dimanche 13 mars 2016

Projet Sarah S – phrases 27-37

Al ver cuánto demoraba su pasajera, el taxista metió en la guantera los billetes que acababa de recibir en mano, encendió las balizas y se bajó del auto. Intentó ayudarla con el paquete pero la vieja se negó. La asió del codo con cuidado de no lastimarla. Sus brazos eran tallarines crudos. Lidia se aferró con una mano al taxista igual que un bebé cuando, para dar los primeros pasos, se agarra de las patas de los muebles. Le temblaba todo el cuerpo. El hombre la dejó sola en la vereda y se alejó con el taxi.
El edificio tenía más de veinte pisos. Lidia fue arrastrando los zapatos hasta la puerta giratoria. Su pulso no era el mismo de antaño, ni el paquete tan liviano como aparentaba. En consecuencia, no se animaba a sostenerlo con una mano para con la otra empujar la puerta. Tampoco podía caminar a la misma velocidad que el resto de la gente que entraba y salía sin parar del edificio; temía ser arrollada por los paneles.

Traduction temporaire :

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en prenant garde de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour apprendre à marcher. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet n'était pas aussi léger qu'il avait l'air. Elle ne pouvait donc pas le tenir d'une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être écrasée par les battants.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait d'empocher dans sa boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de sa voiture. Il lui proposa de l'aider avec son paquet mais la vieille refusa. Il la soutint par le coude en faisant attention de ne pas la blesser. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya au chauffeur tel un bébé qui, pour faire ses premiers pas, prend appui sur les pieds des meubles. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa seule sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.

Le bâtiment s'élevait sur plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet plus aussi léger. Elle ne pouvait donc plus le tenir à une main et pousser la porte avec l'autre main. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entrait et sortait sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être enroulée par les portillons.

Tradabordo a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait d'empocher [mettre dans sa poche ;-))))] dans sa [possessif nécessaire ?] boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de sa [possessif nécessaire ?] voiture. Il lui proposa [FS] de l'aider avec son paquet [VIRGULE DEVANT « MAIS »] mais la vieille [cheville : « femme » ?] refusa. Il la soutint par le coude en faisant attention de ne pas la blesser [pas trop fort ?]. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya au [mal dit] chauffeur [virgule] tel un bébé qui, pour faire ses premiers pas [mettez ça à la fin ; comme ça, on n'aura pas besoin de la virgule], prend appui [FS] sur les pieds des meubles. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa seule [nécessaire ?] sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment s'élevait sur [naturel ? J'hésite… Regardez la fréquence d'usage de cette expression sur internet : avec les guillemets, etc.] plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet plus [non… ça va avec le bout que vous avez supprimé] aussi léger [« como aparentaba »]. Elle ne pouvait donc plus le tenir à une main et pousser la porte avec l'autre main [nécessaire ?]. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entrait et sortait [mettez quand même au pluriel] sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être enroulée [bizarre, non ?] par les portillons.

Unknown a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en faisant attention de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour faire ses premiers pas. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet ne semblait plus aussi léger. Elle ne pouvait donc plus le tenir à une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être broyée [un peu fort j'imagine... "écrasée" ? "rattrapée" ?] par les portillons.

Tradabordo a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en faisant attention de ne pas lui faire [vous l'avez juste avant] mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour faire [X3] ses premiers pas. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet ne semblait plus [non ; comme indiqué dans mon précédent commentaire, « como aparentaba » ne doit pas être supprimé] aussi léger. Elle ne pouvait donc plus [pas non plus en V.O.] le tenir à une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être broyée [un peu fort j'imagine... "écrasée" OK ? "rattrapée" ?] par les portillons [« battants » ? Vérifiez avec Google images].

Unknown a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en prenant garde de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour apprendre à marcher. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet n'était plus aussi léger qu'il avait l'air. Elle ne pouvait donc pas le tenir à une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être écrasée par les battants.

Tradabordo a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en prenant garde de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour apprendre à marcher. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet n'était plus ["pas"] aussi léger qu'il avait l'air. Elle ne pouvait donc pas le tenir à [d'une] une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être écrasée par les battants.

Unknown a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en prenant garde de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour apprendre à marcher. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet n'était pas aussi léger qu'il avait l'air. Elle ne pouvait donc pas le tenir d'une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être écrasée par les battants.

Tradabordo a dit…

Voyant le temps que sa passagère mettait à sortir, le chauffeur rangea les billets qu'il venait de recevoir dans la boîte à gants, alluma ses feux de détresse et sortit de la voiture. Il essaya de l'aider avec son paquet, mais la vieille femme refusa. Il la soutint par le coude en prenant garde de ne pas lui faire mal. Ses bras étaient aussi fins que des nouilles crues. D'une main, Lidia s'appuya sur le chauffeur, tel un bébé qui s'accroche aux pieds des meubles pour apprendre à marcher. Tout son corps tremblait. L'homme la laissa sur le trottoir et s'éloigna dans son taxi.
Le bâtiment était haut de plus d'une vingtaine d'étages. Lidia traîna des pieds jusqu'à la porte tambour. Son pouls n'était plus le même qu'avant, et son paquet n'était pas aussi léger qu'il avait l'air. Elle ne pouvait donc pas le tenir d'une main et pousser la porte avec l'autre. Elle n'était pas non plus capable de marcher à la même allure que le reste des gens qui entraient et sortaient sans cesse de l'immeuble ; elle avait peur d'être écrasée par les battants.

OK.