mercredi 9 mars 2016

Projet Alexia – phrases 65-78

Porque cada vez yo era diferente.
Por supuesto que no había ningún encuentro de narrativa fantástica ni nada parecido. Era preciso inventar algo antes de que King pusiera un pie en La Habana.
En cuanto llegué empecé a ocuparme del asunto. Hice planes. Hice llamadas. Toqué varias puertas. Provoqué reuniones en editoriales, revistas, ministerios... Todo en vano. No pude mover un milímetro de nada ni convencer a nadie. A nadie le importaba un carajo que Stephen King viniera a Cuba.
A casi nadie. De mi lado estaban unos cuantos amigos fanzineros y fanzinerosos, heroinómanos de cultura pop, vampiros bloggers, fantasmáticos de las cloacas, narradores esteparios y mutantes, algunos con libros ilegibles o inéditos, ninguno con suficiente poder.
Todos con la seguridad de que si no hacíamos algo, así fuera una forma tallada en una nube hipotérmica, lo mejor era suicidarnos los unos a los otros lo antes posible.

Traduction temporaire :
Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.
Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs, des apparitions fantomatiques issues des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux était de nous entretuer le plus tôt possible.

31 commentaires:

Unknown a dit…

Parce qu’à chaque fois j’étais différent.
Bien sûr qu’il n’y avait aucune trouvaille digne de récits fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il était nécessaire d’inventer quelque chose avant que King ne mette un pied à la Havane.
Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’y affairer. J’ai élaboré des plans. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé plusieurs réunions au sein des éditoriales, des offices de journalisme et des ministères… En vain. Je n’ai rien pu faire bouger d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec un pouvoir suffisant.
Tous avaient la certitude que, si nous ne faisions rien - comme dans le cas où il y aurait une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns les autres le plus tôt possible.


Bon... Le fanzinero et fanzineroso c'est pas encore ça...J'ai hésité avec "geek"...

Tradabordo a dit…

Parce qu’à chaque fois j’étais différent [syntaxe ?]. Bien sûr qu’il n’y avait aucune trouvaille [texte ?] digne [texte ?] de récits [vérifiez dans « Travaux en cours » – colonne de droite – pour voir ce que vous aviez mis] fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il était nécessaire d’inventer quelque chose avant que [est-ce que la trad littérale est le mieux ici ?] King ne mette un pied à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’y [????] affairer [mal dit]. J’ai élaboré des plans [ou dans le sens de projets ?]. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé plusieurs [on l'a déjà dans la phrase d'avant…] réunions au sein des [?] éditoriales [????], des offices de journalisme [?????] et des ministères… En vain.

Faisons déjà ça.

Je n’ai rien pu faire bouger d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec un pouvoir suffisant.
Tous avaient la certitude que, si nous ne faisions rien - comme dans le cas où il y aurait une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns les autres le plus tôt possible.

Unknown a dit…

Parce qu’à chaque fois moi j’étais différent.
Bien sûr qu’on ne trouvait pas de nouvelles fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer quelque chose avant que King ne mette un pied à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de son accueil. J’ai élaboré des théories. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maison d’édition, de maisons de presse et des ministères… En vain.

Unknown a dit…

Parce qu’à chaque fois moi j’étais différent.
Bien sûr qu’on ne trouvait pas de nouvelles fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer quelque chose avant que King ne mette un pied à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de son accueil. J’ai élaboré des théories. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, de maisons de presse et de ministères… En vain.

Tradabordo a dit…

Parce qu’à chaque fois moi [nécessaire ? + virgule, quoi qu'il en soit] j’étais différent.
Bien sûr qu’on ne trouvait pas de nouvelles [non, il parle de la rencontre littéraire...] fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer quelque chose avant [mal dit ici ; à adapter] que King ne mette un pied à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de son accueil [texte]. J’ai élaboré des théories [CS ici]. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, de maisons de presse [texte] et de ministères… En vain.

Unknown a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Bien sûr qu’on ne trouvait pas de rencontres littéraires sur les nouvelles fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer quelque chose avant la venue de King à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai pensé à des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des agences de presses et des ministères… En vain.

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Bien sûr qu’on ne trouvait [« qu'il n'y avait » // il a menti] pas de rencontres littéraires [singulier ?] sur [bof] les nouvelles [FS] fantastiques ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer quelque chose avant la venue [pas l'idée ; l'idée, c'est qu'il faut au moins un baratin comme ça pour que l'autre vienne] de King à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai pensé [il y a mieux] à des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des agences de presses [« journaux »] et des ministères… En vain.

Unknown a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Bien sûr qu’il n’y avait pas de rencontre littéraire (colloque ?) à propos de la nouvelle fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai échafaudé des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Bien sûr qu’[ou une simple virgule ?]il n’y avait pas de rencontre littéraire à propos de [« sur »] la nouvelle [« littérature »] fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai échafaudé [ça va pas avec « plans », ça, d'habitude ? Vérifiez] des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

Unknown a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire sur la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai inventé des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.


Pour le "sur" vous m'avez dit "bof" tout à l'heure donc je l'avais changé.
"Échafauder un projet" se dit mais il y a plus d’occurrences pour "inventer un projet"

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire sur [vérifiez les occurrences (avec les guillemets donc) pour rencontre littéraire SUR ou AUTOUR] la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai inventé [« monté » ?] des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

Unknown a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain


2900 autour
2410 sur
donc autour

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

OK. Vous pouvez ajouter la suite ; mais laissez ça… car à la fin, je dois faire le copier-coller complet de la section.

Sonita a dit…

Tu as déjà donné le OK pour ce bout de la phrase :

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

2e partie de la phrase pas encore validée :

Je n’ai rien pu faire bouger d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Tu as déjà donné le OK pour ce bout de la phrase :

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

2e partie de la phrase pas encore validée :

Je n’ai rien pu faire bouger d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

No pude mover un milímetro de nada ni convencer a nadie. A nadie le importaba un carajo que Stephen King viniera a Cuba. A casi nadie. De mi lado estaban unos cuantos amigos fanzineros y fanzinerosos, heroinómanos de cultura pop, vampiros bloggers, fantasmáticos de las cloacas, narradores esteparios y mutantes, algunos con libros ilegibles o inéditos, ninguno con suficiente poder.

Je n’ai rien pu faire bouger [????? Je ne sais pas si cette trad est de toi ou d'Alexia… mais c'est manifestement à reprendre] d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

***
Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba.
Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs et fans de BD, héroïnomanes de culture pop, des bloggers vampires et mutants, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.

No pude mover un milímetro de nada ni convencer a nadie. A nadie le importaba un carajo que Stephen King viniera a Cuba. A casi nadie. De mi lado estaban unos cuantos amigos fanzineros y fanzinerosos, heroinómanos de cultura pop, vampiros bloggers, fantasmáticos de las cloacas, narradores esteparios y mutantes, algunos con libros ilegibles o inéditos, ninguno con suficiente poder.

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis créateurs [texte] et fans de BD [texte], héroïnomanes de culture pop, des bloggers [ortho ?] vampires et mutants [?], certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir [manque un bout dans cette phrase].

Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés de fanzines et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs fantomatiques des cloaques, certains auteurs de livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour quoi que ce soit.

Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés de fanzines [sûre ?] et créateurs de fanzines [idem ?], héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs fantomatiques [bof] des cloaques, certains auteurs de livres [pas ce que dit la V.O.] illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour quoi que ce soit. Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Pour "fanzinero" et "fanzineroso" j'ai fait des recherches et je suis tombée sur un "Glosario de Ciencia-Ficción" (http://www.ciencia-ficcion.com/glosario/f/fanziner.htm), où j'ai pu trouver les termes mentionnés ici. Puis, j'ai cherché leur équivalent en français et je n'ai pas pu trouver la même déclinaison qu'en espagnol du mot "fanzine" qui existe aussi en français (http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/fanzine/32859), je me suis donc attachée au sens de ces mots pour les rendre en français.

***

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés de fanzines et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs phantasmatique des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour quoi que ce soit. Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés de fanzines et créateurs de fanzines [du coup, passionnés et créateurs de fanzines » ? Ça crée une légère ambiguïté, mais je me demande si ça n'est pas mieux… Ton avis ?], héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs phantasmatique des cloaques [ça ne résout pas le pb de la clarté ; demande son avis à Elena], certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour quoi que ce soit [pas très fluide…].

Todos con la seguridad de que si no hacíamos algo, así fuera una forma tallada en una nube hipotérmica, lo mejor era suicidarnos los unos a los otros lo antes posible.

Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se suicider les [????] uns et les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Je tente une dernière proposition pour "fantasmáticos de las cloacas", mais j'ai déjà demandé son avis à Elena, aussi ;)

***

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs phantasmatiques des égoûts, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient l'a certitude que si nous ne faisons rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’était de se tuer les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs phantasmatiques des égoûts, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient l'a [?] certitude que si nous ne faisons [???????] rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux c’[non]était de se [« nous »] tuer les uns et les autres le plus tôt possible.

Elena a dit…

fantasmático, ca.
(De fantasma).
1. adj. Psicol. Dicho de una representación mental imaginaria: Provocada por el deseo o el temor.
Real Academia Española

Elena a dit…

Je traduirais par : "des apparitions fantômatiques issues des cloaques"

Tradabordo a dit…

OK. Merci.

Sonita ?

Sonita a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs, des apparitions fantômatiques issues des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux était de nous tuer les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs, des apparitions fantômatiques issues des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux était de nous [« entre »]tuer les uns et les autres le plus tôt possible.

Sonita a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.
Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs, des apparitions fantômatiques issues des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux était de nous entretuer les uns et les autres le plus tôt possible.

Tradabordo a dit…

Parce que j’étais différent à chaque fois.
Évidemment, il n’y avait pas de rencontre littéraire autour la littérature fantastique ni quoique ce soit de similaire. Il fallait inventer un truc pour que King vienne à la Havane. Dès mon arrivée, j’ai commencé à m’occuper de ça. J’ai monté des projets. J’ai passé des coups de fil. J’ai frappé à plusieurs portes. J’ai organisé de nombreuses réunions au sein de maisons d’édition, des journaux et des ministères… En vain.
Je n’ai rien pu faire avancer d’un millimètre, ni convaincre personne. Tout le monde s’en foutait que Stephen King vienne à Cuba. Ou presque tout le monde. De mon côté, j’avais quelques amis passionnés et créateurs de fanzines, héroïnomanes de culture pop, des vampires blogueurs, des apparitions fantomatiques issues des cloaques, certains avec des livres illisibles ou inédits, aucun avec suffisamment de pouvoir pour faire quoi que ce soit.
Tous avaient la certitude que si nous ne faisions rien - ne serait-ce qu'une forme dessinée dans un nuage hypothermique - le mieux était de nous entretuer le plus tôt possible.

J'ai fait une modif ou deux et c'est OK.