samedi 5 mars 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 110-117

A mamá no le gustó ni cinco mi corte: ¡Cómo te picoteaste el pelo! ¡Tan bonito que lo tenías! Felizmente para mí, ya no había nada que hacer. El viernes me levanté temprano y me fui al caney a recoger las hojas de tabaco que ya estaban secas para hacer los atados. Mamá nos había dicho que la tía Alfreda llegaría el sábado como a las cuatro. A la hora del almuerzo me las arreglé para que Rodolfo se comiera mi arroz con pollo sin que mamá se diera cuenta; no tenía hambre, sentía la garganta apretada como la noche que me soñé que un grandote me levantaba por detrás y me cogía por el pescuezo con unas tenazas. Elisa estaba muy emocionada porque iba a ponerse la pinta que se había estrenado para la confirmación.

Traduction temporaire :
Maman eut ma coupe en horreur : t'as avalé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis l'irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac à présent sèches et les rouler pour former des cigarettes. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

9 commentaires:

Justine a dit…

Maman détesta carrément ma coupe : Qu'est-ce que t'as fais à tes cheveux ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, c'était irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent ramasser les feuilles de tabac déjà sèches et les attacher ensemble. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait samedi vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge serrée – exactement la même sensation que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre deux tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait se mettre le maquillage qu'elle avait étrenné pour sa confirmation.

Justine a dit…

Au vu de la suite du texte, je corrige une erreur d'appréciation :

Maman détesta carrément ma coupe : Qu'est-ce que t'as fait à tes cheveux ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, c'était irréparable. Le vendredi, je me levais tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac déjà sèches et préparer les paquets de cigarettes. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge serrée – exactement la même sensation que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre deux tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Tradabordo a dit…

Maman détesta carrément [expression en esp., il te faut une expression en franç.] ma coupe : Qu'est-ce que t'as fait [plus « coloré » en V.O., non ? Dommage d'aplatir le style…] à tes cheveux ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, c'était [c'est et c'était…] irréparable. Le vendredi, je me levais [temps] tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac déjà [comme tu le sais « ya » ne veut pas seulement dire « déjà »] sèches et préparer les paquets de cigarettes [sûre ?]. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge serrée [« nouée » ? Vérifie la fréquence d'usage] – exactement la même sensation [« exactement pareil »] que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre deux [« des » ; c'est évident et pas en V.O.] tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Justine a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as bouffé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac bien sèches et les attacher ensemble. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Tradabordo a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as bouffé [un peu « vulgaire », pour le coup ;-)] tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis irréparable [RELIS-TOI AVANT DE PUBLIER]. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac bien [« à présent »] sèches et les attacher ensemble [pas le roulage pour faire les cigarettes ? Vérifie]. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Justine a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as avalé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis l'irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac à présent sèches et les rouler pour former des cigarettes [là ou j'ai un doute, c'est qu'en tapant « atados », tu vois des paquets de cigarettes]. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Tradabordo a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as avalé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis l'irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac à présent sèches et les rouler pour former des cigarettes [là ou j'ai un doute, c'est qu'en tapant « atados », tu vois des paquets de cigarettes /// Mais là, c'est « atar » les feuilles]. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Justine a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as avalé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis l'irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac à présent sèches et les rouler pour former des cigarettes. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

Tradabordo a dit…

Maman eut ma coupe en horreur : t'as avalé tes cheveux ou quoi ? Ils étaient si beaux ! Heureusement pour moi, j'avais commis l'irréparable. Le vendredi, je me levai tôt et partis sous l'auvent pour ramasser les feuilles de tabac à présent sèches et les rouler pour former des cigarettes. Maman nous avait prévenus que tante Alfreda arriverait vers seize heures. Au déjeuner, je m'arrangeai pour que Rodolfo mange mon riz et mon poulet sans que maman s'en aperçoive. Je n'avais pas faim, j'avais la gorge nouée – exactement pareil que la nuit où j'avais rêvé qu'un grand gaillard me soulevait par derrière et emprisonnait mon cou entre des tenailles. Elisa était très excitée parce qu'elle allait mettre la tenue qu'elle avait étrennée pour sa confirmation.

OK.