jeudi 3 mars 2016

Projet Bianca 2 – phrases 55-66

Metí sus llaves y las mías en la cartera y caminé decidida hacia la puerta. Él no tardó en saltar del sillón y me atajó del codo (tan mal no se sentía). Fue apretándome cada vez más fuerte el brazo, me lastimaba y no parecía dispuesto a dejarme ir. No me quedó más alternativa que encajarle un rodillazo. Héctor aflojó sus manos en el acto y yo aproveché para escapar y cerrar con dos vueltas de llave. “¡Abrí o te mato!” gritaba mi marido del otro lado, a la vez que aporreaba la puerta y sacudía el picaporte. Yo estaba a punto de hacerle caso, cuando de pronto vociferó una barbaridad de esas que no tienen ningún arreglo. Por favor Elena, no me pidas ahora que repita sus palabras. Fue como si me hubiera puesto la mano encima. Apenas intenté alejarme, descubrí que el vestido se había enganchado. Me sequé las palmas, sujeté la tela y ejercí palanca con una pierna y todas mis fuerzas. No puedo explicarte el placer enorme que me produjo sentir que la gasa comenzaba a rasgarse.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

2 commentaires:

Bianca a dit…

J'ai mis mes clés et les siennes dans mon sac à main, et déterminée, j'ai marché vers la porte. Il n'a pas tardé à sauter hors de son fauteuil et m'a attrapé par le coude (pas si malade en fin de compte). Il m'a serré le bras de plus en plus fort, il me faisait mal et ne semblait pas décidé à me laisser partir. Je n'ai pas eu d'autre choix que de lui flanquer un coup de genou. Héctor a desserré la prise tout de suite et moi, j'en ai profité pour m'échapper et m'enfermer à double tour. « Ouvre ou je te tue ! » criait mon mari de l'autre côté, en tambourinant la porte et en secouant la poignée. J'étais sur le point de lui obéir, quand soudain, il a vociféré une de ces atrocités qui sont irréversibles. S'il-te-plaît Elena, ne me demande pas maintenant de répéter ses paroles. Ça m'a fait le même effet que s'il avait levé la main sur moi. Au moment où j'ai essayé de m'éloigner, j'ai découvert que la robe s'était accrochée à quelque chose. Je me suis séché les paumes de mains, j'ai tenu le tissu et ai fait levier avec une jambe et toutes mes forces. Je ne peux t'expliquer l'immense plaisir que la sensation de la gaze commençant à se déchirer a provoqué en moi.

Tradabordo a dit…

J'ai mis mes clés et les siennes dans mon sac à main, [virgule après le « et » plutôt ? J'hésite] et déterminée, j'ai marché [ou avec « dirigée » ?] vers la porte. Il n'a pas tardé à sauter hors de [pas très naturel] son fauteuil et m'a attrapé [grammaire ?] par le coude (pas si malade [virgule] en fin de compte). Il m'a serré le bras de plus en plus fort, il me faisait mal et ne semblait pas décidé à me laisser partir. Je n'ai pas [nécessaire ? Vérifiez] eu d'autre choix que de lui flanquer un coup de genou. Héctor a desserré la [possessif ?] prise tout de suite [dommage de gaspiller un « tout » pour si peu] et moi, j'en ai profité pour m'échapper et m'enfermer à double tour. « Ouvre ou je te tue ! » criait mon mari de l'autre côté, en tambourinant [« sur » ? Vérifiez] la porte et en secouant la poignée. J'étais sur le point de lui obéir, quand soudain, il a vociféré une de ces atrocités qui sont irréversibles. S'il-te-plaît [pourquoi ces tirets ?] Elena, ne me demande pas maintenant de répéter ses paroles [manque de naturel]. Ça m'a fait [vous l'avez déjà plus haut] le même effet que s'il avait levé la main sur moi. Au moment où j'ai essayé de m'éloigner, j'ai découvert que la robe s'était accrochée à quelque chose. Je me suis séché [mal dit] les paumes de mains, j'ai tenu le tissu et ai fait [X3] levier avec une jambe et toutes mes forces. Je ne peux t'expliquer l'immense plaisir que la sensation de la gaze commençant à se déchirer a provoqué en moi.