mercredi 16 mars 2016

Projet Déborah / Julie / Justine – phrases 390-397

Se veía tan hermosa, iluminada por la débil luz de la Luna, su piel clara y suave que habíamos aprendido a acariciar y que añorábamos con desesperación cuando no estaba a nuestro alcance. La pequeñez y fragilidad de su figura, cubierta por un ajustado vestido negro que destacaba cada una de sus formas y dejaba al descubierto la belleza de sus largas piernas. Estábamos enamorados sin duda, flotando a la deriva en medio de un remolino que nos zarandeaba entre un encendido deseo y la más sublime de las contemplaciones.
—Ahora cántame, Luis Javier —nos dijo.
Nuestras primeras notas surgieron vacilantes, pero pronto ganamos seguridad. Había sido nuestra madre quien nos había enseñado a usar el instrumento. Siempre quiso que también tuviésemos algo de artista. Fue su legado, su herencia.

Traduction temporaire :
Elle était si belle, éclairée par la faible luminosité de la lune, sa peau claire et douce que nous avions appris à caresser et qui nous manquait désespérément quand on ne l'avait pas à portée de mains. Sa fine silhouette fragile drapée dans une robe noire moulante qui faisait ressortir chacune de ses formes, tout en laissant la beauté de ses longues jambes à découvert. Pas de doute, nous étions amoureux, flottant à la dérive au milieu d'un tourbillon qui nous ballottait entre un désir enflammé et la plus sublime des contemplations.
— Maintenant, chante pour moi, Luis Javier, nous demanda-t-elle.

Nos premières notes surgirent, hésitantes, mais très vite, nous gagnâmes en assurance. Notre mère nous avait appris à jouer de cet instrument. Elle avait toujours voulu que nous ayons une âme d'artiste. C'est son legs, son héritage.

4 commentaires:

Justine a dit…

Elle était si belle, éclairée par la faible lumière de la lune, sa peau claire et douce que nous avions appris à caresser et qui nous manquait désespérément quand on ne l'avait pas à portée de mains. Sa fine silhouette fragile drapée dans une robe noire moulante, qui faisait ressortir ses formes, tout en laissant la beauté de ses longues jambes à découvert. Pas de doute, nous étions amoureux, flottant à la dérive au milieu d'un tourbillon qui nous secouait entre un désir enflammé et la plus sublime des contemplations.
— Maintenant, chante pour moi, Luis Javier ! nous ordonna-t-elle.
Nos premières notes surgirent, hésitantes, mais très vite nous gagnâmes en assurance. Notre mère nous avait appris à jouer de cet instrument. Elle a toujours voulu que nous ayons une âme d'artiste. C'est son legs, son héritage.

Tradabordo a dit…

Elle était si belle, éclairée par la faible lumière [« luminosité » ?] de la lune, sa peau claire et douce que nous avions appris à caresser et qui nous manquait désespérément quand on ne l'avait pas à portée de mains. Sa fine silhouette fragile drapée dans une robe noire moulante, [la virgule ?] qui faisait ressortir [« cada una » ?] ses formes, tout en laissant la beauté de ses longues jambes à découvert. Pas de doute, nous étions amoureux, flottant à la dérive au milieu d'un tourbillon qui nous secouait [pas plutôt « tiraillait » ? Pas sûre du tout… alors vérifie et réfléchis] entre un désir enflammé et la plus sublime des contemplations.
— Maintenant, chante pour moi, Luis Javier ! nous ordonna-t-elle [tu changes, surtout avec le !].
Nos premières notes surgirent, hésitantes, mais très vite [virgule] nous gagnâmes en assurance. Notre mère nous avait appris à jouer de cet instrument. Elle a toujours voulu [temps] que nous ayons une âme d'artiste. C'est son legs, son héritage.

Justine a dit…

Elle était si belle, éclairée par la faible luminosité de la lune, sa peau claire et douce que nous avions appris à caresser et qui nous manquait désespérément quand on ne l'avait pas à portée de mains. Sa fine silhouette fragile drapée dans une robe noire moulante qui faisait ressortir chacune de ses formes, tout en laissant la beauté de ses longues jambes à découvert. Pas de doute, nous étions amoureux, flottant à la dérive au milieu d'un tourbillon qui nous ballottait [pas plutôt « tiraillait » ? Pas sûre du tout… alors vérifie et réfléchis / c'est plutôt ça merci, mais pour garder l'image maritime, peut-être « ballotter » ? ] entre un désir enflammé et la plus sublime des contemplations.
— Maintenant, chante pour moi, Luis Javier, nous demanda-t-elle.
Nos premières notes surgirent, hésitantes, mais très vite, nous gagnâmes en assurance. Notre mère nous avait appris à jouer de cet instrument. Elle avait toujours voulu que nous ayons une âme d'artiste. C'est son legs, son héritage.

Tradabordo a dit…

Elle était si belle, éclairée par la faible luminosité de la lune, sa peau claire et douce que nous avions appris à caresser et qui nous manquait désespérément quand on ne l'avait pas à portée de mains. Sa fine silhouette fragile drapée dans une robe noire moulante qui faisait ressortir chacune de ses formes, tout en laissant la beauté de ses longues jambes à découvert. Pas de doute, nous étions amoureux, flottant à la dérive au milieu d'un tourbillon qui nous ballottait entre un désir enflammé et la plus sublime des contemplations.
— Maintenant, chante pour moi, Luis Javier, nous demanda-t-elle.
Nos premières notes surgirent, hésitantes, mais très vite, nous gagnâmes en assurance. Notre mère nous avait appris à jouer de cet instrument. Elle avait toujours voulu que nous ayons une âme d'artiste. C'est son legs, son héritage.

OK.