samedi 12 mars 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 136-155


Está aquí. Es ella. La visita ha llegado. Quiero levantarme pero las piernas no me obedecen. Mis extremidades parecen no recibir la orden que les envía mi cerebro. Escucho los pasos que se apresuran hacia la puerta principal. Rodolfo y Wilson están abriendo la reja y puedo sentir el alborozo que se apodera de la casa. Está aquí. Es ella. Y yo no puedo moverme. Bendición tía Alfreda, grita Elisa. Ella se ríe. Y su risa parece la risa de una penca ‘e morena. Su risa se desparrama hasta caer al suelo de baldosas rojas y empieza a rebotar por toda la casa como una pelotica de ping-pong de color anaranjado. La pelota entra por debajo del quicio de mi puerta y se queda mirándome con atención. Mi mamá comienza a llamarme. Tengo que hacer algo pero ¿qué? Desprender el tronco de las piernas. ¡Eso! Que se queden ahí sentadas si quieren. 

Traduction temporaire :
Elle est là. C'est elle. La visiteuse est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir l'immense joie qui s'empare de la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue, tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison, telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

8 commentaires:

Justine a dit…

Elle est là. C'est elle. La visite est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir la joie débordante qui emplit [on a déjà « envahir »] la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous les gonds de ma porte et reste là à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante [pour contourner « vouloir »] .

Justine a dit…

Elle est là. C'est elle. La visite est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir la joie débordante qui emplit [on a déjà « envahir »] la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous les gonds de ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante [pour contourner « vouloir »] .

Justine a dit…

Elle est là. C'est elle. La visite est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir la joie débordante qui emplit [on a déjà « envahir »] la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous les gonds de ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante [pour contourner « vouloir »] .

Tradabordo a dit…

Elle est là. C'est elle. La visite [?????] est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir la joie débordante [?] qui emplit [on a déjà « envahir » / texte] la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue [virgule] tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison [virgule ?] telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous les gonds [sûre ?] de ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

Justine a dit…

Elle est là. C'est elle. La visiteuse est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir l'immense joie qui gagne la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue, tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison, telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous l'encadrement de ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

Tradabordo a dit…

Elle est là. C'est elle. La visiteuse est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir l'immense joie qui gagne [littéral] la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue, tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison, telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous l'encadrement de [supprime] ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

Justine a dit…

Elle est là. C'est elle. La visiteuse est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir l'immense joie qui s'empare de la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue, tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison, telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

Tradabordo a dit…

Elle est là. C'est elle. La visiteuse est arrivée. Je veux me lever, mais mes jambes ne m’obéissent pas. Mes extrémités semblent ne pas recevoir l'ordre que leur envoie mon cerveau. J'entends ses pas qui se pressent vers la porte d'entrée. Rodolfo et Wilson ouvrent la grille et je peux sentir l'immense joie qui s'empare de la maison. Elle est là. C'est elle. Et moi, je ne peux pas bouger. Bienvenue, tante Alfreda ! hurle Elisa. Elle, elle rit. Et son rire ressemble au rire d'une plantureuse brune. Il se répand jusqu'à tomber sur le sol de tomettes rouges et commence à rebondir dans toute la maison, telle une balle de ping-pong orange. La balle passe sous ma porte et reste là, à me regarder attentivement. Soudain, ma maman m'appelle. Il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ? Dissocier mon tronc de mes jambes. Voilà ! Qu'elles restent assises ici si ça leur chante.

OK.