mercredi 9 mars 2016

Projet Justine / Marie-G 2. – phrases 122-128

Por fin llegó el ansiado sábado. A eso de las dos de la tarde, me fui al río para bañarme. Me llevé una pastilla de jabón nueva, tomé un largo baño y me tendí al sol. Calculé que había pasado ya una hora y me froté el cuerpo con la colonia de Rodolfo, que había cogido a escondidas. Me gustaba como olía esa colonia; era un olor ácido, fresco, como de naranja con madera, no como los que usaban mamá y Elisa que tenían un olor dulzón. Subí despacio hasta la casa para no sudar y me encerré en la pieza a cambiarme: camisa blanca de dacrón y pantalón marrón de pana. A las 3:20 ya me había vestido y tenía enfrente de mí cuarenta largos minutos antes de que llegara la tía Alfreda. 

Traduction temporaire :
Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai une savonnette neuve, pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que je devais être là depuis une bonne heure, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que je lui avais subtilisée en cachette. L'odeur me plaisait : acide, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, écœurants. Je repris lentement le chemin de la maison pour ne pas transpirer, puis m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant que tante Alfreda ne débarque.

6 commentaires:

Justine a dit…

Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai un pain de savon neuf, je pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que ça devait faire une bonne heure que j'étais là, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que j'avais subtilisée en cachette. L'odeur de l'eau de Cologne me plaisait : une odeur âcre, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, qui avaient une odeur écœurante. Je remontai doucement jusqu'à la maison pour ne pas transpirer, puis je m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant l'arrivée de tante Alfreda.

Tradabordo a dit…

Le samedi tant redouté [ou « attendu » ? Ça dépend du contexte, que j'ai absolument oublié :-)] arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai un pain de savon [« savonnette » ?] neuf, je [nécessaire ?] pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que ça [tu en as un avant + contourne « c'est » / « c'était » et compagnie !] devait faire une bonne heure que j'étais là, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que j'avais [ou : « je lui » ? Comme tu veux…] subtilisée en cachette. L'odeur de l'eau de Cologne [nécessaire de répéter ?] me plaisait : une odeur [nécessaire de répéter ?] âcre [sûre ?], fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, qui avaient une odeur [supprime tout ça…] écœurante. Je remontai doucement [sois plus précise] jusqu'à la maison pour ne pas transpirer, puis je [nécessaire ?] m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant l'arrivée de tante Alfreda.

Justine a dit…

Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai une savonnette neuve, pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que je devais être là depuis une bonne heure, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que je lui avais subtilisée en cachette. L'odeur me plaisait : acide, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, écœurants. Je repris doucement le chemin de la maison pour ne pas transpirer, puis m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant que tante Alfreda ne débarque.

Tradabordo a dit…

Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai une savonnette neuve, pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que je devais être là depuis une bonne heure, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que je lui avais subtilisée en cachette. L'odeur me plaisait : acide, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, écœurants. Je repris doucement [cf mon commentaire précédent = « lentement »] le chemin de la maison pour ne pas transpirer, puis m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant que tante Alfreda ne débarque.

Justine a dit…

Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai une savonnette neuve, pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que je devais être là depuis une bonne heure, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que je lui avais subtilisée en cachette. L'odeur me plaisait : acide, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, écœurants. Je repris lentement le chemin de la maison pour ne pas transpirer, puis m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant que tante Alfreda ne débarque.

Tradabordo a dit…

Le samedi tant redouté arriva enfin. Vers quatorze heures, j'allai me baigner à la rivière. J'emportai une savonnette neuve, pris un long bain avant de m'allonger au soleil. Je calculai que je devais être là depuis une bonne heure, et me frottai le corps avec l'eau de Cologne de Rodolfo, que je lui avais subtilisée en cachette. L'odeur me plaisait : acide, fraîche, un mélange d'orange et de bois. Pas comme les parfums que mettaient maman et Elisa, écœurants. Je repris lentement le chemin de la maison pour ne pas transpirer, puis m'enfermai dans ma chambre le temps de me changer : chemise blanche en dacron et pantalon marron en velours côtelé. À quinze heures vingt, j'étais déjà habillée et j'avais devant moi quarante longues minutes avant que tante Alfreda ne débarque.

OK.