vendredi 4 mars 2016

Projet Justine 7 – phrases 88-103

—Baculic, subrayó, hace quince años que nadie me manda, si está tan enterada, sabrá que fue parte del trato. Ahora, si me permite. La invitó a salir.
Antonieta Baculic dejó el edificio central de la Policía de Investigaciones y subió al Hyundai gris perla donde la esperaba una detective de su unidad. La joven policía estaba fumando y escuchando noticias en la radio.
— No quiere cooperar, le dijo la fiscal.
— Es lógico, yo en su lugar estaría dolido, respondió la policía y encendió el motor del vehículo.
Dos semanas después, nueve de la noche y Amador Martínez estaba en la cocina de su departamento en Providencia, barrio Seminario, calentando una taza de arroz y viendo los goles del fin de semana en televisión. No esperaba a nadie, ni siquiera comida a domicilio, así que se sorprendió al escuchar el citófono. Era Baculic, la fiscal, la bonita pero masculina. Insistía en hablar con él.
—Adelante.
La abogada venía vestida prácticamente de la misma forma como la había visto hacía quince días, salvo que el color de su falda ahora era gris. La hizo pasar, le ofreció asiento y le preguntó si quería algo. Ella solo pidió agua.
— Veo que es buena, le dijo, averiguó mi dirección.
— No es difícil cuando se tiene autoridad.
Martínez prefirió no agregar nada.

Traduction temporaire :

— Baculic, martela-t-il. Depuis quinze ans, je ne suis plus sous les ordres de personne. D'ailleurs, si vous êtes tellement au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il l'accompagna à la porte.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle, où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je serais dégoûtée, souffla la policière avant de mettre le contact.
Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez se tenait dans la cuisine de son appartement de Providencia, à barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts du week-end à la télé. N'attendant personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il l'encouragea à entrer, lui proposa de s'asseoir et lui offrit quelque chose à boire. Elle accepta de l'eau.
— Je note votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

6 commentaires:

Justine a dit…

J'ai deux fois « entrer », mais je n'arrive pas à changer.

— Baculic, martela-t-il, depuis quinze ans, plus personne ne me commande. Puisque vous êtes très au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il la poussa [il « l'invite » à s'asseoir précédemment] vers la sortie. Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je souffrirais, souffla la policière avant de mettre le contact.
— Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez était dans la cuisine de son appartement de Providencia, barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts de la fin de la semaine à la télé. Il n'attendait personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut donc surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il la fit entrer, lui proposa de s'asseoir ainsi que quelque chose à boire. Elle accepta un verre d'eau.
— Je constate votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

Tradabordo a dit…

— Baculic, martela-t-il, [point] depuis quinze ans, plus personne ne me commande [bof… pas très fluide / naturel]. Puisque vous êtes très [texte] au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il la poussa [oui, mais là, c'est trop fort… Tu fais d'un geste de politesse, un geste de brute :-)] vers la sortie.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle [virgule] où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je souffrirais [bof par rapport à la V.O. + sens ? Pas sûre…], souffla la policière avant de mettre le contact.
— [ce tiret ?????]

Du coup, relis la suite.

Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez était dans la cuisine de son appartement de Providencia, barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts de la fin de la semaine à la télé. Il n'attendait personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut donc surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il la fit entrer, lui proposa de s'asseoir ainsi que quelque chose à boire. Elle accepta un verre d'eau.
— Je constate votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

Justine a dit…

— Baculic, martela-t-il. Depuis quinze ans, je ne suis plus sous les ordres de personne. D'ailleurs, si vous êtiez tellement au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il l'accompagna à la porte.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle, où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je serais dégoûtée, souffla la policière avant de mettre le contact.
Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez était dans la cuisine de son appartement de Providencia, à barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts de la fin de la semaine à la télé. Il n'attendait personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut donc surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il la fit entrer, lui proposa de s'asseoir et lui offrit quelque chose à boire. Elle accepta de l'eau.
— Je constate votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

Tradabordo a dit…

— Baculic, martela-t-il. Depuis quinze ans, je ne suis plus sous les ordres de personne. D'ailleurs, si vous êtiez [ortho + temps de toute façon] tellement au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il l'accompagna à la porte.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle, où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je serais dégoûtée, souffla la policière avant de mettre le contact.
Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez était [« se tenait » ?] dans la cuisine de son appartement de Providencia, à barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts de la fin de la semaine [« week-end »] à la télé. Il n'attendait [« N'attendant… »] personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut donc surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il la fit [tu l'as un peu avant ; vois si tu arrives à contourner] entrer, lui proposa de s'asseoir et lui offrit quelque chose à boire. Elle accepta de l'eau.
— Je constate [bof ici] votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

Justine a dit…

— Baculic, martela-t-il. Depuis quinze ans, je ne suis plus sous les ordres de personne. D'ailleurs, si vous êtes tellement au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il l'accompagna à la porte.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle, où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je serais dégoûtée, souffla la policière avant de mettre le contact.
Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez se tenait dans la cuisine de son appartement de Providencia, à barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts du week-end à la télé. N'attendant personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il l'encouragea à entrer, lui proposa de s'asseoir et lui offrit quelque chose à boire. Elle accepta de l'eau.
— Je note votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

Tradabordo a dit…

— Baculic, martela-t-il. Depuis quinze ans, je ne suis plus sous les ordres de personne. D'ailleurs, si vous êtes tellement au fait, vous devriez savoir que ç'a fait partie du marché. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser. Il l'accompagna à la porte.
Antonieta Baculic quitta le siège de la Police d'Investigations et monta dans la Hyundai gris perle, où l'attendait une enquêtrice de son unité. La jeune policière fumait en écoutant les informations à la radio.
— Il refuse de coopérer, lui annonça la procureure.
— Logique ! Moi, à sa place, je serais dégoûtée, souffla la policière avant de mettre le contact.
Deux semaines plus tard, à vingt-et-une heures, Amador Martínez se tenait dans la cuisine de son appartement de Providencia, à barrio Seminario, en train de faire chauffer une tasse de riz en regardant les buts du week-end à la télé. N'attendant personne, pas même la livraison d'un repas à domicile, il fut surpris en écoutant l'interphone. C'était Baculic, la procureure – jolie, mais un peu masculine. Elle insistait pour lui parler.
— Entrez !
Elle portait pratiquement les mêmes vêtements que quand il l'avait vue quinze jours plus tôt, sauf que cette fois, sa jupe était grise. Il l'encouragea à entrer, lui proposa de s'asseoir et lui offrit quelque chose à boire. Elle accepta de l'eau.
— Je note votre professionnalisme, vous avez cherché mon adresse.
— Pas difficile quand on a de l'autorité.
Martínez préféra ne rien ajouter.

OK.