jeudi 17 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 263-272

Y los pasos cansados y pesados.
Otra puerta que se abría.
El grito de una mujer joven y bonita.
Claro que hay documentos, señorita, no solo eso, ellos están aquí”, pensó que le habría dicho la doctora Serrano mientras le indicaba que mirara hacia la entrada de la cocina, donde las propias creaciones de la mujer de pelo blanco habían venido a la fiesta.
Del segundo grito no había que preocuparse, después de todo cuando no se tiene lengua, no se puede gritar.
Con los ojos cerrados el comisario Martínez escuchó: golpes, manotazos, rasguños, murmullos, arañazos, risas...
Y finalmente la succión.
Entonces abrió los ojos y se asomó a mirar, siempre le gustaba ver el final de la cena, sobre todo cuando la presa era tan joven y tan bonita.


Agosto, 1995.
Comuna de Independencia, Santiago de Chile.

Traduction temporaire :

Puis les pas fatigués et lourds. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et jolie. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Et eux, ils sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri ; après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des griffures, des rires… Et pour finir, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Il adorait assister à la fin du dîner, toujours ; surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

6 commentaires:

Justine a dit…

Puis les pas fatigués et pesants. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et belle. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Eux aussi, ils sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri, après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des éraflures, des rires… Et en apothéose, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Toujours, il adorait assister à la fin du dîner, surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

Tradabordo a dit…

Puis les pas fatigués et pesants [« lourds »]. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et belle [inexact]. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Eux aussi [?], ils sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri, [point-virgule ?] après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des éraflures [« griffures » ?], des rires… Et en apothéose [texte], la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Toujours, il adorait assister à la fin du dîner [syntaxe ?], surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

Justine a dit…

Puis les pas fatigués et lourds. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et jolie. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Eux sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri ; après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des griffures, des rires… Et pour finir, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Il adorait assister à la fin du dîner, toujours ; surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

Tradabordo a dit…

Puis les pas fatigués et lourds. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et jolie. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. [« Et »] Eux [virgule + « ils » ?] sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri ; après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des griffures, des rires… Et pour finir, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Il adorait assister à la fin du dîner, toujours ; surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

Justine a dit…

Puis les pas fatigués et lourds. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et jolie. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Et eux, ils sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri ; après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des griffures, des rires… Et pour finir, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Il adorait assister à la fin du dîner, toujours ; surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

Tradabordo a dit…

Puis les pas fatigués et lourds. Une autre porte qui s'ouvrait. Le cri d'une femme jeune et jolie. « Évidemment qu'il y a des documents, mademoiselle, mais pas seulement. Et eux, ils sont là… », elle crut avoir entendu la doctoresse Serrano prononcer ses mots, alors qu'elle lui indiquait qu'il fallait qu'elle regarde en direction de l'entrée de la cuisine, où les propres créations de la dame aux cheveux blancs s'étaient invitées à la fête. Il n'y avait pas à s’inquiéter du deuxième cri ; après tout, quand on n'a pas de langue, on ne peut pas crier. Les yeux fermés, le commissaire Martínez prêta l'oreille : des coups, des claques, des égratignures, des murmures, des griffures, des rires… Et pour finir, la succion. Il ouvrit alors les yeux et passa la tête par la porte pour voir. Il adorait assister à la fin du dîner, toujours ; surtout lorsque la proie était si jeune et si jolie.
Août 1995,
Commune d'Independencia, à Santiago du Chili.

OK.