jeudi 10 mars 2016

Projet Sabrina 4 – phrases 151-156


Sumergido desde el amanecer en el flanco sur de la laguna, no demoré en recoger varias muestras de la piedra basáltica que buscaba. El agua estaba sumamente fría y en el horizonte no aparecía ninguna figura conocida. Al ser un día de media semana, nadie acudía para solazarse en esas aguas. Nadie, tampoco Alma. Le pedí al motorista del bote que amarrase bien mi bolsa de muestras al pedestal del timón y volví a sumergirme. Avancé hacia el centro, hacia el profun do azul donde debió hallarse el corazón del volcán; el núcleo del fuego; la savia candente que durante miles de años los hombres antiguos interpretaron como albur divino.

Traduction temporaire :
Immergé depuis l'aube dans le flanc sud du lac, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

11 commentaires:

Sabrina a dit…

Pas sûre d'avoir bien compris la dernière phrase.

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune, je ne tardai pas à relever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune figure connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où avait dû se trouver le cœur du volcan ; le noyau du feu ; la sève incandescente que les hommes avaient interprétée durant des milliers d'années comme le hasard divin.

Tradabordo a dit…

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune, je ne tardai pas [ou « pas mettre longtemps » ?] à relever [« prélever » ?] plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune figure [?] connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac [lac ou lagune ?]. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où avait dû se trouver [mets-le à la fin] le cœur du volcan ; le noyau du feu ; la sève incandescente que les hommes avaient interprétée durant des milliers d'années [mets ça avant] comme le hasard divin.

Sabrina a dit…

J'y avais aussi pensé à "mettre longtemps". Vendu ;).
Je crois que tu me l'avais déjà dit "pr"lever" en plus... Merci :)
On a déjà "lagune" plus haut, c'est pour ça que j'ai choisi "lac".
Ok pour le reste, merci :).

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

Tradabordo a dit…

OK… j'ai vu que c'est pour éviter la répétition ; mais c'est vraiment synonymes ? Je ne dis pas que c'est faux ; vérifie :-)

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

Sabrina a dit…

Tu as raison, heureusement que tu veilles ;). Un lac est totalement entouré de terre alors que la lagune est séparée de la mer par un cordon littoral. Je vais aller chercher "étang" aussi car jusqu'à il y a à peine 2mn, tout était synonyme pour moi !!

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans cette lagune. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

Tradabordo a dit…

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud de la lagune [du coup, tu laisses « lagune », alors ? On n'est pas dans la montagne ?], je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans cette lagune [idem ?]. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

Sabrina a dit…

La VO dit "laguna" à la 1ère ligne. J'avais traduit "aguas" par "lac".
Je viens de faire des recherches. On peut trouver des étendues d'eau appelées "lagunas" dans les montagnes. Mais c'est vrai qu'on dirait un lac ! Par exemple, la "laguna sucia" en Argentine.
https://www.google.fr/maps/place/Laguna+Sucia,+Santa+Cruz,+Argentine/@-49.2850653,-73.0097026,15z/data=!3m1!4b1!4m2!3m1!1s0xbdbd051649b491a7:0x952b2a7982a51518

Dois-je donc changer la VO car le mot "laguna" dans la VO serait inadéquat ici ?

Tradabordo a dit…

Écoute, je te laisse trancher… Vois ce que toi, tu penses le plus adéquat.

Sabrina a dit…

Je serais tentée de mettre "lac" car il s'agit ici du nom générique et non d'une étendue d'eau particulière comme "laguna sucia". Mais cela veut dire que je dois rester cohérente et qu'il faudra que je revienne sur les traductions précédentes pour faire le même changement.

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud du lac, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

Tradabordo a dit…

Oui, je crois qu'il vaut mieux « lac ». Prends note que quand tu reliras, il faudra harmoniser.

Immergé depuis l'aube dans le flanc sud du lac, je ne mis pas longtemps à prélever plusieurs échantillons de la pierre basaltique que je cherchais. L'eau était extrêmement froide et on n'apercevait aucune silhouette connue à l'horizon. En milieu de semaine, personne ne venait se distraire dans ce lac. Personne ; Alma non plus. Je demandai au barreur du canot de bien attacher mon épuisette au pied du gouvernail et je replongeai. J'avançai en direction du centre, vers le bleu profond où le cœur du volcan avait dû se trouver ; le noyau du feu ; la sève incandescente que durant des milliers d'années, les hommes avaient interprétée comme le hasard divin.

OK.

Sabrina a dit…

Je rajoute ce point aux "mais" ;).