lundi 7 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 192-202

—El día de la bandera, un grupo de jóvenes soldados chilenos, masacrados por miles de indios y soldados peruanos, julio de 1882, uno de los últimos combates de la Guerra del Pacífico, campaña de la Sierra tras la toma de Lima, respondió segura la fiscal. Dominga Serrano miró a Martínez y sonrió.
—Setenta y siete jóvenes soldados para ser exacta, agregó la médica y capitán. Supongo que ha escuchado mucho ese número en estas últimas semanas.
Antonieta miró a Martínez.
—Señorita fiscal, continuó la doctora, lo que ahora va a saber supera cualquier límite de lógica. No podemos pedirle que crea cada palabra que escuchará, pero por alguna razón Amador confía en usted y supongo que no solo por ser una muchacha bonita.
Antonieta se ruborizó.
—Únicamente vamos a pedirle que oiga sin opinar, ya habrá tiempo de despejar dudas y demases. Esta verdad lleva más de cien años oculta en los altos círculos del gobierno chileno, muchos han muerto por ella, otros hemos pagado con traiciones y golpes por la espalda.
—Los escucho entonces, agregó Antonieta, con un dejo de burla en su tono, detalle que Martínez y Dominga Serrano aceptaron como parte del trato.

Traduction temporaire :

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines. Antonieta observa Martínez. Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que nous allons vous apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je suppose que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme. Antonieta rougit. On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis. On aura bien le temps de lever vos doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans par les hautes sphères du gouvernement chilien. Beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, ont payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups de poignards dans le dos.
— Je vous écoute alors, répondit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme partie du marché.

9 commentaires:

Justine a dit…

— Le jour du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens, en juillet 1882, lors d'un des derniers combats de la Guerre du Pacifique en pleine campagne de la Sierra après la prise de Lima, déclara la procureure sûre d'elle. Dominga serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, ajouta la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû entendre beaucoup ce nombre ces dernières semaines.
Antonieta regarda Martínez.
— Mademoiselle la procureure reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton un tantinet blagueur, détail que Martínez et Dominga serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Tradabordo a dit…

— Le jour du drapeau [on le dit comme ça ?], un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens, en juillet 1882, lors d'un des derniers combats [« affrontements » / « batailles » ?] de la Guerre du Pacifique en pleine campagne [sûre ?] de la Sierra [virgule ?] après la prise de Lima, déclara la procureure [virgule] sûre d'elle.
Dominga serrano [maj] regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, ajouta la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû entendre beaucoup ce nombre [« chiffre »] [virgule] ces dernières semaines.
Antonieta regarda [tu l'as avant] Martínez.
— Mademoiselle la procureure [virgule]

Encore trop de scories. Relis-toi mieux, stp.

reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton un tantinet blagueur, détail que Martínez et Dominga serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Justine a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens, en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines.
Antonieta observa Martínez.
— Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton un tantinet blagueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Justine a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens, en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines.
Antonieta observa Martínez.
— Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Tradabordo a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens, [la virgule ?] en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin [de qui est la réplique d'avant ? Un autre personnage ou le même ? Si c'est le même, remonte tout…] et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines.
Antonieta observa Martínez.
— Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Justine a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin [de qui est la réplique d'avant ? Un autre personnage ou le même ?/ La réplique d'avant, c'est la procureure qui parle, donc un autre personnage] et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines.
Antonieta observa Martínez.
— Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que vous allez apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme.
Antonieta rougit.
— On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, on aura bien le temps de lever les doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans les hautes sphères du gouvernement chilien, beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme faisant partie du marché.

Tradabordo a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines. Antonieta observa Martínez. Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que vous allez [« je vais »] apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot de ce que vous allez entendre [supprime « de ce que vous allez entendre »], mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je crois [tu changes le sens] que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme. Antonieta rougit. On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis, [point] on aura bien le temps de lever les [possessif ?] doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans dans [ou « par » ? J'hésite] les hautes sphères du gouvernement chilien, [point] beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, avons [« ont »] payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups [« de poignards » ?] dans le dos.
— Je vous écoute alors, renchérit [bof ici] Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme faisant [supprime] partie du marché.

Justine a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines. Antonieta observa Martínez. Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que nous allons vous apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je suppose que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme. Antonieta rougit. On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis. On aura bien le temps de lever vos doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans par les hautes sphères du gouvernement chilien. Beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, ont payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups de poignards dans le dos.
— Je vous écoute alors, répondit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme partie du marché.

Tradabordo a dit…

— Le jour de la cérémonie du drapeau, un groupe de jeunes soldats chiliens massacrés par des milliers d'Indiens et de soldats péruviens en juillet 1882, lors d'un des derniers affrontements de la Guerre du Pacifique en pleine expédition militaire dans la Sierra, après la prise de Lima, déclara la procureure, sûre d'elle.
Dominga Serrano regarda Martínez et sourit.
— Soixante-dix-sept jeunes soldats pour être exacte, précisa la médecin et capitaine. Je présume que vous avez dû beaucoup entendre ce chiffre, ces dernières semaines. Antonieta observa Martínez. Mademoiselle la procureure, reprit la doctoresse, ce que nous allons vous apprendre maintenant dépasse toute logique. Nous ne pouvons pas vous demander de croire chaque mot, mais, pour je ne sais quelle raison, Amador a confiance en vous, et je suppose que ce n'est pas uniquement parce que vous êtes une jolie jeune femme. Antonieta rougit. On va juste vous demander d'écouter sans donner votre avis. On aura bien le temps de lever vos doutes et le reste. La vérité est cachée depuis plus de cent ans par les hautes sphères du gouvernement chilien. Beaucoup sont morts à cause d'elle, d'autres, comme nous, ont payé en étant victimes de trahisons et en recevant des coups de poignards dans le dos.
— Je vous écoute alors, répondit Antonieta, sur un ton légèrement moqueur, détail que Martínez et Dominga Serrano acceptèrent comme partie du marché.

OK.