lundi 14 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 164-172


Ya estaba por sumergirme de nuevo cuando un au tomóvil pequeño y plomizo aparcó lejos, a un costado del camino. Nadie bajaba de él, pero yo no dudé en decirle al motorista que dejara mi bolsa de muestras en la furgoneta y que después podía marcharse. Él dudó un momento; yo ya le había pagado el importe de toda una mañana y solo habían transcurrido tres horas; parte de su labor era velar por mi seguridad mientras yo estuviera sumergido y ahora me dejaría solo. Le dije que no bucearía lago adentro y que no demoraría mucho en salir a tierra. Me obe deció. Yo me zambullí de nuevo, pero me quedé nadando por encima de la corriente. El motorista apeó el bote en la orilla, luego ca minó hasta la furgoneta y allí depositó mi bolsa de muestras. Me sentí aliviado, casi extasiado, al verlo alejarse. Pasó cerca del auto plomizo pero a nadie saludó. Después no lo vi más.

Traduction temporaire :

Je m'apprêtais à m'immerger de nouveau, lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon sac d'échantillons dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé l'espace d'un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée alors qu'il n'était resté que trois heures ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il me laisserait seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon sac d'échantillons. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Après, je ne le vis plus.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

J'étais prêt à m'immerger à nouveau lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon épuisette dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée et seulement trois heures s'étaient écoulées ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il devait me laisser seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au beau milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon épuisette. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Je ne le vis plus après.

Tradabordo a dit…

J'étais prêt [plutôt « s'apprêter à », non ?] à m'immerger à [« de »] nouveau [virgule] lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon épuisette [au fait, je n'ai pas réagi pour la phrase d'avant, mais tu es sûre que c'est ça ?] dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé un instant [syntaxe ?] : je l'avais déjà payé pour toute la matinée et seulement trois heures s'étaient écoulées [cette phrase n'est pas complètement naturelle… Je sais pas, c'est légèrement lourd / vois ce que tu peux faire] ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il devait me laisser [texte ?] seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au beau [nécessaire ?] milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon épuisette [idem]. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Je ne le vis plus après [syntaxe ?].

Sabrina a dit…

Je n'ai pas utilisé "s'apprêter à" juste avant ? Si ce n'est pas le cas, oui c'est mieux, merci :). Je vérifierai à la relecture.
Tu as bien sûr raison pour l'épuisette !! Il l'a dans l'eau mais elle n'est pas attachée au canot ni au siège de sa fourgonnette ! Je mets "sac d'échantillons" car on a utilisé "prélèvements" avant.
Je reprends le reste.

Je m'apprêtais à m'immerger de nouveau, lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon sac d'échantillons dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé pendant un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée alors qu'il n'était resté que trois heures ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il me laisserait seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon sac d'échantillons. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Après, je ne le vis plus.

Tradabordo a dit…

Quand tu reliras, tu changeras les autres « épuisette ».

Je m'apprêtais [vérifie dans « Travaux en cours »] à m'immerger de nouveau, lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon sac d'échantillons dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé pendant [« l'espace de » ?] un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée alors qu'il n'était resté que trois heures ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il me laisserait seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon sac d'échantillons. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Après, je ne le vis plus.

Sabrina a dit…

Je note ça avec "lac" et "mais" ;).
J'ai vérifié et non, je l'ai rêvé !
Top "l'espace d'un" ! Merci :)

Je m'apprêtais à m'immerger de nouveau, lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon sac d'échantillons dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé l'espace d'un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée alors qu'il n'était resté que trois heures ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il me laisserait seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon sac d'échantillons. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Après, je ne le vis plus.

Tradabordo a dit…

Je m'apprêtais à m'immerger de nouveau, lorsqu'une petite voiture couleur plomb se gara loin, sur un côté du chemin. Personne n'en descendit ; cependant, je n'hésitai pas à dire au barreur de laisser mon sac d'échantillons dans la fourgonnette et à l'autoriser à partir après. Il fut embarrassé l'espace d'un instant : je l'avais déjà payé pour toute la matinée alors qu'il n'était resté que trois heures ; son travail consistait en partie à veiller sur ma sécurité pendant mon immersion et maintenant, il me laisserait seul. Je lui assurai que je ne plongerais pas au milieu du lac et que je ne tarderais pas à regagner le bord. Il m'obéit. Je retournai à l'eau, mais restai à nager à la surface. Le barreur amarra le canot à la rive, marcha ensuite jusqu'à la fourgonnette où il déposa mon sac d'échantillons. Je me sentis soulagé, presque ravi, en le regardant s'éloigner. Il passa près de la voiture couleur plomb sans saluer personne. Après, je ne le vis plus.

OK.