lundi 7 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 209-215

Mal que mal lo único que requerían para moverse era sangre, carne e interiores de los vivos. En marzo de 1882, el gobierno chileno hizo un trato con un grupo de machis y brujos, quienes a cambio de tierras y fin de hostilidades en el sur, aceptaron regalarle al gobierno chileno un batallón de muertos vivos. Solo se necesitaban setenta y siete individuos para ser sacrificados y luego revividos.
—Setenta y siete, interrumpió Serrano, porque siete es cifra divina, de creación, y al repetirla es un acto de burla, blasfemia y desafío contra Dios, eso, por supuesto, si se aceptan las creencias de estos brujos.
Martínez continuó:
—Así fue cómo se ideó la trampa de la Concepción. Setenta y siete muchachos, casi niños, enviados como corderos al matadero, para ser luego resucitados y convertidos en la fuerza que aseguró la victoria definitiva de Chile en las pampas del norte. 

Traduction temporaire :

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un accord avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se moque, on blasphème, on défie Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

13 commentaires:

Justine a dit…

Rien n'aurait pu être pire. Les seules choses dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien passa un marché avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, consentirent à leur rendre un bataillon de morts-vivants. Ils ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que 7 est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se moque, on blasphème, on défie Dieu, si on adhère évidemment aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque encore des enfants, envoyés comme des moutons à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la troupe qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Rien n'aurait pu être pire [sûre ?]. [le point ?] Les seules choses [bof] dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien passa [c'est un personnage qui parle, non ? Si oui : PC] un marché avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, consentirent [idem] à leur rendre [texte ?] un bataillon de morts-vivants. Ils ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que 7 [« sept »] est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on [texte] se moque, on blasphème, on défie Dieu, [« si tant est » ?] si on adhère évidemment aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque encore [nécessaire ?] des enfants, envoyés comme des moutons [le mieux ici ?] à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la troupe [littéral ?] qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Justine a dit…

Rien n'aurait pu être pire[c'est en tout cas une des significations que j'ai trouvées ; elle m'a semblé appropriée.], les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un marché avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on commet un acte de moquerie, de blasphème, de défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Demande à Elena pour le début… Je ne dis pas que c'est faux, mais j'ai vraiment un doute.

Rien n'aurait pu être pire[c'est en tout cas une des significations que j'ai trouvées ; elle m'a semblé appropriée.], les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un marché avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on commet un acte de moquerie, de blasphème, de défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Attends, je lui envoie le lien pour qu'elle y aille directement – plus simple pour elle.

Elena a dit…

Normalement, ça signifie "tant bien que mal", mais dans ce contexte, je le traduirais par : "malgré tout".

Tradabordo a dit…

C'est bien ce que je pensais.
Merci, Elena.

Justine a dit…

Merci, Elena !

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un marché avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on commet un acte de moquerie, de blasphème, de défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un marché [il vaut mieux « accord »] avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on commet un acte de moquerie [bizarre, non ? Je me demande si « acte de » ne nous pose pas pb], de blasphème, de défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Justine a dit…

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un accord avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se livre à une moquerie , un blasphème, un défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un accord avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se livre à une moquerie [espace en trop + je crois que tu devrais passer par des verbes], un blasphème, un défi contre Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Justine a dit…

C'était ma première proposition de passer par des verbes.

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un accord avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se moque, on blasphème, on défie Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

Tradabordo a dit…

Malgré tout, les seuls ingrédients dont ils avaient besoin pour bouger étaient le sang, la chair et les entrailles des vivants. En mars 1882, le gouvernement chilien a passé un accord avec un groupe de guérisseurs et de sorciers, qui, en échange de terres et de la fin des hostilités dans le sud, ont consenti à lui offrir un bataillon de morts-vivants. Il ne fallait que soixante-dix-sept individus prêts à être sacrifiés avant d'être ressuscités.
— Soixante-dix-sept, interrompit Serrano, parce que sept est le chiffre divin par excellence, le chiffre de la création, et qu'en le répétant on se moque, on blasphème, on défie Dieu, si tant est qu'on adhère aux croyances de ces sorciers.
Martínez poursuivit :
— Voilà comment a été conçu le piège de Concepción. Soixante-dix-sept jeunes hommes, presque des enfants, envoyés tels des agneaux à l'abattoir, pour être ensuite ressuscités, et devenir la force qui a assuré la victoire définitive du Chili dans les pampas du nord.

OK.