dimanche 6 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 138-150

Antonieta Baculic le dijo a la detective que la acompañaba que la esperara con el motor apagado. Descendió del auto, miró que nadie viniera de uno o de otro sentido de la calle y cruzó rápido a la plazoleta, ubicada al otro lado de la avenida. Se acercó al Peugeot 305 allí estacionado y enfrentó al conductor.
—¿Qué es lo que quiere? le gritó.
—Suba. Le ofreció Martínez, abriendo la puerta del acompañante.
—Cree que soy estúpida, continuó ella, acomodándose en el asiento, lleva días siguiéndome. Cuando le pedí ayuda me dio la espalda y ahora, ¿cuál es su juego? Tengo diez llamadas perdidas suyas en mi celular, cuando se las regreso no contesta, qué está haciendo, Amador, cree que…
—No creo nada, solo estaba preocupado por usted, no quiero que le pase nada malo.
—Nada malo me va a pasar, no estoy sola. Le mostró el auto institucional al otro lado de la calle.
Martínez bajó el rostro.
—No los matan, dijo.
—¿Perdón?

Traduction temporaire :

Antonieta Baculic demanda à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que la rue était dégagée avant de traverser rapidement, pour rejoindre la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? cria-t-elle
— Montez, l'enjoignit Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? reprit-elle en s'installant sur le siège. Vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez au juste ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

6 commentaires:

Justine a dit…

Antonieta Baculic conseilla à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que personne ne venait d'un côté ou de l'autre de la rue avant de traverser rapidement jusqu'à la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? vociféra-t-elle
— Montez, lui proposa Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? poursuivit-elle en prenant place sur le siège, vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction en face. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

Tradabordo a dit…

Antonieta Baculic conseilla [je ne pense pas que ce soit ça…] à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que personne ne venait [« que c'était dégagé » ?] d'un côté ou de l'autre de la rue avant de traverser rapidement [virgule] [+ un autre verbe en plus, non]? jusqu'à la petite place située de l'autre côté [tu viens de le mettre] de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? vociféra[pas mieux avec « crier » ?]-t-elle
— Montez, lui proposa [bof ici] Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? poursuivit[bof ici]-elle en prenant place sur le siège, [point] vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez [cheville : «, au juste » ?] ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction en face [tu l'as plus haut…]. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

Justine a dit…

Antonieta Baculic demanda à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que la rue était dégagée avant de traverser rapidement, pour rejoindre la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? cria-t-elle
— Montez, l'enjoignit Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? reprit-elle en prenant place sur le siège. Vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez au juste ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

Tradabordo a dit…

Antonieta Baculic demanda à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que la rue était dégagée avant de traverser rapidement, pour rejoindre la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? cria-t-elle
— Montez, l'enjoignit Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? reprit-elle en prenant [reprit + prendre] place sur le siège. Vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez au juste ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

Justine a dit…

Antonieta Baculic demanda à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que la rue était dégagée avant de traverser rapidement, pour rejoindre la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? cria-t-elle
— Montez, l'enjoignit Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? reprit-elle en s'installant sur le siège. Vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez au juste ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

Tradabordo a dit…

Antonieta Baculic demanda à l'enquêtrice qui l'accompagnait de l'attendre, moteur éteint. Elle descendit de la voiture, vérifia que la rue était dégagée avant de traverser rapidement, pour rejoindre la petite place située de l'autre côté de l'avenue. Elle s'approcha de la Peugeot 305 stationnée là et fit face au conducteur :
— Qu'est-ce que voulez ? cria-t-elle
— Montez, l'enjoignit Martínez en ouvrant la portière passager.
— Vous imaginez que je suis stupide ? reprit-elle en s'installant sur le siège. Vous me suivez depuis des jours. Lorsque je vous ai demandé votre aide, vous m'avez tourné le dos, et maintenant, à quoi vous jouez au juste ? J'ai dix appels en absence sur mon téléphone, mais quand je vous rappelle, vous ne répondez pas, qu'est-ce que vous fichez, Amador ? Vous croyez que…
— Je ne crois rien. Je suis simplement inquiet pour vous, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.
— Il ne m'arrivera rien, je ne suis pas seule.
Elle désigna la voiture de fonction. Martinez baissa la tête.
— On ne les tue pas.
— Pardon ?

OK.