jeudi 10 mars 2016

Projet Sonita / Élise 3 – phrases 615-628

Es una metáfora. Las de ellos son avispas, las nuestras abejas; una diferencia sutil, pero por ahora irrelevante. Sólo por ahora.
El enfermero detuvo la marcha, hizo girar la silla y miró a Zebrel con severidad.
¿Qué te pasa? —dijo.
Zebrel movió la cabeza. Ni siquiera intentó formar un no sin lengua. ¿Qué podía sospechar el enfermero?
Intuye —dijo la voz—. Ocurre cada vez con más frecuencia. No le tengas miedo; no te puede hacer nada.
Zebrel clavó la mirada en el enfermero y lo obligó a bajar la vista. —Sin exoprots son mierda —pensó—. ¿Dónde están Odín, Zeus y Yavhé en este momento? ¿Ocupados en otros asuntos y por eso no ayudan al enfermero?

Traduction temporaire :

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, pour le moment. Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel secoua la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons l’infirmier pourrait-il avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Cela arrive de plus en plus souvent. N’aie pas peur de lui, il ne peut rien te faire.
Zebrel planta son regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des merdes, pensa-t-il. Où sont Odin, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, ils n’aident pas l’infirmier ?

6 commentaires:

Sonita a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, ce sont des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, maintenant . Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel bougea la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons pourrait l’infirmier avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Ça arrive de plus en plus souvent. N’en aie pas peur, il ne peut rien te faire.
Zebrel fixa le regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des vauriens, pensa-t-il. Où sont Odín, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, donc ils n’aident pas l’infirmier ?

Tradabordo a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, ce sont [supprime] des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, maintenant [espace en trop]. Seulement pour le moment [il faut que tu mettes la même chose dans les deux phrases / la répétition est volontaire].
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel bougea [mal dit ici] la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons pourrait l’infirmier avoir ? [charabia]
— Il le pressent, répondit la voix. Ça [« Cela »] arrive de plus en plus souvent. N’en aie pas peur [remets un « lui »], il ne peut rien te faire.
Zebrel fixa le regard [« planta son regard »] sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des vauriens [texte !], pensa-t-il. Où sont Odín [l'accent ?????], Zeus et Yavhé, maintenant [tu en as un au début / Ça dépendra de ce que tu as décidé pour la répétition volontaire] ? Occupés à autre chose, donc ils [pas très bien] n’aident pas l’infirmier ?

Sonita a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, pour le moment. Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel secoua la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons l’infirmier pourrait-il avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Cela arrive de plus en plus souvent. N’aie pas peur de lui, il ne peut rien te faire.
Zebrel planta son regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des merdes, pensa-t-il. Où sont Odin, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, et pour cette raison ils n’aident pas l’infirmier ?

Tradabordo a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, pour le moment. Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel secoua la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons l’infirmier pourrait-il avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Cela arrive de plus en plus souvent. N’aie pas peur de lui, il ne peut rien te faire.
Zebrel planta son regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des merdes, pensa-t-il. Où sont Odin, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, et pour cette raison [supprime tout ça] ils n’aident pas l’infirmier ?

Sonita a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, pour le moment. Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel secoua la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons l’infirmier pourrait-il avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Cela arrive de plus en plus souvent. N’aie pas peur de lui, il ne peut rien te faire.
Zebrel planta son regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des merdes, pensa-t-il. Où sont Odin, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, ils n’aident pas l’infirmier ?

Tradabordo a dit…

— C’est une métaphore. Les leurs, ce sont des guêpes, les nôtres, des abeilles. Une différence subtile, mais qui est insignifiante, pour le moment. Seulement pour le moment.
L’infirmier s’arrêta, fit tourner le fauteuil et regarda Zebrel sévèrement.
— Qu’est-ce qu'il t’arrive ? demanda-t-il.
Zebrel secoua la tête. Il n’essaya même pas de former un non sans langue. Quels soupçons l’infirmier pourrait-il avoir ?
— Il le pressent, répondit la voix. Cela arrive de plus en plus souvent. N’aie pas peur de lui, il ne peut rien te faire.
Zebrel planta son regard sur l’infirmier et l’obligea à baisser les yeux. Sans les exoprots, ce sont des merdes, pensa-t-il. Où sont Odin, Zeus et Yavhé, maintenant ? Occupés à autre chose, ils n’aident pas l’infirmier ?

OK.