vendredi 4 mars 2016

Projet Justine / Nadia / Élise – phrases 414-424

No, no me lo creo —concluyó finalmente Aníbal—. Y no es que me resista a echar por tierra mi terca predisposición a embellecer las cosas. Ocurre tan solo que no acepto que esta mujer tan ruda, que de hecho se dispone a matar a alguien, sea la Irina Marovich que nosotros conocimos.
¡Bueno, basta y dejémonos de tonteras! —dije yo—. No es ella. De plano, no lo es. No sigamos más con este asunto —y en un santiamén enrollé la revista y la guardé en el bolsillo de mi saco.
Después, nos despedimos y, como de costumbre, quedamos en llamarnos por teléfono la semana entrante. Pero esa noche, al volver a casa, a la medianoche (y un poco movido por varias copas de más), abrí nuevamente la revista y busqué con prisa, con vehemencia, la fotografía de las mujeres soldados de Bosnia. Pronto tuve ante mis ojos a la ruda mujer de pie. Y entonces sentí, o creí sentir, que una sonrisa se dibujaba en mis labios y que me brincaba el corazón de alegría, como en los viejos tiempos, cuando la Zurda se aparecía de pronto a pasear por los malecones.

Traduction temporaire :

— Non, j'y crois pas ! trancha Anibal. Pas que je refuse de jeter aux orties ma propension à toujours vouloir embellir les choses. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui s'apprête visiblement à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, allez, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus !
Et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine, le rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres de trop), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher rapidement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude, debout. Et je sentis, ou crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

8 commentaires:

Justine a dit…

Non, je n'y crois pas ! objecta finalement Anibal. Non pas que je refuse de jeter ma tendance à toujours vouloir embellir les choses aux orties. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui visiblement s'apprête à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus ! et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine que je rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres supplémentaires), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher prestement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude debout. Et je sentis alors, ou je crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Tradabordo a dit…

Le tiret de la première réplique.

Justine a dit…

— Non, je n'y crois pas ! objecta finalement Anibal. Non pas que je refuse de jeter ma tendance à toujours vouloir embellir les choses aux orties. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui visiblement s'apprête à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus ! et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine que je rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres supplémentaires), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher prestement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude debout. Et je sentis alors, ou je crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Tradabordo a dit…

— Non, je n'y crois pas ! objecta [« conclut »] finalement [supprime] Anibal. Non [supprime] pas que je refuse de jeter [très mal dit………… en fait, avec le « aux orties » à la fin, c'est carrément incompréhensible] ma tendance à toujours vouloir embellir les choses aux orties. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui visiblement [après le verbe ? Essaie et vois ce qui est mieux] s'apprête à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, [cheville : « allez, » ?] ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus ! e[maj]t en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine que je [avec une simple virgule] rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres supplémentaires [FS ?]), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher prestement [bof] et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude [virgule ? J'hésite] debout. Et je sentis alors [supprime celui-ci], ou je [nécessaire ?] crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Justine a dit…

— Non, j'y crois pas ! trancha [on a déjà « conclure »] Anibal. Pas que je refuse de jeter aux orties mon côté à toujours vouloir embellir les choses. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui s'apprête visiblement à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, allez, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus ! Et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine, le rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher rapidement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude, debout. Et je sentis, ou crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Tradabordo a dit…

— Non, j'y crois pas ! trancha Anibal. Pas que je refuse de jeter aux orties mon côté [« ma propension » ?] à toujours vouloir embellir les choses. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui s'apprête visiblement à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, allez, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus !
Et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine, le rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres [et le « de más » ?]), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher rapidement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude, debout. Et je sentis, ou crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Justine a dit…

— Non, j'y crois pas ! trancha Anibal. Pas que je refuse de jeter aux orties ma propension à toujours vouloir embellir les choses. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui s'apprête visiblement à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, allez, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus !
Et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine, le rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres de trop), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher rapidement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude, debout. Et je sentis, ou crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

Tradabordo a dit…

— Non, j'y crois pas ! trancha Anibal. Pas que je refuse de jeter aux orties ma propension à toujours vouloir embellir les choses. Simplement, je n'accepte pas que cette femme si rude, qui s'apprête visiblement à tuer quelqu'un, soit la Irina Marovich que nous avons connue.
— Bon, allez, ça suffit, on arrête les conneries ! C'est pas elle. Clairement pas. N'en parlons plus !
Et en deux temps, trois mouvements, je repliai le magazine, le rangeai dans la poche de ma veste.
Après, nous nous séparâmes, convenant comme d'habitude de nous appeler la semaine suivante. Mais ce soir-là, en rentrant chez moi à minuit (et un peu aidé par quelques verres de trop), j'ouvris de nouveau le magazine pour chercher rapidement et avec véhémence la photo des femmes soldats en Bosnie. J'eus aussitôt sous les yeux cette femme rude, debout. Et je sentis, ou crus sentir, un sourire se dessiner sur mes lèvres et mon cœur bondir de joie dans ma poitrine, comme jadis, dès que la Gauchère apparaissait lors de ses promenades sur les jetées.

OK.

Tu peux relire.