samedi 19 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 273-280

Los dos agentes y la doctora ingresaron a la casa de Elcira Ramírez, la puerta estaba abierta así que no tuvieron mucho problema para entrar. Se dirigieron al dormitorio del primer piso y allí encontraron al muerto, dormitando junto al cuerpo violentado de su madre. Le había abierto el vientre y devorado los órganos e intestinos, bebido toda su sangre y masticado la lengua y el cerebro. Sangre y carne estaban salpicadas por todos lados, nada que no pudiera limpiarse. El cadáver reposaba junto a su comida, con el estómago hinchado y redondo, igual que un recién nacido que acababa de ser amamantado.
—No querías a tu hijo, vieja culeada. Ahí lo tienes, se burló uno de los agentes, el más viejo y gordo.
La doctora Serrano, superiora de la unidad, lo hizo callar y se acercó a inyectar a la unidad para regresarla a su estado de hibernación mantenida.

Traduction temporaire :

Les deux agents et la doctoresse pénétrèrent chez Elcira Ramírez, la porte ouverte leur avait facilité les choses. Ils mirent le cap sur la chambre du premier étage ; là, ils découvrirent le mort, endormi à côté du corps violenté de sa mère. Il lui avait ouvert le ventre puis dévoré les organes et les intestins, bu tout son sang, et mâché la langue et le cerveau. Il y avait des éclaboussures de sang et de chair partout, impossibles à nettoyer. Le cadavre reposait près de son repas, l'estomac plein et repu, comme un nourrisson qui venait de téter.
— Tu n'aimais pas ton fils, vieille empaffée. Eh bien, le voilà ! railla un des agents – le plus âgé et le plus gros.
La doctoresse Serrano, chef de l'unité, le fit taire et s'approcha pour injecter la dose qui la maintiendrait en hibernation.

4 commentaires:

Justine a dit…

Les deux agents et la doctoresse pénétrèrent dans la maison d'Elcira Ramírez, la porte ouverte leur facilita les choses. Ils mirent le cap sur la chambre du premier étage, là, ils découvrirent le mort, endormi à côté du corps violenté de sa mère. Il lui avait ouvert le ventre et dévoré les organes et les intestins, bu tout son sang, et mâché sa langue et son cerveau. Des éclaboussures de sang et de chair partout, impossibles à nettoyer. Le cadavre reposait près de son repas, l'estomac plein et repu, comme un nourrisson qui venait de téter.
— Tu n'aimais pas ton fils, vieille empaffée. Eh bien, le voilà ! railla un des agents – le plus âgé et le plus gros.
La doctoresse Serrano, chef de l'unité, le fit taire et s'approcha pour injecter la dose qui la maintiendrait en hibernation.

Tradabordo a dit…

Les deux agents et la doctoresse pénétrèrent dans la maison d'[« chez » ?]Elcira Ramírez, la porte ouverte leur facilita [PQP ?] les choses. Ils mirent le cap sur la chambre du premier étage, [« ; » ?] là, ils découvrirent le mort, endormi à côté du corps violenté de sa mère. Il lui avait ouvert le ventre et [« puis »] dévoré les organes et les intestins, bu tout son sang, et mâché sa [« la »] langue et son [« le »] cerveau. [« Il y avait »] Des éclaboussures de sang et de chair partout, impossibles à nettoyer. Le cadavre reposait près de son repas, l'estomac plein et repu, comme un nourrisson qui venait de téter.
— Tu n'aimais pas ton fils, vieille empaffée. Eh bien, le voilà ! railla un des agents – le plus âgé et le plus gros.
La doctoresse Serrano, chef de l'unité, le fit taire et s'approcha pour injecter la dose qui la maintiendrait en hibernation.

Justine a dit…

Les deux agents et la doctoresse pénétrèrent chez Elcira Ramírez, la porte ouverte leur avait facilité les choses. Ils mirent le cap sur la chambre du premier étage ; là, ils découvrirent le mort, endormi à côté du corps violenté de sa mère. Il lui avait ouvert le ventre puis dévoré les organes et les intestins, bu tout son sang, et mâché la langue et le cerveau. Il y avait des éclaboussures de sang et de chair partout, impossibles à nettoyer. Le cadavre reposait près de son repas, l'estomac plein et repu, comme un nourrisson qui venait de téter.
— Tu n'aimais pas ton fils, vieille empaffée. Eh bien, le voilà ! railla un des agents – le plus âgé et le plus gros.
La doctoresse Serrano, chef de l'unité, le fit taire et s'approcha pour injecter la dose qui la maintiendrait en hibernation.

Tradabordo a dit…

Les deux agents et la doctoresse pénétrèrent chez Elcira Ramírez, la porte ouverte leur avait facilité les choses. Ils mirent le cap sur la chambre du premier étage ; là, ils découvrirent le mort, endormi à côté du corps violenté de sa mère. Il lui avait ouvert le ventre puis dévoré les organes et les intestins, bu tout son sang, et mâché la langue et le cerveau. Il y avait des éclaboussures de sang et de chair partout, impossibles à nettoyer. Le cadavre reposait près de son repas, l'estomac plein et repu, comme un nourrisson qui venait de téter.
— Tu n'aimais pas ton fils, vieille empaffée. Eh bien, le voilà ! railla un des agents – le plus âgé et le plus gros.
La doctoresse Serrano, chef de l'unité, le fit taire et s'approcha pour injecter la dose qui la maintiendrait en hibernation.

OK.