vendredi 11 mars 2016

Projet Medea / Iris – phrases 98-108

Salió ocultamente de su palacio por un postigo que daba al campo, sin más compañía que un cayado de pastor y la malla maravillosa. Tres días con sus noches, el rey marchó hacia el oriente. La senda por donde caminaba subía bordeando desfiladeros y barrancas insondables. El flanco de la negra montaña era cada vez más empinado y más áspero. Pero ni el cansancio ni el frío ni la sed ni el hambre le molestaban en lo más mínimo. El orgullo y la soberbia avivaban en él sus hogueras y devoraban toda sensación de malestar físico. Ni una sola vez volvió la cabeza para contemplar el camino recorrido.
Tres veces vio pasar el sol por encima de su cabeza. Cruzó sin detenerse, irreverente, con la excelsa majestad de un dios. Lo asaeteó con sus rayos y fundiendo las nieves desató, para que le salieran al paso con más ímpetu, los torrentes. Aquel reto del astro exacerbó su furor y amenazando con la diestra al flamígero viajero profirió:

Traduction temporaire :
Il sortit en cachette de son palace, par une porte dérobée qui donnait sur la campagne, avec pour seule compagnie une houlette de berger et sa merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits vers l'orient. Le sentier où il avançait montait, bordés de cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et rugueux. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui la flamme et dévoraient toute sensation de gêne physique. Pas une seule fois il ne se retourna pour considérer le chemin parcouru. À trois reprises, il vit passer le soleil au-dessus de sa tête. Il continua sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, l'astre l'assaillit et faisant fondre la neige, il déchaîna les torrents, pour entraver son passage avec plus encore plus d'impétuosité. Ce défi exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

6 commentaires:

Medea a dit…

Il sortit en cachette de son palace par une porte dérobée qui donnait sur les champs, avec pour seule compagnie une houlette de berger et la merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits. Le sentier où il se mouvait montait en longeant des cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et abrupt. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui ses joies et dévoraient toutes sensations de douleurs physiques. Pas une seule fois il ne tourna la tête pour voir le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil par dessus sa tête. Il traversa sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, il l'assaillit et faisant fondre la neige il déchaîna les torrents, pour lui bloquer le passage avec plus d'élan [j'ai vraiment eu du mal à comprendre ce que l'auteur a voulu dire]. Cette menace exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

Tradabordo a dit…

Il sortit en cachette de son palace par une porte dérobée qui donnait sur les champs [ou « campagne » ?], avec pour seule compagnie une houlette de berger et la [possessif ?] merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits [vous avez oublié un petit morceau de la phrase]. Le sentier où il se mouvait [« avançait »] montait en [avec une virgule à la place] longeant des [« bordés de » ?] cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et abrupt [j'hésite ; regardez bien dans le dico unilingue et dites-moi]. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui ses joies [FS ?] et dévoraient toutes sensations [singulier] de douleurs [trop fort par rapport à la V.O.] physiques. Pas une seule fois il ne tourna la tête pour voir le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil par [« au »] dessus [vérifiez s'il y a un tiret entre les deux] sa tête. Il traversa [ennuyeux parce qu'avec ce verbe, on attend un complément] sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, il l'assaillit et faisant fondre la neige [virgule] il déchaîna les torrents, pour lui bloquer le passage avec plus d'élan [j'ai vraiment eu du mal à comprendre ce que l'auteur a voulu dire /// l'idée est effectivement qu'ils l'entravent, avec encore plus d'impétuosité que quand ils sont à leur niveau normal]. Cette menace [FS] exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

Medea a dit…

Il sortit en cachette de son palace par une porte dérobée qui donnait sur la campagne, avec pour seule compagnie une houlette de berger et sa merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits vers l'orient. Le sentier où il avançait montait, bordés de cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et rugueux. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui sa flamme et dévoraient toute sensation de malaises physiques. Pas une seule fois il ne tourna la tête pour voir le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil au-dessus de sa tête. Il le dépassa [?] sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, il l'assaillit et faisant fondre la neige, il déchaîna les torrents, pour lui entravant le passage avec plus encore plus d'impétuosité. Cet défi exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

Tradabordo a dit…

Il sortit en cachette de son palace [virgule] par une porte dérobée qui donnait sur la campagne, avec pour seule compagnie une houlette de berger et sa merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits vers l'orient. Le sentier où il avançait montait, bordés de cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et rugueux. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui sa [j'hésite pour le possessif] flamme et dévoraient toute sensation de malaises [« gêne »] physiques [singulier]. Pas une seule fois il ne tourna la tête pour voir [« considérer »] le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil au-dessus de sa tête [ah zut, vous en avez un dans la phrase d'avant ; débrouillez-vous pour en supprimer un]. Il le dépassa [?] [« continua »] sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, il [là, je me demande si on ne devrait pas mettre « astre » ; parce que sinon, c'est ambigu sur quoi fait quoi, non ?] l'assaillit et faisant fondre la neige, il déchaîna les torrents, pour lui entravant [? coquille] le passage avec plus encore plus d'impétuosité. Cet [?] défi exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

Medea a dit…

Il sortit en cachette de son palace, par une porte dérobée qui donnait sur la campagne, avec pour seule compagnie une houlette de berger et sa merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits vers l'orient. Le sentier où il avançait montait, bordés de cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et rugueux. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui la flamme et dévoraient toute sensation de gêne physique. Pas une seule fois il ne se retourna pour considérer le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil au-dessus de sa tête. Il continua sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, l'astre l'assaillit et faisant fondre la neige, il déchaîna les torrents, pour lui entraver le passage avec plus encore plus d'impétuosité. Ce défi exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

Tradabordo a dit…

Il sortit en cachette de son palace, par une porte dérobée qui donnait sur la campagne, avec pour seule compagnie une houlette de berger et sa merveilleuse trame. Le roi marcha durant trois jours et trois nuits vers l'orient. Le sentier où il avançait montait, bordés de cols et des précipices insondables. Le flanc de la montagne noire était de plus en plus incliné et rugueux. Cependant, ni la fatigue, ni le froid, ni la soif, ni la faim ne le dérangeaient le moins du monde. La fierté et l'orgueil ravivaient en lui la flamme et dévoraient toute sensation de gêne physique. Pas une seule fois il ne se retourna pour considérer le chemin parcouru.
À trois reprises, il vit passer le soleil au-dessus de sa tête. Il continua sans s'arrêter, irrévérencieux, avec la majesté éminente d'un dieu. Avec ses rayons, l'astre l'assaillit et faisant fondre la neige, il déchaîna les torrents, pour entraver son passage avec plus encore plus d'impétuosité. Ce défi exacerba sa fureur et, menaçant le flamboyant voyageur de la main droite, il proféra :

J'ai fait une petite modif et c'est OK.

Iris ?