mardi 16 février 2016

Projet Marion – phrases 20-28

«Quién es Mariela, dijo su madre.
—Es la vecina nueva, de la esquina. Me invitó a la pileta.
Su madre la miró con ojos llenos de desprecio y de reproche. Cómo podía querer dormir al sol, refrescarse, jugar y reír en el agua de enero después de la muerte de su hermano, eso decían los ojos irritados de su madre. Pero en cambio dijo:
—Claro, claro.
Verónica buscó su bikini, que estaba perdido en el cajón de la ropa interior, y lo guardó en la mochila, junto a una gaseosa bien fría para convidarle a Mariela y una toalla. Cuando cerró la puerta y guardó las llaves en el bolsillo del jean, sintió que se alejaba de una bóveda helada y el sol la encandiló, como si ella también fuera una pequeña muerta que volvía a conocer los días.

Traduction temporaire :
« Qui est Mariela, demanda sa mère.
— La nouvelle voisine, celle du coin de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle avoir envie de dormir au soleil, de se rafraîchir, de jouer et de rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, voilà ce qu'exprimaient les yeux énervés de sa mère. Au lieu de cela, elle dit :
- Bien sûr, bien sûr.

Verónica chercha son bikini, perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, avec un coca bien frais qu'elle offrirait à Mariela et une serviette. Quand elle ferma la porte et mit les clés dans la poche de son jean, elle eut l'impression qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi, elle était une petite morte que revenait à la vie.

6 commentaires:

Unknown a dit…

« Qui est Mariela, dit sa mère.
- C'est la nouvelle voisine, celle de l'angle de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle vouloir dormir au soleil, se rafraîchir, jouer et rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, c'est ce que disaient les yeux énervés de sa mère. Mais à la place, elle dit :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, qui était perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, à côté d'une limonade bien fraîche qu'elle offrirait à Mariela et d'une serviette. Quand elle ferma la porte et mit ses clés dans la poche de son jean, elle sentit qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi était une petite morte que revenait à la vie.

Tradabordo a dit…

« Qui est Mariela, dit [pas un verbe plus intéressant ?] sa mère.
- [les tirets longs pour les dialogues = —] C'est [Nécessaire ? N'oubliez pas : « c'est » un une facilité de traduction… on en met partout et c'est une vraie plaie de s'en débarrasser au moment des relectures. Je ne veux pas dire qu'il faut les bannir, mais les économiser…] la nouvelle voisine, celle de l'angle [« coin » ? J'hésite…] de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle vouloir [« avoir envie » ? Comme vous voulez…] dormir au soleil, se rafraîchir, jouer et rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, c'est [encore ! :-)] [« voilà »] ce que disaient [vous l'avez déjà au début ; ça, ça fait partie des petits détails qu'il faut bosser… Pour « dire », on a une vaste palette d'autres solutions, en fonction de qui parle, dans quel contexte, avec quel état d'esprit, quelle intonation…] les yeux énervés de sa mère. Mais à la place [bof], elle dit [X3] :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, qui était [nécessaire ?] perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, à côté d'[ou juste : « avec » ? Je vous laisse trancher]une limonade [sûre ? Je ne dis pas que c'est faux…] bien fraîche qu'elle offrirait à Mariela et d'une serviette. Quand elle ferma la porte et mit ses [vous avez un possessif après aussi ; il vaut mieux en avoir un seul dans ces cas-là] clés dans la poche de son jean, elle sentit [« eut l'impression » ?] qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi [« , elle »] était une petite morte que revenait à la vie.

Unknown a dit…

« Qui est Mariela, demanda sa mère.
— La nouvelle voisine, celle du coin de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle avoir envie de dormir au soleil, de se rafraîchir, de jouer et de rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, voilà ce qu'exprimaient les yeux énervés de sa mère. Mais au lieu de cela, elle dit [je peux en laisser un ? :D ] :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, avec une limonade [un rafraîchissement ? un soda ? un coca ?] bien fraîche[frais] qu'elle offrirait à Mariela et une serviette. Quand elle ferma la porte et mit les clés dans la poche de son jean, elle eut l'impression qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi, elle était une petite morte que revenait à la vie.

Tradabordo a dit…

« Qui est Mariela, demanda sa mère.
— La nouvelle voisine, celle du coin de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle avoir envie de dormir au soleil, de se rafraîchir, de jouer et de rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, voilà ce qu'exprimaient les yeux énervés de sa mère. Mais [nécessaire ?] au lieu de cela, elle dit :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, avec une limonade [un rafraîchissement ? un soda ? un coca ? Qu'est-ce qu'on trouve quand on tape ça dans « Google images » ?] bien fraîche[frais] qu'elle offrirait à Mariela et une serviette. Quand elle ferma la porte et mit [« fourra » ou trop oral ?] les clés dans la poche de son jean, elle eut l'impression qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi, elle était une petite morte que revenait à la vie.

Unknown a dit…

« Qui est Mariela, demanda sa mère.
— La nouvelle voisine, celle du coin de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle avoir envie de dormir au soleil, de se rafraîchir, de jouer et de rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, voilà ce qu'exprimaient les yeux énervés de sa mère. Au lieu de cela, elle dit :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, avec un coca bien frais qu'elle offrirait à Mariela et une serviette. Quand elle ferma la porte et mit les clés dans la poche de son jean, elle eut l'impression qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi, elle était une petite morte que revenait à la vie.

Tradabordo a dit…

« Qui est Mariela, demanda sa mère.
— La nouvelle voisine, celle du coin de la rue. Elle m'a invitée à venir à sa piscine.
Sa mère la regarda avec des yeux pleins de mépris et de reproche. Comment pouvait-elle avoir envie de dormir au soleil, de se rafraîchir, de jouer et de rire dans l'eau de janvier après la mort de frère, voilà ce qu'exprimaient les yeux énervés de sa mère. Au lieu de cela, elle dit :
- Bien sûr, bien sûr.
Verónica chercha son bikini, perdu dans le tiroir des sous-vêtements, et le rangea dans son sac à dos, avec un coca bien frais qu'elle offrirait à Mariela et une serviette. Quand elle ferma la porte et mit les clés dans la poche de son jean, elle eut l'impression qu'elle s'éloignait d'une voûte gelée et le soleil l'éblouit, comme si elle aussi, elle était une petite morte que revenait à la vie.

OK.