mercredi 16 mars 2016

Projet Émilie 9 – phrases 9-24


Nos mira con pupilas crispadas de visiones libidinosas y arguye convencido: -Se vive en un tarro de mostaza. El sueño es una incubación de energías, el aire matinal un «pick me up» y este espectáculo diario es tan extraordinario para la «taparrabería» de nuestra vida cotidiana, que uno anda vago de mil promesas incumplidas, como las pensionistas de convento privadas del mundo ansiado que les desfila en desafío bajo las narices. Por suerte, hay una que otra rabona posible... -Así que vos, a pesar de tu renombre donjuanesco... ¿se te acabaría la racha? -¿Racha?... El mío es un oficio como cualquier otro. Lógico es que algo me resulte. -Y ¿nada para contarnos? -¡Algo siempre hay! -¿De carnaval?... ¿La eterna mascarita? -¡Sí, la eterna mascarita!... Y eso es natural en un día anónimo. -¿Nos contarás tu aventura? -Si quieren; es bastante curiosa... Vamos a vestirnos y, tomando los copetines, charlaremos.

Traduction temporaire :
Il nous regarde avec des pupilles crispées dans des visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergies ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectacle quotidien est si extraordinaire pour la tendance « cache-sexuelle » de notre vie de tous les jours qu’il ne manque pas de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière…
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?… Il s’agit d’une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?… Une histoire de déguisement ?
— Oui, une histoire de déguisement !… Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?…
— Si vous voulez, elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Pas évident, tout ça...

Il nous regarde de ses pupilles crispées de visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergie ; l’air matinal un pick me up, et ce spectable quotidien est si extraordinaire pour la tendance au cache-sexe de notre vie de tous les jours [j’hésite : notre routine de cache-sexe] qu’il n’est pas vide de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière…
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?... Mon loisir est une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?... L’immanquable déguisée ?
— Oui, l’immanquable déguisée !... Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?
— Si vous voulez ; elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

Tradabordo a dit…

Il nous regarde de ses [« avec des » ?] pupilles crispées de [« dans des » ?] visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergie [pluriel, comme en V.O. ?] ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectable [?] quotidien est si extraordinaire pour la tendance au cache-sexe [bof ; invente un mot susceptible, lui aussi, d'avoir des guillemets :-)] de notre vie de tous les jours [j’hésite : notre routine de cache-sexe //// est-ce assez clair ? N'oublions que le lecteur n' pas la V.O. à côté] qu’il n’est pas vide de [demande à Elena] mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière… [tu l'as trouvé, c'est OK ? Juste pour être rassurée ;-)]
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?... [raccourci clavier des points de suspension] Mon loisir [sûre ?] est une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?... [idem] L’immanquable déguisée [clair ????] ?
— Oui, l’immanquable déguisée [?] !... [idem] Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?
— Si vous voulez ; [pas de ; et de : dans les dialogues] elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

Emilie a dit…

Il nous regarde avec des pupilles crispées dans des visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergies ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectable [? // pourquoi pas ?] quotidien est si extraordinaire pour la tendance « cache-sexuelle » de notre vie de tous les jours qu’il ne manque pas de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière… [tu l'as trouvé, c'est OK ? // oui]
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?… Il s’agit d’une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?… Une histoire de déguisement ?
— Oui, une histoire de déguisement !… Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?…
— Si vous voulez, elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

Tradabordo a dit…

Il nous regarde avec des pupilles crispées dans des visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergies ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectable [? // pourquoi pas ? ////// coquille] quotidien est si extraordinaire pour la tendance « cache-sexuelle » de notre vie de tous les jours qu’il ne manque pas de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière…
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?… Il s’agit d’une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?… Une histoire de déguisement ?
— Oui, une histoire de déguisement !… Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?…
— Si vous voulez, elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

Emilie a dit…

Il nous regarde avec des pupilles crispées dans des visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergies ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectacle [à l'évidence, j'ai des pbs de vue !] quotidien est si extraordinaire pour la tendance « cache-sexuelle » de notre vie de tous les jours qu’il ne manque pas de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière…
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?… Il s’agit d’une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?… Une histoire de déguisement ?
— Oui, une histoire de déguisement !… Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?…
— Si vous voulez, elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

Tradabordo a dit…

Il nous regarde avec des pupilles crispées dans des visions libidineuses et argue, avec conviction :
— On vit dans un pot de moutarde. Le sommeil est une incubation d’énergies ; l’air matinal un « pick me up », et ce spectacle quotidien est si extraordinaire pour la tendance « cache-sexuelle » de notre vie de tous les jours qu’il ne manque pas de mille promesses non tenues, comme les pensionnaires de couvent privées du monde convoité qui leur passe, comme pour les défier, juste sous le nez.
Heureusement, il est parfois possible de faire l’école buissonnière…
— Alors comme ça, malgré ta réputation donjuanesque…, ta chance aurait tourné ?
— Ma chance ?… Il s’agit d’une occupation comme une autre. Il est logique que j’en tire quelque profit.
— Et tu n’as rien à nous raconter ?
— Il y a bien toujours quelque chose !
— Sur le Carnaval ?… Une histoire de déguisement ?
— Oui, une histoire de déguisement !… Quoi de plus normal, un jour d’anonymat.
— Nous raconteras-tu ton aventure ?…
— Si vous voulez, elle est assez étrange… Allons donc nous vêtir et, en prenant l’apéritif, nous discuterons.

OK.