jeudi 3 mars 2016

Projet Maxime / Justine – phrases 48-53

O a los cinco años, ya más grandecito, cuando mamá trajo de sorpresa el cachorro a casa y esa noche, con cuánta paciencia me apliqué a sacarle los ojos con una cucharita de postre mientras tapaba su boca con un trapo para ahogar los aullidos de espanto de esa pobre bestia. Ja, ja, ¿qué pasa que ya no se ríen? Vamos, ánimo. Al otro día, cuando mamá encontró los despojos, fue fácil acusar al rottweiler del vecino. Uno siempre encuentra la forma de salir del paso. Esos fueron mis prolegómenos.

Traduction temporaire :
Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené un chiot en cadeau à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà, tels étaient mes prolégomènes.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Ou lorsque à cinq ans, déjà un peu plus grand, maman a amené par surprise un chiot à la maison et que, cette nuit là, avec oh combien de patience je me suis appliqué à lui enlever les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert pendant que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha,ha, qu'il y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ça a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Ceux-ci ont été mes premiers faits d'armes.

Cécilia Solvez a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman apporta par surprise le chiot à la maison et cette nuit, avec une longue patience je m'appliquai à lui enlever les yeux avec une petite cuillère de dessert pendant que je couvrais sa bouche avec un chiffon pour étouffer les hurlements d'épouvante de cette pauvre bête. Ha, ha, que se passe t-il, on ne rie plus? Allez, courage. Un autre jour, lorsque maman trouva les dépouilles, ce fut facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Ceux-ci furent mes prolégomènes.

Tradabordo a dit…

Ou lorsque à [« lorsqu'à »] cinq ans, déjà un peu plus grand, [j'hésite sur la suppression du « cuando »] maman a amené par surprise [CS] un chiot à la maison et que, cette nuit [ou « soir » ?] là [tiret], avec oh [« o »] combien de patience [virgule] je me suis appliqué à lui enlever [vous n'avez pas plus gore en stock ? Je pense que c'est volontaire… Je sais, je sais, c'est affreux ; mais pas d'états d'âme quand on traduit :-)] les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert pendant que [il y a mieux que « pendant que »] je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha,[espace]ha, qu'il [?] y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ça a [« ç'a »] été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Ceux-ci ont été mes premiers faits d'armes [revenez à la V.O.].

Cécilia Solvez a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené en cachette un chiot à la maison et que, ce soir-là, avec o combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Ceux-ci ont été mes prolégomènes.

Tradabordo a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené en cachette [CS] un chiot à la maison et que, ce soir-là, avec o [« ô »] combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Ceux-ci [mal dit ; trouvez un truc pour conclure l'anecdote. Un mot qui commence par V…] ont été mes prolégomènes.

Unknown a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, maman a étonnamment amené un chiot à la maison et que, cette nuit-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'il y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà mes prolégomènes.

Cécilia Solvez a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené comme cadeau un chiot à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà, mes prolégomènes.

Tradabordo a dit…

Je prends la version de Cécilia, qui a compris l'histoire de la surprise :-)

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené comme cadeau [« amené comme cadeau » ; le sens est bon, mais est-ce naturel ? Je lis, relis, relis… et je trouve que ça coince ; une autre façon de le tourner ?] un chiot à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà, [« tels étaient »] mes prolégomènes.

Cécilia Solvez a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a appporté comme cadeau un chiot à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Tels étaient mes prolégomènes.

Unknown a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené un chiot en cadeau à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà tels étaient mes prolégomènes.

Tradabordo a dit…

Ou lorsqu'à cinq ans, déjà un peu plus grand, quand maman a amené un chiot en cadeau à la maison et que, ce soir-là, avec ô combien de patience, je me suis appliqué à lui arracher les yeux à l'aide d'une petite cuillère à dessert tandis que je couvrais sa bouche avec un chiffon afin d'étouffer les hurlements d'horreur de la pauvre bête. Ha, ha, qu'y a t-il, vous ne riez plus ? Allez courage. Le lendemain, quand maman a trouvé la dépouille, ç'a été facile d'accuser le rottweiler du voisin. On trouve toujours le moyen de se tirer d'affaire. Voilà, tels étaient mes prolégomènes.

J'ai ajouté une petite virgule et c'est OK.

Justine ? Cécilia ?

Cécilia Solvez a dit…

Oui, je suis d'accord

Unknown a dit…

D'accord aussi