mercredi 16 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 173-184

Alma salió de su auto y yo salí del lago. En la orilla dejé mis aletas, mi balón de aire y mi máscara; ella sus za patos. Sin hablar caminamos hasta llegar muy cerca de esta lengua de totora y rocas. Sin hablar nos desnudamos, nos enlazamos, nos sumergimos en el agua.
El sol alcanzó su cénit, el lago empezaba a calentar se. Alma se estiró sobre el agua. Flotaba con la confianza de un alga y sus ojos eran otros dos lagos de los que brotaban dos algas oscuras, brillantes, redondas, como sus pechos. Como si entre nosotros hubiera una familiaridad antigua, de un momento a otro, me mordió un pezón; yo quise hacer lo mismo pero ella se sumergió y durante largo rato lamió mi miembro. Podía haberse ahogado y yo no la habría dete nido. Cuando sacó la cabeza a la superficie, mostró un gesto de pesar para decirme que ya tenía que irse; era tiempo de recoger a sus hijos de la escuela. Yo me quedé allí; sentado sobre una piedra, la vi marcharse. De nuevo solo, me aver goncé por mi desnudez, también por la manera en la que la había tratado la noche anterior; sus mejillas todavía estaban hinchadas por las bofetadas que le propiné.

Traduction temporaire :
Alma sortit de voiture ; moi, je quittai le lac. Je déposai mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures sur la berge. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près des roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot également, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes. Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une ancienne familiarité s'était déjà installée entre nous, tout à coup, elle me mordit un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea et suça mon membre pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsque sa tête émergea de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, ainsi que de la façon dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées à cause des gifles que je lui avais données.

8 commentaires:

Sabrina a dit…

Alma sortit de sa voiture ; moi, du lac. Je déposai sur la berge mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près de ces roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes dans l'eau.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une certaine familiarité s'était déjà installée entre nous, elle me mordit tout à coup un téton ; je voulus l'imiter mais elle plongea sous l'eau et me fit une fellation pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsqu'elle sortit sa tête de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, de la façon aussi dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées par les gifles que je lui avais données.

Tradabordo a dit…

Il y a le « mais » !!!!!!! :-)

Sabrina a dit…

Hahaha, t'as eu mon mail ? Je t'ai écrit ce matin pour ça justement ;).

C'est ma seule erreur ??? Depuis le début, mon challenge est de faire une proposition où il n'y aurait aucune retouche et là, alors que je touche au but, j'oublie cette virgule, et pas n'importe quelle virgule !!! Le boulet !! Pas grave, un jour, j'y arriverai :)).

Alma sortit de sa voiture ; moi, du lac. Je déposai sur la berge mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près de ces roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes dans l'eau.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une certaine familiarité s'était déjà installée entre nous, elle me mordit tout à coup un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea sous l'eau et me fit une fellation pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsqu'elle sortit sa tête de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, de la façon aussi dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées par les gifles que je lui avais données.

Tradabordo a dit…

Je sais, j'avais eu ton mail… et en lieu et place de la mort, tu as été privée de commentaire pour la journée. Et tac !

Alma sortit [« descendit » ?] de sa [nécessaore ?] voiture ; moi, [du coup, là, tu mettrais « sortir »] du lac. Je déposai sur la berge mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près de ces roseaux et de cet appendice rocheux [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…] ; sans un mot, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes dans l'eau.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une certaine [texte] familiarité s'était déjà installée entre nous, elle me mordit tout à coup [pas de tiret ? Vérifie] un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea sous l'eau et me fit une fellation [pas dit comme ça en V.O.] pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsqu'elle sortit [tu l'as déjà ; je sais que c'est pas facile… alors vois si c'est possible de faire autrement] sa tête de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de [« qu'elle aille » ? J'hésite] récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, de la façon aussi [syntaxe ?] dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées par [mal dit ?] les gifles que je lui avais données.

Sabrina a dit…

Hahaha !! Une vraie sadique :p !!

Je préfère aussi "descendit" et c'est ce qui m'était venu en 1er. Sauf que dans le passage précédent, je l'ai déjà utilisé pour dire que personne n'était descendu de voiture. C'est pq j'avais opté pour "sortit". Je vais donc essayer de trouver un 3ème synonyme.
Pour "appendice rocheux", je me souvenais de cette expression sur laquelle j'avais buté dès le début. J'avais demandé à Elena et on avait fini par proposer "appendice rocheux".
Pas de tiret, l'expression est juste mise entre 2 virgules. Je peux aussi l'antéposer au verbe.
La formule qui m'avait semblé la plus naturelle était : "il était l'heure d'aller récupérer". Mais on a "s'en aller". C'est pq j'avais enlevé "aller". Et je ne suis pas très fan de "qu'elle aille".
OK pour tout le reste, je reprends :)

Alma sortit de voiture ; je quittai le lac. Je déposai sur la berge mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près de ces roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes dans l'eau.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une ancienne familiarité s'était déjà installée entre nous, tout à coup, elle me mordit un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea sous l'eau et suça mon membre pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsqu'elle émergea sa tête de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, ainsi que de la façon dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées des gifles que je lui avais données.

Tradabordo a dit…

Alma sortit de voiture ; [« moi, »] je quittai le lac. Je déposai sur la berge [ou ça à la fin ? Essaie et vois ce qui est mieux…] mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près de ces roseaux et de cet appendice rocheux [pourquoi des démonstratifs ?] ; sans un mot [cheville : « également », pour assumer la répétition ? Comme tu veux…], nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes dans l'eau [redondant, au fait ? Je ne sais pas… Vérifie].
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une ancienne familiarité s'était déjà installée entre nous, tout à coup, elle me mordit un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea sous l'eau [nécessaire ?] et suça mon membre pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsqu'elle émergea [placé après] sa tête de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, ainsi que de la façon dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées [« à cause »] des gifles que je lui avais données.

Sabrina a dit…

Bien mieux mis après, merci :)
J'ai mis un démonstratif devant "roseaux" et "appendice rocheux" car "esta lengua" sert de facteur commun à "tortoras" et "rocas". Mais en te l'écrivant, je me rends compte que je n'ai appliqué "esta lengua" qu'à "rocas" donc je l'enlève devant "roseaux".
"Egalement" validé ! Merci :)
Oui, rajouter "dans l'eau" est redondant lorsqu'on regarde les définitions de "s'immerger" et "plonger".
"Por" = "à cause de" bien sûr ! merci :)

Alma sortit de voiture ; moi, je quittai le lac. Je déposai mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures sur la berge. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près des roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot également, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une ancienne familiarité s'était déjà installée entre nous, tout à coup, elle me mordit un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea et suça mon membre pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsque sa tête émergea de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, ainsi que de la façon dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées à cause des gifles que je lui avais données.

Tradabordo a dit…

Alma sortit de voiture ; moi, je quittai le lac. Je déposai mes palmes, ma bouteille d'air et mon masque ; elle, ses chaussures sur la berge. Sans un mot, nous marchâmes jusqu'à arriver tout près des roseaux et de cet appendice rocheux ; sans un mot également, nous nous déshabillâmes, nous nous enlaçâmes, nous nous immergeâmes.
Le soleil atteignit son zénith, le lac commençait à se réchauffer. Alma s'étendit sur l'eau. Elle flottait, aussi confiante qu'une algue, et ses yeux étaient deux autres lacs dans lesquels poussaient deux algues sombres, brillantes, rondes, semblables à ses seins. Comme si une ancienne familiarité s'était déjà installée entre nous, tout à coup, elle me mordit un téton ; je voulus l'imiter, mais elle plongea et suça mon membre pendant un long moment. Elle aurait pu se noyer que je ne l'aurais pas arrêtée. Lorsque sa tête émergea de l'eau, elle prit un air chagriné pour me signifier qu'elle devait s'en aller ; il était l'heure de récupérer ses enfants à l'école. Je restai là ; assis sur un rocher, je la regardai partir. À nouveau seul, j'eus honte de ma nudité, ainsi que de la façon dont je l'avais traitée la veille au soir ; elle avait encore les joues enflées à cause des gifles que je lui avais données.

OK.