mercredi 2 mars 2016

Projet Danny – phrases 37-38

Y cuando hacía la cola en la puerta del cine Pacífico allá por el año 85, para ver una mala película que no ameritaba el esfuerzo de mi mamá, me quedaba a veces fuera del ruedo, fuera del círculo de tiza trazado por mis tres buenas amigas. Y sucedía esto porque al observar sus rostros adolescentes me entraba una nostalgia terrible por una infancia dorada allá a finales de los 70, en compañía de Claudita y Micaela, una infancia en la cual se jugaba a Maricuchita y Maricuchito, a Carlitos Supermán, a Hannah de la Selva, a Hugo, Paco y Luis, a la destrucción de Barbie y Ken, a Star Wars, a Kojak, a Starsky y Hutch, a Menudo, a Parchís, todo esto en el jardín del colegio San Silvestre, que aportaba un tesoro insospechado en sus árboles y viejas bancas.

Traduction temporaire :
Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas les sacrifices de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait à l'égard d'une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinouille et Marinou cachons-nous de la pluie, à Clarky Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre, qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

22 commentaires:

Unknown a dit…

Lorsque je faisais la queue à la porte du cinéma Pacífico vers l’année 85, pour voir un mauvais film avec ma maman qui ne valait pas la peine, je restais, parfois, en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela se produisait parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible me pénétrait par une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à la guéguerre, à Superboy, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch et souvent au Pachisi ; tout cela dans le jardin du collège San Silvestre qui fournissait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

1. Pachisi ou petits chevaux ?

2. Pour "maricuchito y marichuchita" je n’ai pas la moindre idée… C’est pourquoi je me suis intéressé à l’expression « a cucho » qui s’apparente à « a hombros » etc.

 CUCHO (A). m. adv. Sant. Manera de llevar a los niños, sentados sobre los hombros de una persona, cuyo cuello ciñen para no caer.
Mais je ne sais pas si c’est ça ou comment le nommer c'est pourquoi j'ai opté pour la "guéguerre" pour généraliser l'action et rester dans un monde enfantin

Tradabordo a dit…

Lorsque je faisais la queue à la porte du cinéma [supprimez ; on l'a déjà dit et c'est déjà pas très naturel en français… donc, autant ne le mettre qu'une fois] Pacífico [virgule] vers [mal dit] l’année 85, pour voir un mauvais film avec ma maman qui ne valait pas la peine [ça mère ne valait pas la peine ????], je restais, parfois [voyez ce que ça donne en le mettant avant], en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela se produisait [ou avec seulement : « Juste » ?] parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible me pénétrait [« m'assaillait »] par [????] une enfance heureuse [littérale ?] vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à la guéguerre [je demande à Elena], à Superboy, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch et souvent au Pachisi ; tout cela dans le jardin du collège San Silvestre qui fournissait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Elena a dit…

Concernant "parchís", voici un lien qui peut vous aider :
https://es.m.wikipedia.org/wiki/Parchís

Unknown a dit…

j'avais trouve quelque chose de similaire pour "parchis" là n'était pas vraiment le problème, je demandais pour cette partie là si je laisais "Pachisi" qui existe en français ou s'il fallait mieux mettre "les petits chevaux" pour qu'un lecteur francophone capte mieux le sens du jeu...

mon gros problème surtout c'est pour traduire ceci : "se jugaba a Maricuchita y Maricuchito"
Merci d'avance ! :)

Elena a dit…

"les petits chevaux" me semble convenir.
Pour "se jugaba a Maricuchita y Maricuchito", je ne connais pas ce jeu. Je pense au jeu : "mamá y papá", mais je n'ai aucune certitude...

Tradabordo a dit…

Danny, voulez-vous qu'un demande à un Péruvien de nous aider ?

Unknown a dit…

je vais essayer d'approfondir, si je bloque je ferai appel à vos contacts :) mais je préfère d'abord tenter des recherches de mon côté histoire de m'investir davantage dans ce projet :)

Tradabordo a dit…

OK. Ça roule. On vous attend.

Unknown a dit…

Alors je ferai mon petit rapport quand j'en serais plus pour le reste, mais par rapport aux questions que je pose on m'a demandé s'il n'y avait pas un problème dans la typographie concernant "a Carlitos supermán"
Ne serait ce pas "A Carlitos, a Supermán" ??
Car Carlitos supermán pour l'instant n'est pas trouvable, à moins que ma proposition fonctionne , mais j'ai pas de certitude... alors que séparément il y à bien des équivalents
Qu'en pensez vous ?

Unknown a dit…

Voici malgré tout un retour de la traduction pour voir ce qui ne va pas syntaxiquement ou grammaticalement, histoire d'avancer un peu:

Lorsque je faisais la queue à la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas la peine avec ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait suite à une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Maricuchita et Maricuchito [ ?? recherche en cours], à Superboy [ ?? recherche en cours], à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís; tout cela dans le jardin du collège San Silvestre qui fournissait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

1. On dira plus « jeunesse dorée » qu’enfance, non ? j’attends vos lumières

Tradabordo a dit…

Y cuando hacía la cola en la puerta del cine Pacífico allá por el año 85, para ver una mala película que no ameritaba el esfuerzo de mi mamá, me quedaba a veces fuera del ruedo, fuera del círculo de tiza trazado por mis tres buenas amigas. Y sucedía esto porque al observar sus rostros adolescentes me entraba una nostalgia terrible por una infancia dorada allá a finales de los 70, en compañía de Claudita y Micaela, una infancia en la cual se jugaba a Maricuchita y Maricuchito, a Carlitos Supermán, a Hannah de la Selva, a Hugo, Paco y Luis, a la destrucción de Barbie y Ken, a Star Wars, a Kojak, a Starsky y Hutch, a Menudo, a Parchís, todo esto en el jardín del colegio San Silvestre, que aportaba un tesoro insospechado en sus árboles y viejas bancas.

Lorsque je faisais la queue à [« devant » ? Comme vous voulez] la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas la peine avec ma maman [CS : « el esfuerzo DE MI mamá »], parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait suite à [non ; c'est l'objet de la nostalgie qui est ici désigné] une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Maricuchita et Maricuchito [ ?? recherche en cours], à Superboy [ ?? recherche en cours], à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís[espace]; tout cela dans le jardin du collège [sûr ? Vérifiez quand même ; je ne dis pas que c'est faux…] San Silvestre qui fournissait [bof] un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Unknown a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas d'effort de la part de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes,une nostalgie terrible d'une enfance heureuse m'assaillait vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à "Maricuchita et Maricuchito", à "Carlitos Superman", à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.


j'ai eu une réponse de l'auteur, le jeu "Maricuhita y Maricuchito" est une invention mélangeant deux noms marrants et ridicules et elle me conseille soit de trouver une équivalence en français où l'on aurait, dans nos propres inventions ou jeux, deux noms ridicules et marrants et que ces prénoms soient identiques dans la phonétique du genre "Raphael et Raphaelle", mais je ne connais pas de jeu où l'on pourrait associer cela avec une touche d'ironie par exemple
ou bien, elle me conseille de laisser cela entre guillemet puisque ce n'est que pure invention

pour "Carlitos supermán", même problème, même conseil, c'est un jeu et un personnage inventé, même si, selon elle, "Supermán" c'est "Superman" ; j'ai donc préféré le laisser entre guillemet, à moins que vous vouliez que je le traduise par "Charlie Superman", "Petit Charles Superman" ??

Tradabordo a dit…

Si ce sont des inventions de l'auteur, il faut tout traduire.

Unknown a dit…

Eh bien, je peux proposer
Dauphin dauphine
Et je laisse petit Charles Superman

Tradabordo a dit…

Remettez dans l'ensemble de la section. J'ai besoin de le faire avec le reste.

Unknown a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas d'effort de la part de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible d'une enfance heureuse m'assaillait vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinou et Marinouille cachons-nous de la pluie, à petit Charles Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Unknown a dit…

Voici en quoi consiste les jeux selon l'auteur :

Carlitos Supermán es un niño que se cree Supermán, que puede salvar a todo el mundo. El juego consistía en que Carlitos "nos salvaba" de peligros que nos inventábamos...y el juego de

Maricuchita y Maricuchito era que dos niñas eran hermana y hermano y jugaban a esconderse de la lluvia (en Lima nunca llueve), debajo de los árboles, detrás de los arbustos, debajo de las bancas, etc etc

Tradabordo a dit…

Y cuando hacía la cola en la puerta del cine Pacífico allá por el año 85, para ver una mala película que no ameritaba el esfuerzo de mi mamá, me quedaba a veces fuera del ruedo, fuera del círculo de tiza trazado por mis tres buenas amigas. Y sucedía esto porque al observar sus rostros adolescentes me entraba una nostalgia terrible por una infancia dorada allá a finales de los 70, en compañía de Claudita y Micaela, una infancia en la cual se jugaba a Maricuchita y Maricuchito, a Carlitos Supermán, a Hannah de la Selva, a Hugo, Paco y Luis, a la destrucción de Barbie y Ken, a Star Wars, a Kojak, a Starsky y Hutch, a Menudo, a Parchís, todo esto en el jardín del colegio San Silvestre, que aportaba un tesoro insospechado en sus árboles y viejas bancas.

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas d'effort [plutôt au pluriel + « efforts » ou, en l'occurrence, « sacrifices » ?] de la part de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible d'[NON]une enfance heureuse m'assaillait vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinou et Marinouille [ça, c'est supposé être le garçon ?] cachons-nous de la pluie, à petit Charles [« Clark » ?] Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre [virgule] qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Unknown a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas les sacrifices de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait dû à une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinouille et Marinou cachons-nous de la pluie, à Clarky Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre, qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Tradabordo a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas les sacrifices de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait dû [regardez comment ça se construit : « nostalgie vis-à-vis / à l'égard… » Vérifiez] à une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinouille et Marinou cachons-nous de la pluie, à Clarky Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre, qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Unknown a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas les sacrifices de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait à l'égard d'une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinouille et Marinou cachons-nous de la pluie, à Clarky Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre, qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

Tradabordo a dit…

Lorsque je faisais la queue devant la porte du Pacífico, au cours de l’année 85, pour voir un mauvais film qui ne valait pas les sacrifices de ma maman, parfois, je restais en dehors du rond, en dehors du cercle tracé à la craie par mes trois bonnes amies. Et cela juste parce qu’en observant leurs visages d’adolescentes, une nostalgie terrible m'assaillait à l'égard d'une enfance heureuse vers la fin des années 70, en compagnie de Claudita et Micaela ; une enfance où l’on jouait à Marinouille et Marinou cachons-nous de la pluie, à Clarky Superman, à Jane de la jungle, à Riri, Fifi et Loulou, à la destruction de Barbie et Ken, à Star Wars, à Kojac, à Starsky et Hutch, à chanter du Menudo et du Parchís ; tout cela dans le jardin de l'école San Silvestre, qui offrait un trésor insoupçonné dans ses arbres et vieux bancs.

OK.