rosada como los marranos de la finca y se le salían los pedos después de tomar peto. ¡Qué asco!

Traduction temporaire :

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement troublée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son maïs au lait du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement ; avec des yeux que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du maïs au lait. Vraiment répugnant !

10 commentaires:

Justine a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites, pour orner sa tête. Ce que maman ignorait, c'était qu'Elisa était non seulement excitée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme qui était venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto du dimanche et nous avait accompagné sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Tradabordo a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites, pour orner sa tête [mets ça avant]. Ce que maman ignorait, c'était qu'Elisa était [« c'était » + « était » ; je viens bien être souple sur les répétition, mais là, tu pousses JusJus :-)] non seulement excitée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme qui était venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto du dimanche et nous avait accompagné sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Justine a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Ce que maman ignorait, c'était que l'excitation d'Elisa provenait non seulement de sa robe, mais du fait que Lisandro, le jeune homme qui était venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto du dimanche et nous avait accompagné sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Tradabordo a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Ce que maman ignorait, c'était [c'est ça que tu dois supprimer : « Maman ignorait que… »] que l'excitation d'Elisa provenait non seulement de sa robe, mais du fait que Lisandro, le jeune homme qui était venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto du dimanche et nous avait accompagné sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Justine a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement excitée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme qui était venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Tradabordo a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement excitée [inexact ici ? J'hésite] par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme qui était [nécessaire ?] venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son peto [?] du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement — [tiret moyen] d'un regard [pourquoi le tiret, etc. ? Le cas échéant : point-virgule ou même point] que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du peto. Vraiment répugnant !

Justine a dit…

Le « peto », c'est le même principe que le riz au lait, mais avec du maïs à la place du riz.

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement émue par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son maïs au lait du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement ; d'un regard que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du maïs au lait. Vraiment répugnant !

Tradabordo a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement émue [j'hésite encore ; regarde ce que dit l'unilingue] par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son maïs au lait du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement ; d'un regard [en passant par « yeux » ici ?] que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire [virgule ?] à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du maïs au lait. Vraiment répugnant !

Justine a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement troublée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son maïs au lait du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement ; avec des yeux que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du maïs au lait. Vraiment répugnant !

Tradabordo a dit…

Une robe blanche avec des fleurs en bas et, pour orner sa tête, Doña Leidi lui avait confectionné un diadème avec les mêmes fleurs, plus petites. Maman ignorait qu'Elisa était non seulement troublée par sa robe, mais parce que Lisandro, le jeune homme venu travailler dans la boutique de Don Roque, avait insisté pour lui payer son maïs au lait du dimanche et nous avait accompagnés sur tout le chemin du retour, ramassant de petits cailloux blancs qu'il lui déposa ensuite dans la main en la regardant fixement ; avec des yeux que je ne connaissais qu'aux chevaux quand ils avaient peur. Moi, sincèrement, je ne comprenais pas comment Lisandro pouvait plaire à Elisa : il avait la peau aussi rose que les cochons de la ferme et lâchait des pets après avoir mangé du maïs au lait. Vraiment répugnant !

OK.