mercredi 2 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 110-123

Ella permanece en silencio. Voy reti rando mi peso de su cuerpo, le acaricio los cabellos, ya no veo en ellos el verde brillante, pero sí los encuentro suaves, palpitantes. Me subo los pantalones y me levanto. Recojo su blusa, su sujetador, con delicadeza los acerco a sus ma nos. Ahora me invade el pudor y echo la mirada a un costado mientras ella, con dificultad, se pone los pantalones; solo me vuelvo a agachar a su lado para ayudarla a levan tarse. Ella sigue callada. Recojo ahora los platos rotos y los coloco sobre la barra; sintiéndome en casa, me adentro en la cocina, busco un trapo, una escoba y un recogedor. Al regresar, la encuentro sentada en una silla. Barro y limpio el piso. Ella me mira a los ojos.
Ni siquiera sé cómo te llamas —me dice.
Pronuncio mi nombre. Me turba pronunciarlo, como si después de esa noche ya no me reconociera en él.

Traduction temporaire :

Elle resta silencieuse. Je commence à retirer mon poids de son corps, je caresse ses cheveux, je n'y vois plus le vert brillant ; en revanche, ils me semblent soyeux, palpitants. Je remonte mon pantalon et me relève. Je ramasse son corsage, son soutien-gorge ; je les lui tends délicatement. Maintenant, la pudeur m'envahit et je détourne les yeux pendant qu'elle remet difficilement son pantalon ; je ne me baisse de nouveau près d'elle que pour l'aider à se redresser. Elle ne parle toujours pas. Je ramasse maintenant les assiettes cassées et les pose sur le comptoir ; me sentant comme chez moi, je pénètre dans la cuisine à la recherche d'un torchon, d'un balai et d'une pelle. À mon retour, je la trouve assise sur une chaise. Je balaie et nettoie par terre. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Je ne sais même pas comment tu t'appelles, me lance-t-elle.
Je dis mon prénom. J'en suis troublé, comme si après cette nuit, je ne m'y reconnaissais plus.

4 commentaires:

Sabrina a dit…

Elle resta silencieuse. Je commence à retirer mon poids de son corps, je caresse ses cheveux, je n'y vois plus le vert brillant ; en revanche, ils me semblent plutôt soyeux, palpitants. Je remonte mon pantalon et me relève. Je ramasse son corsage, son soutien-gorge ; je les lui tends délicatement. Maintenant, la pudeur m'envahit et je détourne mon regard sur le côté pendant qu'elle remet difficilement son pantalon ; je ne me baisse de nouveau près d'elle que pour l'aider à se redresser. Elle ne parle toujours pas. Je ramasse maintenant les assiettes cassées et les pose sur le comptoir ; me sentant comme chez moi, je pénètre en cuisine à la recherche d'un torchon, d'un balai et d'une pelle. A mon retour, je la trouve assise sur une chaise. Je balaie et nettoie la pièce. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Je ne sais même pas comment tu t'appelles, me lance-t-elle.

Je dis mon prénom. Je suis troublé en le disant, comme si après cette nuit, je ne m'y reconnaissais plus.

Tradabordo a dit…

Elle resta silencieuse. Je commence à retirer mon poids de son corps, je caresse ses cheveux, je n'y vois plus le vert brillant ; en revanche, ils me semblent plutôt [pourquoi cet ajout ?] soyeux, palpitants. Je remonte mon pantalon et me relève. Je ramasse son corsage, son soutien-gorge ; je les lui tends délicatement. Maintenant, la pudeur m'envahit et je détourne mon regard [« les yeux » ?] sur le côté [supprime ; redondant] pendant qu'elle remet difficilement son pantalon ; je ne me baisse de nouveau près d'elle que pour l'aider à se redresser. Elle ne parle toujours pas. Je ramasse maintenant les assiettes cassées et les pose sur le comptoir ; me sentant comme chez moi, je pénètre en [bof ici] cuisine à la recherche d'un torchon, d'un balai et d'une pelle. A [il faut accentuer les majuscules] mon retour, je la trouve assise sur une chaise. Je balaie et nettoie la pièce [FS ?]. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Je ne sais même pas comment tu t'appelles, me lance-t-elle.
Je dis mon prénom. Je suis troublé en le disant [nécessaire de répéter ?], comme si après cette nuit, je ne m'y reconnaissais plus.

Sabrina a dit…

"Plutôt", c'était une façon (bien à moi, je te l'accorde :p) de traduire "si", comme pour insister, souligner l'opposition avec le "vert brillant". Mais "en revanche" marque peut-être à lui seul déjà très bien cette différence.
Oui, j'ai l'impression que c'est nécessaire de répéter "dire" car c'est bien le fait de prononcer son nom qui le trouble. Je tente autre chose pour éviter la répétition.
Ok pour le reste :)

Elle resta silencieuse. Je commence à retirer mon poids de son corps, je caresse ses cheveux, je n'y vois plus le vert brillant ; en revanche, ils me semblent soyeux, palpitants. Je remonte mon pantalon et me relève. Je ramasse son corsage, son soutien-gorge ; je les lui tends délicatement. Maintenant, la pudeur m'envahit et je détourne les yeux pendant qu'elle remet difficilement son pantalon ; je ne me baisse de nouveau près d'elle que pour l'aider à se redresser. Elle ne parle toujours pas. Je ramasse maintenant les assiettes cassées et les pose sur le comptoir ; me sentant comme chez moi, je pénètre dans la cuisine à la recherche d'un torchon, d'un balai et d'une pelle. À mon retour, je la trouve assise sur une chaise. Je balaie et nettoie par terre. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Je ne sais même pas comment tu t'appelles, me lance-t-elle.
Je dis mon prénom. J'en suis troublé, comme si après cette nuit, je ne m'y reconnaissais plus.

Tradabordo a dit…

Elle resta silencieuse. Je commence à retirer mon poids de son corps, je caresse ses cheveux, je n'y vois plus le vert brillant ; en revanche, ils me semblent soyeux, palpitants. Je remonte mon pantalon et me relève. Je ramasse son corsage, son soutien-gorge ; je les lui tends délicatement. Maintenant, la pudeur m'envahit et je détourne les yeux pendant qu'elle remet difficilement son pantalon ; je ne me baisse de nouveau près d'elle que pour l'aider à se redresser. Elle ne parle toujours pas. Je ramasse maintenant les assiettes cassées et les pose sur le comptoir ; me sentant comme chez moi, je pénètre dans la cuisine à la recherche d'un torchon, d'un balai et d'une pelle. À mon retour, je la trouve assise sur une chaise. Je balaie et nettoie par terre. Elle me regarde droit dans les yeux.
— Je ne sais même pas comment tu t'appelles, me lance-t-elle.
Je dis mon prénom. J'en suis troublé, comme si après cette nuit, je ne m'y reconnaissais plus.

OK.