jeudi 3 mars 2016

Projet Hélène 5 – phrases 137-144

Los ocupantes del automóvil no estaban heridos, sólo golpeados y, sobre todo, paralizados por el miedo. Los sacaron a empellones y les cayeron algunos puñetazos y patadas, que no continuaron porque el gran negro impidió que la horda se desbocara. Pidió calma y silencio y se llevó el dedo hacia la oreja, como para escuchar alguna lejana sirena de policía. No se oía nada, salvo el rumor, casi imperceptible, de la lluvia sobre la ciudad dormida, y los quejidos de uno de los ocupantes del automóvil, que, al parecer, era el que peor había salido del choque. La noche había vuelto a la oscuridad y a su indiferencia por el hecho humano, por los pequeños afanes, por las miserables contiendas de los hombres. Volvió a sentir la urgente necesidad de desaparecer de allí, pero permaneció inmóvil. El gigante, cuyos rasgos ahora se fundían con las sombras, dijo que había que  sacar de allí el automóvil, que había que aparcarlo, para que no llamara la atención. Los otros le obedecieron.

Traduction temporaire :
Les occupants de la voiture n’étaient pas blessés, juste sonnés, et surtout, paralysés par la peur. Ils en furent violemment extirpés et reçurent quelques coups de poing et de pied, qui cessèrent parce que le grand noir empêcha que la horde perde complètement le contrôle. Il exigea le calme et le silence, puis porta son doigt près de son oreille, comme pour écouter une lointaine sirène de police. On n’entendait rien, à l’exception de la rumeur, presque imperceptible, de la pluie sur la ville endormie et les gémissements d’un des occupants de la voiture, vraisemblablement celui qui s’était le moins bien sorti de la collision. La nuit retourna à l’obscurité et à son indifférence pour le fait humain, pour les petites envies, les misérables querelles des hommes. Il sentit de nouveau l’urgente nécessité de disparaître, mais resta immobile. Le géant, dont les traits se confondaient avec les ombres, ordonna de sortir la voiture du fossé, de la garer, pour qu’elle n’attire pas l’attention. Les autres lui obéirent.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Les occupants de la voiture n’étaient pas blessés, seulement sonnés, et surtout, paralysés par la peur. Ils furent violemment extraits et reçurent quelques coups de poing et de pied, qui cessèrent parce que le grand noir empêcha que la horde perde le contrôle. Il exigea le calme et le silence, puis approcha son doigt de son oreille, comme pour écouter une lointaine sirène de police. On n’entendait rien, à l’exception de la rumeur, presque imperceptible, de la pluie sur la ville endormie et les gémissements d’un des occupants de la voiture, qui était vraisemblablement celui qui s’était le moins bien sorti de la collision. La nuit retourna à l’obscurité et à son indifférence pour le fait humain, pour les petites envies, les misérables querelles des hommes. Il sentit de nouveau l’urgente nécessité de disparaître d’ici, mais il resta immobile. Le géant, dont les traits se confondaient alors avec les ombres, ordonna de sortir la voiture, de la garer, pour qu’elle n’attire pas l’attention. Les autres lui obéirent.

Tradabordo a dit…

Les occupants de la voiture n’étaient pas blessés, seulement [« juste » ? Comme tu veux] sonnés, et surtout, paralysés par la peur. Ils [« en » ?] furent violemment extraits [« tirés » / « extirpés » ?] et reçurent quelques coups de poing et de pied, qui cessèrent parce que le grand noir empêcha que la horde perde [ajout d'une cheville : « complètement » ?] le contrôle. Il exigea le calme et le silence, puis approcha [« porta » ?] son doigt de son oreille, comme pour écouter une lointaine sirène de police. On n’entendait rien, à l’exception de la rumeur, presque imperceptible, de la pluie sur la ville endormie et les gémissements d’un des occupants de la voiture, qui était [nécessaire ?] vraisemblablement celui qui s’était le moins bien sorti de la collision. La nuit retourna à l’obscurité et à son indifférence pour le fait humain, pour les petites envies, les misérables querelles des hommes. Il sentit de nouveau l’urgente nécessité de disparaître d’ici [nécessaire ?], mais il [nécessaire ?] resta immobile. Le géant, dont les traits se confondaient alors [nécessaire ?] avec les ombres, ordonna de sortir [pas assez clair] la voiture, de la garer, pour qu’elle n’attire pas l’attention. Les autres lui obéirent.

Hélène a dit…

Les occupants de la voiture n’étaient pas blessés, juste sonnés, et surtout, paralysés par la peur. Ils en furent violemment extirpés et reçurent quelques coups de poing et de pied, qui cessèrent parce que le grand noir empêcha que la horde perde complètement le contrôle. Il exigea le calme et le silence, puis porta son doigt près de son oreille, comme pour écouter une lointaine sirène de police. On n’entendait rien, à l’exception de la rumeur, presque imperceptible, de la pluie sur la ville endormie et les gémissements d’un des occupants de la voiture, vraisemblablement celui qui s’était le moins bien sorti de la collision. La nuit retourna à l’obscurité et à son indifférence pour le fait humain, pour les petites envies, les misérables querelles des hommes. Il sentit de nouveau l’urgente nécessité de disparaître, mais resta immobile. Le géant, dont les traits se confondaient avec les ombres, ordonna de sortir la voiture du fossé, de la garer, pour qu’elle n’attire pas l’attention. Les autres lui obéirent.

Tradabordo a dit…

Les occupants de la voiture n’étaient pas blessés, juste sonnés, et surtout, paralysés par la peur. Ils en furent violemment extirpés et reçurent quelques coups de poing et de pied, qui cessèrent parce que le grand noir empêcha que la horde perde complètement le contrôle. Il exigea le calme et le silence, puis porta son doigt près de son oreille, comme pour écouter une lointaine sirène de police. On n’entendait rien, à l’exception de la rumeur, presque imperceptible, de la pluie sur la ville endormie et les gémissements d’un des occupants de la voiture, vraisemblablement celui qui s’était le moins bien sorti de la collision. La nuit retourna à l’obscurité et à son indifférence pour le fait humain, pour les petites envies, les misérables querelles des hommes. Il sentit de nouveau l’urgente nécessité de disparaître, mais resta immobile. Le géant, dont les traits se confondaient avec les ombres, ordonna de sortir la voiture du fossé, de la garer, pour qu’elle n’attire pas l’attention. Les autres lui obéirent.

OK.