samedi 19 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 273-285

—Que vengan temprano a buscarlo, le indicó a los hombres.
—Sí, señora, aceptó uno de los agentes, mirando con temor a la criatura de piel pálida, casi transparente.
—Tranquilos, indicó la mujer. El muchacho no los va a molestar, pero les aconsejo no tocarlo.
Luego tomó sus cosas y salió a la calle. La estaban esperando en la esquina.
Cuando finalmente se quedaron solos, los hombres se sentaron en el living, tenían todo el resto de la noche y el día siguiente para limpiar, no había para qué apresurarse.
—Te conté cuando los soltamos en Buenos Aires en el 78, le dijo el más viejo a su compañero.
—Muchas veces.
—Estos culeados casi se comen al fantasma de Gardel, pero ganamos la guerra.
—No hubo guerra.
—Eso es lo que crees tú, ahueonao. ¿Un cigarrito?

Traduction temporaire :

— Qu'on vienne le chercher tôt, recommanda-t-elle à ses hommes.
— Bien, madame, accepta l'un des agents en jetant un regard craintif à la créature à la peau pâle, presque transparente.
— N'ayez pas peur, le rassura-t-elle. Le jeune homme ne vous embêtera pas, mais je vous conseille de ne pas le toucher.
Puis, elle ramassa ses affaires et ressortit dans la rue. Elle était attendue au coin.
Une fois seuls, les deux hommes s'assirent dans le living. Ayant tout le reste de la nuit et le lendemain pour nettoyer, pas de raison de se presser.
— Je t'ai raconté quand on les a lâchés à Buenos Aires, en 1978 ? demanda le plus vieux à son coéquipier ?
— Souvent.
— Ces enfoirés ont presque mangé le fantôme de Gardel, mais on a gagné la guerre.
— Il n'y a pas eu de guerre.
— Ça, c'est ce que tu crois, crétin. Une petite clope ?

5 commentaires:

Justine a dit…

— Qu'on vienne le chercher tôt, préconisa-t-elle à ses hommes.
— Oui, madame, accepta l'un des agents en jetant un regard craintif à la créature à la peau pâle, presque transparente.
— N'ayez pas peur, les rassura-t-elle. Le jeune homme ne vous embêtera pas, mais je vous conseille de ne pas le toucher.
Puis, elle ramassa ses affaires et sortit dans la rue. Elle était attendue au coin.
Une fois seuls, les deux hommes s'assirent dans le living, ils avaient tout le reste de la nuit et le lendemain pour nettoyer, pas de raison de se presser.
— Je t'ai raconté quand on les a lâchés à Buenos Aires en 1978 ? demanda le plus vieux à son collègue ?
— Maintes fois.
— Ces enfoirés ont presque mangé le fantôme de Gardel, mais on a gagné la guerre.
— Il n'y a pas eu de guerre.
— Ça, c'est ce que tu crois, crétin. Une petite clope ?

Tradabordo a dit…

— Qu'on vienne le chercher tôt, préconisa[bof]-t-elle à ses hommes.
— Oui, madame, accepta l'un des agents en jetant un regard craintif à la créature à la peau pâle, presque transparente.
— N'ayez pas peur, les [« le » ?] rassura-t-elle. Le jeune homme ne vous embêtera pas, mais je vous conseille de ne pas le toucher.
Puis, elle ramassa ses affaires et [« re » ?]sortit dans la rue. Elle était attendue au coin.
Une fois seuls, les deux hommes s'assirent dans le living, [point ?] ils avaient [« Ayant » ?] tout le reste de la nuit et le lendemain pour nettoyer, pas de raison de se presser.
— Je t'ai raconté quand on les a lâchés à Buenos Aires [virgule ?] en 1978 ? demanda le plus vieux à son collègue ? [?]
— Maintes fois [pas naturel].
— Ces enfoirés ont presque mangé le fantôme de Gardel, mais on a gagné la guerre.
— Il n'y a pas eu de guerre.
— Ça, c'est ce que tu crois, crétin. Une petite clope ?

Justine a dit…

— Qu'on vienne le chercher tôt, recommanda-t-elle à ses hommes.
— Bien, madame, accepta l'un des agents en jetant un regard craintif à la créature à la peau pâle, presque transparente.
— N'ayez pas peur, le rassura-t-elle. Le jeune homme ne vous embêtera pas, mais je vous conseille de ne pas le toucher.
Puis, elle ramassa ses affaires et ressortit dans la rue. Elle était attendue au coin.
Une fois seuls, les deux hommes s'assirent dans le living. Ayant tout le reste de la nuit et le lendemain pour nettoyer, pas de raison de se presser.
— Je t'ai raconté quand on les a lâchés à Buenos Aires, en 1978 ? demanda le plus vieux à son coéquipier ?
— Souvent.
— Ces enfoirés ont presque mangé le fantôme de Gardel, mais on a gagné la guerre.
— Il n'y a pas eu de guerre.
— Ça, c'est ce que tu crois, crétin. Une petite clope ?

Tradabordo a dit…

— Qu'on vienne le chercher tôt, recommanda-t-elle à ses hommes.
— Bien, madame, accepta l'un des agents en jetant un regard craintif à la créature à la peau pâle, presque transparente.
— N'ayez pas peur, le rassura-t-elle. Le jeune homme ne vous embêtera pas, mais je vous conseille de ne pas le toucher.
Puis, elle ramassa ses affaires et ressortit dans la rue. Elle était attendue au coin.
Une fois seuls, les deux hommes s'assirent dans le living. Ayant tout le reste de la nuit et le lendemain pour nettoyer, pas de raison de se presser.
— Je t'ai raconté quand on les a lâchés à Buenos Aires, en 1978 ? demanda le plus vieux à son coéquipier ?
— Souvent.
— Ces enfoirés ont presque mangé le fantôme de Gardel, mais on a gagné la guerre.
— Il n'y a pas eu de guerre.
— Ça, c'est ce que tu crois, crétin. Une petite clope ?

OK.

Tradabordo a dit…

Si je ne me trompe pas, c'est terminé. Allez, tu peux relire.