lundi 14 mars 2016

Projet Justine / Marie-G. 2 – phrases 156-163


Me desplazo hacia la puerta y la abro. La visión me entumece el pecho y los brazos: el negro pelo le cae a borbotones cubriéndole los hombros hasta llegar a la cintura, está parada en la puerta de la cocina, tiene unas nalgas lindas y redondas. Las piernas, tal como dijo mamá, son torneadas, fuertes y morenas. Tiene un vestido de rayas verticales de colores y por el espejo del bifé que hay en la cocina puedo verle el escote y la amplia sonrisa. Me doy cuenta de que me parezco a ella. Las largas y onduladas pestañas, los ojos grandes y negros, la nariz recta, la frente ancha y el lunar de pelos debajo del lóbulo de la oreja derecha. Tengo que acercarme, quiero verla de cerca; el pecho y los brazos no me responden. Tengo que hacer algo, así que desprendo la cabeza. Girando llego hasta sus pies y desde abajo me quedo contemplándola.

Traduction temporaire :
Je m'avance jusqu'à la porte et l'ouvre. La voir engourdit mon cœur et mes bras : ses cheveux noirs descendent en cascade, couvrent ses épaules et lui arrivent à la taille. Elle se tient immobile sur le seuil de la cuisine, elle a de belles fesses rebondies. Ses jambes, comme les avait décrites maman, sont bien galbées, fermes et bronzées. Elle porte une robe à rayures verticales colorées et, grâce au miroir du buffet de la cuisine, je peux apercevoir son décolleté et son large sourire. Je me rends compte que je lui ressemble. Les longs cils recourbés, les grands yeux noirs, le nez droit, le front large et le grain de beauté poilu sous le lobe de l'oreille droite. Il faut que je m'approche, j'ai envie de la regarder de près ; mon cœur et mes bras ne me répondent pas. Je dois faire quelque chose, je me décroche donc la tête. En pivotant, j'atteins ses pieds et, là, j'ai tout le loisir de la contempler par en dessous.

4 commentaires:

Justine a dit…

Je m'avance jusqu'à la porte et l'ouvre.La voir engourdit mon cœur et mes bras : ses cheveux noirs descendent en cascade, couvrent ses épaules et lui arrivent à la taille. Elle se tient immobile sur le seuil de la cuisine, elle a de belles fesses rebondies. Ses jambes, comme les avait décrit maman, sont bien galbées, fermes et bronzées. Elle porte une robe à rayures verticales de couleurs et grâce au miroir du buffet de la cuisine, je peux apercevoir son décolleté et son large sourire. Je me rends compte que je lui ressemble. Les longs cils recourbés, les grands yeux noirs, le nez droit, le front large et le grain de beauté poilu sous le lobe de l'oreille droite. Il faut que je m'approche, j'ai envie de la regarder de près ; mon cœur et mes bras ne répondent pas. Je dois faire quelque chose, je me dévisse donc la tête. En pivotant, j'atteins ses pieds et j'ai tout le loisir de la contempler par en dessous.

Tradabordo a dit…

Je m'avance jusqu'à la porte et l'ouvre.[espace]La voir engourdit mon cœur et mes bras : ses cheveux noirs descendent en cascade, couvrent ses épaules et lui arrivent à la taille. Elle se tient immobile sur le seuil de la cuisine, elle a de belles fesses rebondies. Ses jambes, comme les avait décrit [« décrites » ?] maman, sont bien galbées, fermes et bronzées. Elle porte une robe à rayures verticales de couleurs [ou en inversant ? Essaie et vois ce qui est mieux] et [virgule ?] grâce au miroir du buffet de la cuisine, je peux apercevoir son décolleté et son large sourire. Je me rends compte que je lui ressemble. Les longs cils recourbés, les grands yeux noirs, le nez droit, le front large et le grain de beauté poilu sous le lobe de l'oreille droite. Il faut que je m'approche, j'ai envie de la regarder de près ; mon cœur et mes bras ne [« me » ?] répondent pas. Je dois faire quelque chose, je me dévisse [j'hésite] donc la tête. En pivotant, j'atteins ses pieds et j'ai tout le loisir de la contempler par en dessous [tiret ? Vérifie].

Justine a dit…

Pour « par en dessous », j'avais vérifié pas de tiret.
« rayures de couleurs verticales » sonne bizarre

Je m'avance jusqu'à la porte et l'ouvre. La voir engourdit mon cœur et mes bras : ses cheveux noirs descendent en cascade, couvrent ses épaules et lui arrivent à la taille. Elle se tient immobile sur le seuil de la cuisine, elle a de belles fesses rebondies. Ses jambes, comme les avait décrites maman, sont bien galbées, fermes et bronzées. Elle porte une robe à rayures verticales colorées et, grâce au miroir du buffet de la cuisine, je peux apercevoir son décolleté et son large sourire. Je me rends compte que je lui ressemble. Les longs cils recourbés, les grands yeux noirs, le nez droit, le front large et le grain de beauté poilu sous le lobe de l'oreille droite. Il faut que je m'approche, j'ai envie de la regarder de près ; mon cœur et mes bras ne me répondent pas. Je dois faire quelque chose, je me décroche donc la tête. En pivotant, j'atteins ses pieds et, là, j'ai tout le loisir de la contempler par en dessous.

Tradabordo a dit…

Je m'avance jusqu'à la porte et l'ouvre. La voir engourdit mon cœur et mes bras : ses cheveux noirs descendent en cascade, couvrent ses épaules et lui arrivent à la taille. Elle se tient immobile sur le seuil de la cuisine, elle a de belles fesses rebondies. Ses jambes, comme les avait décrites maman, sont bien galbées, fermes et bronzées. Elle porte une robe à rayures verticales colorées et, grâce au miroir du buffet de la cuisine, je peux apercevoir son décolleté et son large sourire. Je me rends compte que je lui ressemble. Les longs cils recourbés, les grands yeux noirs, le nez droit, le front large et le grain de beauté poilu sous le lobe de l'oreille droite. Il faut que je m'approche, j'ai envie de la regarder de près ; mon cœur et mes bras ne me répondent pas. Je dois faire quelque chose, je me décroche donc la tête. En pivotant, j'atteins ses pieds et, là, j'ai tout le loisir de la contempler par en dessous.

OK.