mercredi 16 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 133-139

De pronto el rey se estremece. Ha sentido un malestar extraño, como si le hubiesen atravesado el corazón con una aguja de hielo. Y desde ese instante su plácida tranquilidad desaparece y la molesta sensación va aumentando por grados hasta hacérsele intolerable. Siente dentro del pecho un frío intensísimo que congela su carne y su sangre y, lleno de angustia, evoca de nuevo a Raa, el genio dominador de los espacios y de los astros, quien contesta a sus súplicas con ironía desalentadora: -¿De qué te quejas? ¿Al suprimir la vida no has dejado al sentimiento que te posee y es el móvil único de tus acciones sin otro refugio que tu corazón? Para expulsarle sería menester que vibrase en las muertas fibras un átomo de piedad o amor.

Traduction temporaire :
Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degrés, jusqu'à être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et submergé par l'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie accablante : — De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminé ce sentiment qui te possède, l'unique cause de tes actions, sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

11 commentaires:

Medea a dit…

Soudainement, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec un pic de glace. Et depuis cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation gênante augmente de degré, jusqu'à lui être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et plein d'angoisse, il invoque Râ, le génie dominateur de l'espace et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie décourageante:
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, tu n'as pas éliminer ce sentiment qui te possède, et c'est l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibres dans les fibres mortes.

Tradabordo a dit…

Soudainement [« Soudain » ?], le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec un pic [littéral ; sinon, on pense à pic à glace et ça fait bizarre…] de glace. Et depuis [« de »] cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation gênante [on a « gêne » avant ; un moyen de faire autrement ici ?] augmente de degré [texte], jusqu'à lui être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et plein [bof] d'angoisse, il invoque [et le « de nuevo » espagnol ?] Râ, le génie dominateur de l'espace [au pluriel en V.O.] et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie décourageante[pas plus fort en V.O. ?][espace]:
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, tu n'as pas [c'est une question ; donc inversez] éliminer ce sentiment qui te possède, et c'est [idem] l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibres [?] dans les fibres mortes.

Medea a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degré, jusqu'à lui être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et rempli d'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie démotivante :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminer ce sentiment qui te possède, et est-ce l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

Tradabordo a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degré [vérifiez qu'on ne met pas un « s » ; je ne sais pas], jusqu'à lui [nécessaire ? J'hésite] être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et rempli d'[mal dit : « submergé par l' » ?] angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie démotivante [« accablante » ?] :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminer ce sentiment qui te possède, [est-ce que pour se simplifier les choses, on ne couperait pas la phrase en deux questions ?] et est-ce l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur [pour ça, je vais quand même demander à Elena] ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

Medea a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degré [vérifiez qu'on ne met pas un « s » ; je ne sais pas // j'ai vérifié et apparemment non], jusqu'à être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et submergé par l'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie accablante :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminer ce sentiment qui te possède ? Est-ce l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur [pour ça, je vais quand même demander à Elena] ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

Tradabordo a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degré [vérifiez qu'on ne met pas un « s » ; je ne sais pas // j'ai vérifié et apparemment non], jusqu'à être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et submergé par l'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie accablante :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminer ce sentiment qui te possède ? Est-ce l'unique raison de tes actions sans autre refuge que ton cœur [pour ça, je vais quand même demander à Elena] ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

OK pour tout… en attendant l'avis d'Elena sur le point problématique. On y reviendra – elle m'a dit qu'elle ne tarderait pas à répondre. D'ici là, je vous mets un bout de la suite.

Elena a dit…

Bonjour,
Je me permets : je mettrais "degrés", on généralise au pluriel.

-¿De qué te quejas? ¿Al suprimir la vida no has dejado al sentimiento que te posee y es el móvil único de tus acciones, sin otro refugio que tu corazón? Para expulsarle sería menester que vibrase en las muertas fibras un átomo de piedad o amor.

— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminer [Gram.] ce sentiment qui te possède, l'unique cause de tes actions, sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Medea ?

Medea a dit…

Bonjour Elena, merci pour votre aide :-)

Medea a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degrés, jusqu'à être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et submergé par l'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie accablante :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminé ce sentiment qui te possède, l'unique cause de tes actions, sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

Tradabordo a dit…

Soudain, le roi frémit. Il a ressenti une gêne étrange, comme si on lui avait transpercé le cœur avec une aiguille de glace. Et de cet instant, sa placide tranquillité disparaît et la sensation importune augmente par degrés, jusqu'à être intolérable. Dans sa poitrine, il ressent une froideur très intense, qui gèle sa chair et son sang. Et submergé par l'angoisse, il invoque de nouveau Râ, le génie dominateur des espaces et des astres, qui répond à ses supplications avec une ironie accablante :
— De quoi te plains-tu ? En supprimant la vie, n'as-tu pas éliminé ce sentiment qui te possède, l'unique cause de tes actions, sans autre refuge que ton cœur ? Pour l'expulser, il faudrait qu'un atome de pitié ou d'amour vibre dans les fibres mortes.

OK.

Iris ?